Antarctique : la peur règne dans une base sud-africaine, un membre de l’équipe de recherche est accusé d’agression sexuelle

La Rédaction
Démocratie Participative
20 mars 2025

Cette histoire pourrait servir de base à un scénario extraordinaire.

CNN :

Un membre d’une petite équipe de recherche sud-africaine installée sur une base antarctique isolée a accusé un collègue d’agression et a demandé à ce que l’on intervienne, ont déclaré des responsables.

Un « plan d’intervention visant à impliquer les personnes concernées » a été « immédiatement activé », ont déclaré dans un communiqué les responsables du ministère sud-africain des Forêts, de la Pêche et de l’Environnement (DFFE), qui supervise la base, tout en ajoutant qu’ils n’avaient pas l’intention de renvoyer l’équipe chez elle.

Dans la déclaration envoyée à CNN, en réponse aux allégations formulées dans un courriel de l’équipe de recherche, le DFFE a déclaré : « L’auteur présumé a volontairement participé à une évaluation psychologique plus poussée, a fait preuve de remords et coopère volontiers pour suivre toutes les interventions recommandées ».

Le DFFE a déclaré avoir reçu des plaintes pour agression présumée impliquant deux membres de l’équipe d’hivernage de neuf personnes le 27 février, et qu’il poursuivait son enquête sur une allégation de harcèlement sexuel. Le département n’a pas mentionné les noms des personnes impliquées.

Imaginez l’Afrique du Sud, mais là-dedans

L’intervention a été révélée après qu’un article du journal sud-africain Sunday Times a fait état d’un courriel de l’équipe qui accusait l’homme d’avoir attaqué son chef et demandait de l’aide.

Son comportement s’est aggravé à un point qui est profondément troublant », a écrit l’auteur dans le courriel, selon le Sunday Times, ajoutant : “Je reste profondément inquiet pour ma propre santé et celle de mes proches ; je reste très inquiet pour ma propre sécurité, me demandant constamment si je ne serai pas la prochaine victime. »

Aucun nom n’a été divulgué par le journal. CNN n’a pas confirmé de manière indépendante le contenu du courriel rapporté.

Image non contractuelle

L’Afrique du Sud est la seule nation africaine à exploiter une station de recherche en Antarctique, le continent le plus froid du monde, où elle a établi une base scientifique en 1960. Sa station antarctique, connue sous le nom de SANAE IV, héberge généralement une équipe de scientifiques pendant 13 mois, a indiqué le DFFE, ajoutant que le groupe actuel a été envoyé le 1er février.

« Le département confirme qu’il n’y a pas eu d’incidents nécessitant le retour au Cap de l’un des neuf membres de l’équipe d’hivernage », a déclaré le DFFE au sujet des allégations d’agression. « Si de tels incidents s’étaient produits, l’équipe de direction du département aurait remplacé ce membre de l’équipe d’hivernage avec effet immédiat. »

Ce n’est pas le premier cas d’agression impliquant une équipe d’expédition sud-africaine. En 2017, dans une base de recherche située dans l’île isolée de Marion, un membre de l’équipe de recherche aurait « vandalisé l’ordinateur portable d’un autre collègue avec une hache en raison d’un triangle amoureux dans lequel ils étaient impliqués », selon un groupe de surveillance parlementaire sud-africain.

La DPPE a expliqué que les membres de ses missions de recherche sont évalués avant les expéditions « pour s’assurer qu’ils sont capables de faire face à l’isolement et qu’ils peuvent travailler et vivre avec d’autres dans l’espace confiné des bases ».

Cependant, ajoute-t-il, « il n’est pas rare qu’une fois que les individus arrivent dans les zones extrêmement reculées où se trouvent les bases scientifiques, une première adaptation à l’environnement soit nécessaire ».

Cette histoire est une formidable anticipation de ce qui se produirait sur Mars si le plus dangereux Sud-africain du monde parvenait à ses fins.

L’âme de l’homme blanc est malade.

Partout où il va, son altruisme génocidaire, contracté après 15 siècles d’insanité chrétienne, le pousse à faire la courte échelle à toutes les races pétées de la terre pour qu’il puisse continuer à croire à l’illusion de l’égalité.

Mumbaï Musk importerait des Noirs sur Mars.

Et des Indiens.

Et bien sûr, ça va sans dire, des juifs.

Imaginez un voyage spatial en compagnie de ces créatures.

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