C’est l’heure de crever, goyim !

La Rédaction
Démocratie Participative
04 mai 2025

 

Avec la guerre en Ukraine qui continue de couver, on peut compter sur la droite pour célébrer le patriotisme antifasciste des veilles de mobilisation.

Les 8 mai, victoire des démocraties juives et des marxistes contre l’Europe, est une fête chère à nos coeurs.

Comme en 14 !

Mieux, comme en 39, pour dresser les Nazis !

D’ailleurs le petit dernier a l’air juste looké pour un petit tour à Odessa.

J’aurais aimé un tifo avec Charles Martel, bien plus d’actualité, histoire de vérifier quelque chose, mais j’ai déjà la réponse.

Être « patriote », qui plus est en uniforme, dans un pays tenu par les juifs, c’est vouloir crever. Le « patriotisme », en France, c’est la longueur de laisse millimétrique concédée par les juifs à la populace goye, juste ce qu’il faut de colère ivrogne pour attaquer sur ordre.

Le Français n’y voit rien, pas plus aujourd’hui qu’il y a 150 ans. Crever pour la démocratie (les juifs et leur or) est son sacerdoce. Un tricolore qui s’agite et il débloque à s’en vider les veines, la cervelle échauffée par le premier ronflement de tambours. Il demande au juif où aller canner, qui ne se fait pas prier.

Ce tifo est une menace de mort.

Il faut apprendre, sous peine de demeurer plus sot, plus opaque, plus crédule qu’un veau dans sa première semaine, à repérer la marque, la trace, l’emprise, l’initiative des juifs, dans tous les chambardements du monde, où qu’ils s’effectuent… en Europe, en Amérique, en Asie… en n’importe quel lieu où se préparent les hécatombes, la destruction systématique, acharnée, des esprits et des viandes aryennes… Il faut apprendre à déceler dans la pratique quotidienne, la couleur et le ton, la jactance, de l’impérialisme juif, de la propagande juive (ou franc-maçonne), il faut apprendre à percer, déterminer, au fond de toutes les ombres, à travers tous ces dédales phrasouilleurs, entre les trames de toutes les calamités, derrière toutes les grimaces, l’universel mensonge, l’implacable mégalomanie conquérante juive… ses tartuferies, son racisme, tantôt larvaire, tantôt arrogant, tantôt délirant. Son imposture, l’énorme armement de cette cosmique permanente apocalypse.

Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre