La Rédaction
Démocratie Participative
27 mars 2025
Daniel Coh(e)n-Bendit était invité chez Patrick Coh(e)n pour expliquer à quel point il a beaucoup souffert.
« Je regrette d’avoir écrit ces trois lignes, mais pas le livre. Je décris et j’invente. On doit me reprocher cette volonté de provoquer. C’est idiot, c’est une tache. »
Accusations de pédophilie : @danycohnbendit s’exprime sur ses écrits dans ‘Le Grand Bazar’ #CàVous pic.twitter.com/Yp80CB9XPe
— C à vous (@cavousf5) March 26, 2025
Il a baissé d’un ton depuis l’époque où il pouvait donner libre cours à ses inavouables penchants.
S’il s’épanchait déjà en 1975 dans ses bouquins, Coh(e)n-Bendit était toujours sur le même registre huit ans plus tard.
Il ne s’agit pas d’un accident, mais de sentiments réels.
À l’époque, la gauche freudo-marxiste était triomphante.
Cette synagogue idéologique avait contaminé tout l’Occident depuis sa fondation à Francfort dans les années 1920 sous la houlette d’une poignée de révolutionnaires juifs : Horkheimer, Adorno, Fromm, Benjamin, Marcuse.
Cette synagogue avait deux figures tutélaires : les juifs Marx et Freud.
Après l’échec de la révolution bolchevique en Allemagne en 1918-1919, ces juifs de Francfort conclurent que le coup d’état révolutionnaire léniniste qui avait permis aux juifs de conquérir la Russie archaïque n’était pas la solution pour venir à bout des nations blanches organisées.
C’était plutôt en conquérant l’inconscient collectif des masses et en y injectant les représentations dictées par les juifs que la société aryenne serait détruite, puis remplacée par la société juive planétaire annoncée par Marx. Une société sans hiérarchie, revenue à l’état de barbarie primordiale, du moins entre les goyim car au dessus d’eux, comme en URSS, trônerait une classe de prêtres juifs aux pouvoirs absolus.
La ferme des animaux.
Avant de prendre durablement le pouvoir politique, il fallait d’abord le préparer en judaïsant la culture européenne jusqu’à lors produite par l’aristocratie, puis la bourgeoisie aryenne. Pour cela, il fallait détruire toutes les valeurs fondamentales préexistantes du monde aryen que portait le patriarcat hétérosexuel.
C’est en piratant la sexualité des foules que les juifs entreprirent de capturer puis de réduire les peuples blancs en esclavage. Le féminisme, c’est-à-dire le marxisme appliqué aux rapports entre les hommes et les femmes, fut inoculé aux femmes blanches pour les détourner de la maternité, tandis que les déviances sexuelles furent banalisées par les moyens médiatiques aux mains des juifs (littérature, presse, cinéma, radio) afin d’isoler la majorité hétérosexuelle et de la stériliser.
Ce mouvement de destruction devint paroxystique en Mai 68 lorsque les anarchistes juifs prirent la tête de l’agitation sociale.
Le vieux De Gaulle, singe de l’antifascisme, fut renversé peu après par ceux qu’il avait contribué à remettre au pouvoir en 1945. Avec lui, la vieille droite bourgeoise creva, remplacée par la droite libérale de Simone Veil qui mis en place toutes les mesures dégénératives voulues par les juifs : contraception féminine, avortement, immigration de remplacement avec le regroupement familial.
Mais les juifs ne se connaissant aucune limite, s’en prendre aux enfants était l’étape suivante logique.
C’était d’autant plus évident pour eux que la communauté juive entretient elle-même de problématiques pratiques familiales en son sein.
Hervé Ryssen l’explose avec brio dans son livre Psychanalyse du judaïsme où nous apprenons au fil des pages, au travers de centaines d’auteurs juifs, que tous, sans exception, sont familiers de l’inceste intra-communautaire.
Freud n’a fait que projeté sur les goyim les turpitudes millénaires de la Judée vagabonde.
Coh(e)n-Bendit n’innovait pas, il poursuivait l’entreprise de destruction du monde blanc en s’attaque à son épicentre : les enfants blancs, objets de toutes les inavouables perversions de la juiverie.
Tout ceci doit nous rappeler que les Nationaux-Socialistes allemands avaient identifié le problème dès le début et mené une guerre brutale contre ces empoisonneurs du peuple.
Plus de 80 ans après, les juifs les poursuivent de leur haine avec un fanatisme intact.
Et pour cause.
En ce moment, l’heure n’est pas chez nous à la lutte contre ce poison, mais au contraire à sa défense.
Mariama Le Pen a repris à son compte les valeurs de ce système juif et se propose désormais de servir de matraque à la juiverie assiégée.
C’est normal.
Une femme moderne française ne peut rien faire d’autre que de servir les juifs qui l’ont créée en premier lieu.
Nos lecteurs auront compris qu’on ne peut se libérer du parasite juif sans neutraliser le poison qu’il nous déverse à flots dans le corps, à commencer par le féminisme.
C’est pourquoi notre slogan demeure : pas de femmes en politique.
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