Comprendre la psychologie gauchiste

La Rédaction
Démocratie Participative
19 mars 2025

 

Les gens qui ne les connaissent pas ont beaucoup de mal à comprendre la mythomanie des militants d’extrême-gauche. Elle est pourtant au coeur de leur psychologie.

Cette psychologie est caractérisée par plusieurs traits centraux.

Tout d’abord, le narcissisme. Se considérant comme les représentants d’une justice absolue, les membres de l’extrême-gauche agissent comme les gardiens d’une moralité supérieure qui leur confère une autorité illimitée sur autrui. La contestation de leurs positions est vécue émotionnellement par eux comme une remise en cause personnelle intolérable de leur droit à guider la société.

Ensuite, l’histrionisme. Si les militants d’extrême-gauche se considèrent comme des justiciers, c’est d’abord parce qu’ils se considèrent comme des victimes d’un ordre injuste. Comme une victime agressée, attirer l’attention sur eux par la dramatisation est indissociable de leur action.

La recherche de validation spectaculaire découle de l’histrionisme que développent les militants d’extrême-gauche.

La manipulation des autres par la victimisation afin de susciter l’empathie est le moyen concret qu’ils utilisent pour obtenir cette validation.

Ajoutons-y la projection et le déni. Les adeptes des groupes d’extrême-gauche, en se forgeant une image hyper morale d’eux-mêmes, n’assument pas de faire ce qu’ils accusent les autres (l’État, les fascistes) de faire, notamment le recours à la violence, au mensonge, à la manipulation.  Ils projettent préventivement sur leurs adversaires les agissements qu’ils commettent pour conserver le statut de victime symbolique, statut indissociable de la légitimité dont ils ont besoin, et ils nient avec véhémence leurs responsabilités même lorsqu’elle est avérée.

Enfin, les individus de ce courant évoluent en circuit fermé et développement des biais de confirmation pour justifier leur comportement. Cela neutralise les critiques externes et maintient la cohésion du groupe.

Vous remarquerez que cette psychologie est profondément sémitique.

On ne peut pas comprendre cette psychologie sans perdre de vue que l’appartenance à l’extrême-gauche est toujours conditionnée par de graves problèmes personnels (addictions, déviances sexuelles, marginalité, dépression, tendance suicidaire) qui sont le terreau de la mentalité victimaire (« c’est de la faute à »).

S’il n’y a pas l’équivalent à droite du mouvement « antifasciste », c’est parce que le rapport de dépendance émotionnel est à sens unique. Nihiliste, l’extrême-gauche se définit par un rapport de négation pure des valeurs sociales positives qu’elle ressent comme oppressives (travail, hétérosexualité, famille nucléaire). Dans son imaginaire malade, le fascisme incarne la domination militante de ces valeurs. Le fascisme angoisse l’extrême-gauche comme l’abstinence angoisse l’héroïnomane.

Adossée à l’égalité, la démocratie place son curseur à gauche par défaut. Le paradigme dominant est celui du clivage entre « oppresseurs » et « opprimés », c’est-à-dire, en principe, contre toute forme de hiérarchies naturelles. Cette identité commune crée un cadre culturel bienveillant pour la gauche la plus radicale et fait de leurs opposants de droite des suspects permanents.

La mentalité de gauche n’est que l’actualisation du christianisme comme structure mentale, même si la gauche s’est débarrassée de la croyance en dieu ainsi que des rites. Demeure l’idée d’un monde matériel profondément injuste et immoral, divisé entre deux catégories d’hommes : bourreaux et victimes. Ce paradigme est celui de la Tikkoun Olam du judaïsme, matrice de la vision du monde chrétienne qui a ensuite été laïcisée par les démocrates et les marxistes.

Pour s’en libérer, il faut rechercher la destruction de l’ordre en place afin de réaliser une utopie égalitaire parfaite, débarrassée de la cause de l’injustice : les hiérarchies physiques illégitimes, sources de conflits (raciales, nationales, sociales).

Cette volonté infantile de retour à un monde indifférencié où la lutte pour la survie n’existerait plus n’est que la transposition ici bas du paradis imaginaire des Chrétiens.

Pour détruire tout ce qui leur est supérieur, ces Chrétiens sans dieu qui se concentrent à l’extrême-gauche, véritables révolutionnaires juifs synthétiques, recrutent dans toutes les marges pour les transformer en foyers d’incendie.

Néron a eu raison d’accuser formellement les Chrétiens d’avoir incendié Rome. Et cette canaille, de manière caractéristique, l’a accusé de son propre forfait au point où le défenseur de Rome s’est vu accabler de sa résistance déterminée au poison du bolchevisme judéo-chrétien.

Memoria tua, Nero, salutetur, qui humanitatem a periculo Iudaico defendisti.

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