De Pourim à Sparte

La Rédaction
Démocratie Participative
14 mars 2025

 

C’est Pourim à Tel Aviv en ce moment. Les juifs dansent tous dans les rues parce qu’il y a 2 400 ans, des perdants vilains et jaloux ont essayé de nous tuer tous, sans y parvenir. Voilà comment ça marche : vous essayez, vous échouez, vous mourez, nous faisons la fête pendant des milliers d’années après que plus personne ne se souvienne que vous avez existé.

C’est exact : les juifs sont tout à la fois génocidaires et rancuniers, au point de célébrer un de leurs crimes de masse pendant 25 siècles, et ce alors qu’ils sont occupés à en commettre un autre.

Mieux : ils en font une fête religieuse.

Les goyim ne connaissent pas les juifs. À leur décharge, les juifs supervisent un gigantesque effort de propagande pour convaincre les goyim qu’ils sont innocents et perpétuellement victimes de gens qui les haïssent sans raison.

Revenons donc à cette fête de Pourim.

C’est le Livre d’Esther, dans la Torah, qui nous en apprend l’origine. Nous sommes au Ve siècle avant Jésus-Christ, dans l’Empire achéménide perse, qui s’étend alors « de l’Inde à l’Éthiopie » sur 127 provinces (Esther 1:1). Cet empire est à son apogée sous Xerxès Ier et couvre une vaste région incluant la Mésopotamie, l’Iran actuel, l’Asie Mineure (Turquie), l’Égypte et des parties de l’Asie centrale, avec une population totale estimée entre 20 et 50 millions d’habitants selon les historiens.

Les Juifs sont alors fermement établis dans l’empire. Cette présence s’explique par la victoire de Cyrus le Grand, roi de Perse, contre l’Empire babylonien où vivait une large population juive. Victorieux et libéral, il autorisa les Juifs de Babylone à retourner à Jérusalem pour y reconstruire leur temple (Édit de Cyrus, Ezra 1:1-4). Les Juifs, cependant, étaient moins intéressés par la perspective de soulever quelques pierres que par les fantastiques richesses de l’Empire perse. Au lieu de faire route vers leur « terre promise » à l’ouest, beaucoup refusèrent de rentrer et se dirigèrent vers l’est, dans les vastes territoires perses.

Le Livre d’Esther évoque la présence juive « dans toutes les provinces » (Esther 3:8), suggérant une diaspora étendue, résultat de l’entreprise de colonisation citée précédemment. Les historiens estiment que les Juifs représentaient probablement 0,5 à 1 % de la population totale de l’empire, soit entre 100 000 et 500 000 personnes réparties dans les 127 provinces.

Regroupés dans la capitale impériale, à Suse, les Juifs verrouillèrent bientôt toutes les administrations de l’État, à commencer par le Trésor et la perception de l’impôt. Prêtant à des taux prohibitifs, les banquiers juifs se faisaient rembourser par leurs agents aux commandes des finances de l’Empire perse, ruinant à la fois l’État et les sujets de l’empereur Assuérus, ce qui ne manqua pas de provoquer la colère populaire tandis que des signes de révolution se multipliaient.

Assuérus

Haman, chef du gouvernement impérial et loyal serviteur de son empereur, veut conjurer le chaos qui menace et restaurer la Perse dans sa pleine souveraineté. Mais entretemps, à l’instar d’un Elon Musk qui se ferait manipuler par la juive Ashley St. Clair, les rabbins placent dans l’entourage du monarque Esther, une prostituée juive élevée par un certain Mardochée, qui doit le séduire pour le pousser à répudier sa femme, Vashti, et en faire sa nouvelle épouse officielle. Les Juifs espèrent ainsi placer à la tête de l’État un petit Juif qui, arrivé au sommet du pouvoir, écrasera plus impitoyablement les peuples de l’empire, leur suçant le sang pour le compte de la Synagogue sous le masque de la légitimité monarchique.

Le roi ne tarde pas à divorcer de la reine Vashti sous le prétexte qu’elle a refusé de se présenter à un banquet. Le patriote Haman est bientôt humilié par Mardochée, qui se fait désormais inviter à la cour impériale où l’arrogant proxénète refuse de s’incliner devant lui, malgré son rang de premier ministre. Face aux graves troubles populaires, Haman convainc l’empereur Assuérus d’édicter un décret ordonnant l’expulsion de tous les Juifs de l’empire le 13 Adar, date tirée au sort (en hébreu, Pourim signifie « sorts »).

Mardochée ordonne alors à Esther d’intervenir auprès de l’empereur à la faveur des nuits où elle se trouve dans sa couche. Esther obtient de lui qu’elle organise deux banquets officiels en présence du premier ministre, Haman. Lors du second, elle proclame à l’assistance sa loyauté envers la race juive et accuse Haman de complot contre l’empereur et le bien de la Perse. Assuérus, devenu la créature passive de sa maîtresse juive, consent à faire pendre le patriote à la potence à laquelle le conspirateur Mardochée aurait dû se balancer quelques jours plus tard. Pour les Perses, c’est le glas.

Un décret est prononcé enjoignant aux Juifs d’assassiner tous les membres du parti patriotique. Renforcés par la police d’Assuérus, le 13 Adar, les Juifs exterminent aveuglément tous ceux qui pouvaient représenter un danger pour l’avènement de la tyrannie juive. Le 14 Adar est proclamé jour de fête par le nouveau gouvernement révolutionnaire : « Pourim ».

Les chiffres du génocide sont connus. À Suse, la capitale, les Juifs tuent, le premier jour du génocide, 500 dignitaires perses, ainsi que les 10 fils du premier ministre Haman (nommés dans Esther 9:7-10). Le 14 Adar, à la demande d’Esther, le roi autorise un jour supplémentaire de tuerie à Suse, où les Juifs assassinent 300 membres de la classe dirigeante perse qui avaient échappé aux premières exécutions (Esther 9:15). Loin de se cantonner à la capitale, le coup d’État bolchevique s’étend à l’ensemble des autres provinces de l’Empire perse où les cellules révolutionnaires juive s’activent frénétiquement, et l’on estime qu’au moins 75 000 personnes sont tuées lors de la seule première journée du carnage, le 13 Adar (Esther 9:16). L’extermination se poursuit pendant des semaines, totalisant probablement des centaines de milliers de victimes appartenant à l’élite de Perse.

Désormais maîtres de l’Empire perse, les Juifs décident de marcher sur l’autre puissance aryenne en expansion : la Grèce. Le fantoche Assuérus, dont le gouvernement est à présent aux mains du commissaire du peuple Mardochée, consent à lancer l’invasion de l’Hellade. Les cités grecques doivent être bolchevisées au terme d’une campagne militaire d’extermination. Pour mener cette colossale entreprise, toutes les provinces de l’empire sont mobilisées. Les cadres juifs du nouveau gouvernement les font sillonner pour mobiliser de force des centaines de milliers d’hommes qui seront jetés contre les phalanges grecques. Les immensités de l’empire sont livrées aux réquisitions à grande échelle afin de réunir les quantités astronomiques de vivres destinés à soutenir l’invasion. Complètement écrasés, les peuples perses ont le choix de mourir sous les murailles de la Grèce ou de mourir de famine sous la garde implacable des juifs restés à l’arrière. Une flotte massive est assemblée en Méditerranée avec pour objectif la destruction d’Athènes. Si elle réussit, la nuit juive s’emparera du monde civilisé.

Contre toute attente, un homme retarde de manière décisive l’invasion aux Thermopyles : Léonidas et ses 300 Spartiates.

C’est grâce à lui et à sa poignée de soldats d’élite que le monde aryen doit d’avoir illuminé l’Europe au lieu de sombrer dans les ténèbres du sémitisme.

Ὦ ξεῖν’, ἀγγέλλειν Λακεδαιμονίοις ὅτι τῇδε
κείμεθα, τοῖς κείνων ῥήμασι πειθόμενοι.

Étranger, va annoncer aux Lacédémoniens que nous gisons ici, obéissant à leurs ordres