La Rédaction
Démocratie Participative
04 février 2025
Règle n°1 : moins les Arabes veulent retourner dans leur pays, plus ils sont ultra-nationalistes
Je ne sais pas qui a eu cette idée stupide, mais cela ne peut être que des gens malhonnêtes, certainement des homosexuels et des femmes blanches.
Remix :
Le programme de retour volontaire pour les réfugiés syriens à Dresde a connu un taux de participation catastrophique, ce qui soulève des questions quant à l’efficacité de ce type de programme. Malgré les incitations financières offertes – 1 000 euros par adulte et 4 000 euros par famille – seuls quatre Syriens sur les 7 433 que compte la ville se sont portés candidats depuis le lancement du programme au début de l’année.
Les autorités de Dresde avaient présenté cette initiative comme un moyen pour les Syriens de rentrer chez eux après la fin de la guerre civile. « Les Syriens qui souhaitent retourner définitivement en Syrie après la chute du dictateur Assad peuvent bénéficier d’un soutien financier et organisationnel », a déclaré le gouvernement de la ville.
Cependant, le taux de participation de 0,5 % suggère que peu de personnes sont prêtes à accepter l’offre.
« Au total, quatre demandes de Syriens ont été soumises et traitées », a déclaré Alexander Buchmann, porte-parole de la ville, à Bild, confirmant qu’aucune personne n’était encore partie dans le cadre de ce programme. Les fonctionnaires n’ont pas révélé combien de Syriens ont pu quitter l’Allemagne sans demander d’aide financière.
Ces quatre Syriens sont certainement des islamistes qui comptaient rejoindre le nouveau paradis démocratique syrien.
C’est donc une sorte de prime.
Les autorités municipales de Dresde ont exprimé leur inquiétude quant à la charge financière que représente le nombre actuel de demandeurs d’asile. Elles ont récemment annoncé la fermeture du plus grand centre d’hébergement partagé de la ville à partir du mois de mars, en invoquant les coûts de subsistance.
M. Buchmann a expliqué que le coût pour l’État de la fourniture de trois repas par jour s’élève à près de 8 000 euros par jour, en plus des prestations, du logement et des coûts de sécurité supplémentaires.
Les difficultés rencontrées par l’Allemagne pour intégrer les réfugiés syriens font depuis longtemps l’objet de débats. En août 2024, la moitié des Syriens en Allemagne – 518 050 sur environ 1 million – resteront dépendants des prestations de l’État (Bürgergeld), selon l’Agence fédérale pour l’emploi.
Plusieurs pays européens ont adopté des programmes visant à encourager ou à imposer le rapatriement des Syriens après la chute du régime d’Assad.
Le Danemark offre les incitations financières les plus généreuses, allant jusqu’à 26 818 euros par adulte et 6 700 euros par enfant dans le cadre de sa loi sur le rapatriement. On ignore combien de Syriens ont profité de cette offre.
L’Autriche a récemment lancé un processus de réexamen des demandes d’asile des Syriens, en se demandant si les personnes bénéficiant d’une protection en ont toujours besoin. Les autorités exigent des preuves d’intégration, telles que l’emploi et la scolarisation, avant de renouveler les permis de séjour. Cette politique devrait devenir plus restrictive si les négociations de coalition entre le parti de droite FPÖ et le parti de centre-droit ÖVP aboutissent.
Aux Pays-Bas, les appels à l’expulsion se sont multipliés, Geert Wilders, chef du PVV, le parti au pouvoir, préconisant des retours massifs de réfugiés syriens.
Il commentait l’agression mortelle d’une fillette de 11 ans par un migrant dont on a d’abord dit qu’il était syrien ; la police a toutefois confirmé par la suite qu’il s’agissait d’un ressortissant marocain ayant la double nationalité néerlandaise.
Ces politiciens ne font rien, si ce n’est discourir.
Tant que l’Europe sera soumise au système démocratique, c’est-à-dire à la tyrannie de quelques juges inféodés à la finance juive et au grand patronat, aucun programme d’expulsion de masse ne pourra se matérialiser.
Qui peut imaginer une idée aussi absurde que soudoyer son envahisseur pour qu’il veuille repartir ? C’est une désastreuse preuve de faiblesse.
Pour un parasite du tiers-monde, a fortiori musulman, aucun chèque ne peut compenser le fait de vivre dans un pays blanc. Il lui suffit de rester pour bénéficier des allocations ad vitam aeternam.
Pour régler cette question de l’immigration, il faut un système différent composé d’hommes blancs, professionnels et motivés. Tout ça serait d’une facilité déconcertante une fois la démocratie abolie.
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