Bretagne : des familles bouddhistes persécutées par la gendarmerie pour avoir dessiné une swastika sur la plage

La Rédaction
Démocratie Participative
02 mai 2025

Les persécutions anti-bouddhistes s’intensifient dans l’Hexagone.

Ouest-France :

Des adultes sont soupçonnés d’avoir dessiné une croix gammée sur le sable et d’avoir eu des propos apparentés à la doctrine nazie, jeudi 1er mai 2025, vers 13 h. Les faits se sont déroulés à Cléder (Finistère), sur la plage des Amiets.

Cléder, plage de la paix bouddhique

Selon nos informations, cinq adultes étaient présents, avec quatre enfants. Un témoin a avisé les forces de l’ordre.

Je connais l’âge de ce mouchard.

Il a entre 65 et 75 ans.

Sur place, les personnes impliquées auraient indiqué qu’elles avaient dessiné une croix bouddhiste et non pas une croix nazie. Elles seront prochainement entendues par la gendarmerie. Des investigations sont en cours, afin de faire toute la lumière sur la situation et son contexte.

Arrêtons-nous tout d’abord sur l’ampleur de la folie clinique ambiante.

Ce genre de climat est caractéristique des paranoïa de masse qu’alimentent les systèmes politiques, sociaux et culturels en fin de vie. Sous chaque pierre se cache potentiellement un ennemi, et jamais on ne compte autant de délateurs pour nourrir la peur ambiante.

Cette république juive en est donc réduite à enquêter sur des dessins dans le sable d’une plage perdue, inquiète de ce que les Nazis ne reviennent par la mer.

Je tiens à saluer ces familles aryennes qui ont compris — peut-être sous l’effet de nos propres efforts de pédagogie spirituelle — que face aux zélotes de l’activitisme abrahamo-démocratique, l’invocation du Bouddha était la meilleure arme.

Ce n’est pas une fantaisie, si l’on considère le problème en profondeur.

Siddhartha Gautama, le Bouddha historique, quoique souvent représenté sous des traits asiatiques, était bel et bien un Aryen, membre du peuple shakya, une communauté indo-aryenne issue des invasions hyperboréennes qui s’était établie dans l’actuel Népal.

Le védisme était leur religion, en tous points semblables aux religions nordiques (grecque, germanique, latine, celtique ou slave). Siddhartha appartenait par exemple à la classe des kshatriyas, les guerriers.

Le propre des sociétés aryennes est d’être divisées en trois classes sacrées fondamentales. Celle du sacerdoce, expression de souveraineté (prêtres et rois, par exemple les brahmanes dans le védisme, druides chez les Celtes), celle des guerriers (kshatriyas dans le védisme, héros comme Cú Chulainn chez les Celtes, guerriers d’Odin chez les Germains) et celle des producteurs (vaishyas dans le védisme, paysans chez les Celtes et Germains).

Les panthéons védique, celtique et germanique incluent des divinités associées à des fonctions spécifiques, comme le ciel, la guerre, la fertilité ou la sagesse.

Par exemple :

Védisme : Dyaus (ciel), Indra (guerre et tonnerre), Agni (feu sacré).

Germanique : Tyr/Tiwaz (guerre), Thor (tonnerre), Odin (sagesse et souveraineté).

Celtique : Taranis (tonnerre), Lugus (sagesse et polyvalence).

Le concept d’un dieu céleste (Dyēus Ph₂tēr en PIE, « Père Ciel ») se retrouve dans Dyaus (védisme), Zeus (grec), Jupiter (romain), et peut-être dans des figures comme le Dagda (celtique) ou Odin (germanique).

Siddhartha Gautama a apporté une rupture avec le védisme, mais ce n’est pas l’objet de cette discussion.

Chers lecteurs, dans ce monde seul le rapport de force compte et nous gagnons, nous Aryens, à nous revendiquer publiquement du bouddhisme pour faire valoir nos droits à brandir la swastika, surtout quand la police hébraïque vient nous menacer pour l’avoir fait.

Comprenez bien ceci : se mettre à dos les bouddhistes, c’est marcher sur les pieds d’un demi milliard de personnes vivant dans une quinzaine de pays, et pas des moindre, sans compter leur diaspora mondiale. Elles sont certes asiatiques, mais ça n’est que mieux : les Asiatiques sont cognitivement fonctionnels et gèrent des économies performantes, ce qui accroît l’influence culturelle des organisations bouddhistes internationalement, et contraint les démocraties abrahamiques à mesurer leur attitude.

Le grand avantage du bouddhisme est son caractère non-orthodoxe, si bien que nous pouvons nous décréter bouddhistes, avec notre propre sensibilité, une sensibilité aryenne originelle, et n’en répondre à personne. Et nous pouvons même nous en servir comme vernis, comme le font les Japonais, tout en cultivant notre religion raciale ancestrale sans avoir à nous soucier de la cohérence de cet ensemble.

Aucun bouddhiste ne vient nous traiter d’hérétiques, la notion « d’hérésie » n’existe pas dans le bouddhisme, la diversité des vues y est la norme, tout comme le syncrétisme.

À charge pour nous de travailler notre intégration dans les réseaux du bouddhisme mondial organisé et de nous présenter pour ce que nous sommes : des Aryens persécutés par les abrahamistes (juifs, marxistes, maçons, etc.).

Rassurez-vous, vous n’avez pas besoin de vous déguiser en bonze, une swastika autour du cou ou des runes suffisent amplement.

Au 21e siècle, créer sa religion est la façon la plus sûre de se doter des moyens de survivre. Si des nègres le font partout en France dans des églises improvisées, nous pouvons le faire.

Mieux, nous devons le faire.

Les militants de la démocratie participative le savent, la swastika est la clef de la victoire contre les ténèbres, et la swastika rassemble toutes les forces de vie.

Rejoignez-nous et organisons ce grand mouvement d’émancipation spirituelle.