La Rédaction
Démocratie Participative
08 avril 2025
Nancy Faeser
Les Allemands ont souffert pendant plusieurs années sous le poids d’une femme obèse proche des Antifas, Nancy Faeser, ministre (socialiste) de la police du gouvernement Scholz.
La démocratie allemande est formelle sur un point : on ne peut pas critiquer Nancy.
AfD :
Le rédacteur en chef du Deutschland-Kurier , David Bendels, a été condamné à sept mois de prison avec sursis par le tribunal d’instance de Bamberg pour un mème satirique montrant la ministre fédérale de l’Intérieur Nancy Faeser avec un panneau sur lequel est écrit « Je déteste la liberté d’expression ». Le tribunal a considéré qu’il s’agissait d’une « diffamation contre des personnes de la vie politique » selon le § 188 du code pénal allemand. Faeser avait personnellement déposé une plainte pénale.
Ce qui se déroule actuellement à Bamberg n’est plus une procédure juridique normale – c’est un procès politique à grand spectacle contre un journaliste critique. Le verdict scandaleux prononcé à l’encontre de David Bendels, rédacteur en chef du Deutschland-Kurier, montre clairement que dans ce pays, ce n’est plus le droit mais l’opportunisme politique qui prévaut.
Sept mois avec sursis – pour un mème satirique ! Une image anodine qui résume la teneur des déclarations et des actions de la ministre de l’Intérieur encore en poste, Mme Faeser, doit-elle désormais être considérée comme une « diffamation politique » ? La justice se met ainsi au service d’un système qui veut étouffer toute forme de critique.
Madame Faeser, qui se fait elle-même remarquer par ses relations douteuses avec les milieux d’extrême gauche, se stylise en majesté intouchable – protégée par un article 188 du code pénal qui, dans la meilleure Allemagne de tous les temps, sert apparemment de « paragraphe de lèse-majesté » moderne. Qu’un juge exige que Bendels présente des excuses écrites – ce n’est pas seulement gênant, c’est une rupture ouverte avec l’esprit de notre loi fondamentale !
On peut l’appeler la Grosse Bertha.
Sept mois avec sursis pour avoir dit que Nancy « n’aime pas la liberté d’expression », peine assortie d’une excuse formelle et publique pour le fasciste qui a osé le dire sur les réseaux sociaux, voilà une peine équilibrée qui fait justice à nos valeurs démocratiques.
Il nous faudra plus de cette démocratie en France.