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La Rédaction
Démocratie Participative
17 mars 2025
L’ogre judéo-yankee a réveillé les Danois.
Même les cannibales du Groenland se mobilisent pour rester sous la tutelle viking.
Outside of the US consulate.
Nuuk, Greenland 🇬🇱
March 15, 2025 pic.twitter.com/YWCBo0IjIC— Orla Joelsen (@OJoelsen) March 15, 2025
L’avantage d’un boycott des produits américains, c’est que c’est ça restaure immédiatement la santé.
TV2 :
Donald Trump est ici, là et partout, et pour la moitié des Danois, il remplit aussi leur panier d’achat.
Un Danois sur deux a délibérément évité d’acheter des produits américains depuis l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
C’est ce qui ressort d’une nouvelle enquête menée par Megafon pour TV 2.
Si vous êtes un Danois adepte du boycott, vous avez reçu mercredi et jeudi un coup de main bienvenu pour savoir où sont fabriqués les produits spécifiques qui se trouvent dans les rayons épicerie.
Le groupe Salling, qui est est propriétaire de plusieurs des plus grandes chaînes de supermarchés du pays, a apposé une étoile noire sur les étiquettes de prix des produits qui sont principalement fabriqués sur le continent européen.
Les membres du groupe Facebook « Boycott des produits en provenance des États-Unis » ont ainsi moins de travail. Dans ce groupe, plus de 80 000 membres échangent des conseils et des astuces pour éviter les produits américains, qu’il s’agisse de guitares ou de chewing-gum.
Cependant, certains produits peuvent être difficiles à placer sur le globe.
Le Coca-Cola, par exemple, dont la plupart des gens pensent qu’il appartient à l’Amérique, est produit dans les brasseries Carlsberg depuis 91 ans.
« Bien que le Coca-Cola soit d’origine américaine, le produit lui-même est très danois et local », écrit Carlsberg dans un courriel adressé à TV 2.
Mais il ne faut pas s’attendre à ce que les consommateurs soient capables de voir à travers les structures des entreprises internationales, explique Ann Lehmann Erichsen, économiste de la consommation à la Sydbank.
« Le consommateur politisé boycotte pour faire entendre sa voix, et il ne s’intéresse qu’à la marque américaine, même si cela peut affecter des emplois danois », dit-elle.
Une autre marque qui a récemment connu une forte baisse de ses ventes est le fabricant de voitures électriques Tesla, dirigé par Elon Musk, le partenaire d’affaires de Donald Trump.
Alors que les ventes de voitures électriques dans leur ensemble ont augmenté de 72 % en février par rapport à l’année dernière, Tesla a enregistré une baisse de 40 % pour ses deux modèles les plus populaires.
Dans l’enquête de Megafon, 81 % des personnes interrogées ont déclaré avoir une vision plus négative de Tesla depuis que Donald Trump a pris place à la Maison Blanche.
Seule une personne interrogée sur 100 a déclaré avoir une vision plus positive de la marque automobile américaine.
Et la recherche d’alternatives par les consommateurs ne sera pas de courte durée, prédit l’économiste de la consommation.
« Ce que vous faites maintenant, où vous commencez à boire d’autres types de boissons gazeuses que le Coca et peut-être à acheter une voiture allemande, sera une tendance durable. Une fois que l’on a trouvé une bonne alternative, on ne revient plus en arrière« , explique Ann Lehmann Erichsen.
Marie Andersen, responsable de la marque Clever, fait partie de ceux qui ont trouvé des alternatives. Elle affirme être devenue une « consommatrice plus consciente ».
« J’évite le Coca-Cola et les chocolats américains comme les barres de mars et autres. S’il existe une alternative européenne, je préfère l’acheter », dit-elle.
Les États-Unis sont responsables d’une grande partie de l’infrastructure technologique, avec Facebook, Apple et Google, entre autres, sous la bannière américaine. Ici, il peut être plus difficile d’éviter le boycott, explique Birgitte Fabricius, retraitée.
« Il faut avoir les connaissances nécessaires. Et puis il y a des choses qui sont un peu plus difficiles. Si vous utilisez un logiciel, il vous faudra plus de temps pour trouver une alternative que d’acheter un autre shampoing ou un autre soda », explique-t-elle.
Plusieurs chaînes de magasins auxquelles TV 2 s’est adressée déclarent qu’il est encore trop tôt pour évaluer l’impact de l’abandon des produits américains.
Selon Ann Lehmann Erichsen, le boycott doit être considéré comme faisant partie de quelque chose de plus grand qu’une simple question de dollars et de centimes.
« Il ne fait pas nécessairement la différence ici et maintenant, mais c’est une occasion pour les consommateurs de protester contre la situation mondiale actuelle », dit-elle.
L’autre avantage d’un tel boycott, c’est que ça évite de mourir brûlé vif dans une des voitures tueuses de Mumbaï Musk.
Comme nos lecteurs le savent désormais, le meurtre se déroule toujours selon le même modus operandi : depuis le Gujurat, les complices hindous de Musk font accélérer expontentiellement la Tesla jusqu’à ce qu’elle percute un obstacle à pleine vitesse.
Les victimes se voient mourir, incapables de freiner.
Il y a quelques jours, une innocente a été exécutée de cette manière.
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