Bayrou dans la sauce pour avoir reconnu l’effroyable submersion de la France par des millions de noirs et d’arabes

La Rédaction
Démocratie Participative
28 janvier 2025

 

Voir les juifs défendre fanatiquement l’étanchéité des frontières israéliennes tout en vantant la submersion complète des pays blancs est toujours pédagogique.

Ils sont tellement à l’aise qu’ils privatisent des nations entières.

Même Pierre Sautarel est gagné par la lassitude.

Mal lui en a pris.

Observez qu’avec les juifs, la discussion termine toujours au même point : l’or.

À force de reprendre les éléments de langage de la propagande juive sur tous les sujets, la droite française en a oublié que les juifs sont des immigrés comme les autres et qu’ils n’oublient jamais qu’ils le sont.

Un show comme la fête des chambres à gaz n’a pas pour fonction de s’adresser aux juifs et aux non-juifs dans les mêmes termes.

C’est très clair.

Les juifs ne se pensent pas comme des Français, n’en déplaise à la nuée de médias philosémites qui martèle l’inverse contre l’évidence. Quand bien même le penseraient-ils qu’ils ne le seraient pas de toute façon.

C’est un fait essentiel à comprendre car les juifs sont habitués à être une minorité agissante dans les pays non-juifs. Pour eux, vivre dans un pays où la majorité n’est pas juive est la norme. La grande agitation qui traverse les pays blancs d’Europe occidentale sur la question de la démographie leur est étrangère.

Bien au contraire, plus une société est racialement hétérogène, plus le juif se sent en sécurité. Ce qu’il redoute, ce sont les majorités racialement conscientes d’elles-mêmes qui pourraient être en mesure de s’opposer à son parasitisme.

Braun-Pivet ne peut se moquer aussi ouvertement de nous que parce que les Blancs en France n’ont pas de conscience raciale, contrairement à tous les autres groupes.

Les tergiversations de Bayrou en sont un exemple.

Quand il a été sommé de s’expliquer par les partis antiracistes sur la question de la submersion migratoire, il s’est immédiatement caché derrière Mayotte pour justifier ses propos – une île de l’Océan indien peuplé de noirs musulmans.

Bayrou, comme la plupart des Blancs, comprend et reconnaît le droit des autres races à défendre leurs intérêts raciaux. Pour une simple raison : c’est du bon sens pur.

En revanche, comme la plupart des Blancs, il a intériorisé la critique juive (et apparentée) de la défense de ses intérêts raciaux lorsque ce sont des Blancs qui sont concernés et assimile cette réaction à une faute « morale ». Ce processus a été facilité par la déformation psychologique chrétienne, puis par sa version laïcisée qu’est la démocratie contemporaine. Ces deux conceptions combattent la notion d’affinité raciale chez les Blancs au nom d’une définition abstraite, divine et monolithique de « l’humanité ».

Toute contestation de ce dogme moniste de l’une-et-indivisibilité de « l’humanité » est perçue comme une « fitna », un schisme d’autant plus fondamental qu’il se situe au niveau biologique.

Pour de nombreux Blancs, les allogènes n’en sont pas. Ils font partie de leur univers mental et affectif au même titre que les membres de leurs familles.

Les Blancs s’agitent grandement quand on remet en cause ce dogme religieux qui a été imprimé pendant 15 siècles dans leurs circuits neuronaux. Sous l’effet du christianisme ajouté à l’imposture de l’égalité démocratique et au mythe de l’holocauste destiné à terroriser les hérétiques en cas d’apostasie (devenir anathème et être accusé d’être un « Nazi »), les Blancs consentent à l’intolérable et rejettent leurs intérêts raciaux, jusqu’au suicide collectif.

Il faudra bien un jour cesser de passer par des chemins de traverse et rendre le racisme blanc socialement acceptable si l’on doit sérieusement proposer un projet de survie raciale. Comment ? Et bien en commençant par arrêter de passer par des chemins détournés. Ils n’ont pour seul effet que d’inhiber les réflexes de préservation et d’autodéfense des Blancs pour continuer à tourner autour du pot, comme Bayrou.

En ce sens, et quoi ce ne soit pas comparable car ce sont des parasites, l’aplomb des juifs dans la défense de leurs intérêts raciaux devrait inspirer les Blancs.

Si la juive Rafowicz peut aussi insolemment attaquer les Blancs de France avec un numéro de culpabilisation antiraciste alors que son oncle est rien moins que le porte-parole du nettoyage ethnique en Palestine, c’est que nous avons accepté un niveau d’abaissement qui a franchi toutes les limites.

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