La Rédaction
Démocratie Participative
21 mars 2025
Des centaines de migrants marocains se sont rassemblés à la frontière de Ceuta pour entrer en Espagne.
🚨🚨BREAKING NOW
Hundreds of Moroccan migrants gathered at the Ceuta border to enter Spain.
— Update NEWS (@UpdateNews724) September 15, 2024
La démocratie détruit l’Espagne, comme tous les pays où elle est appliquée.
Remix :
L’Espagne suit les tendances observées dans le monde occidental, à savoir que les jeunes sans but sont de plus en plus écartés du marché du travail, surtout s’ils sont natifs du pays, et que les emplois sont de plus en plus attribués à des étrangers.
Les données de l’Espagne montrent une tendance extrême : sur l’ensemble des emplois créés entre 2019 et 2024, 71,4 % ont été attribués à des étrangers, selon une étude de la Fondation pour les études économiques appliquées (Fedea).
« Nous importons des serveurs et des maçons tout en exportant des médecins et des ingénieurs, ce qui est une tragédie car nous avons dépensé une fortune pour les former et ils représentent le grand talent dont dépendent la croissance du pays et la concentration d’entreprises à forte valeur ajoutée », a déclaré Jesús Vega, ancien directeur des ressources humaines chez Inditex et Banco Santander, dans une interview accordée à El Debate.
Il a affirmé que les politiques de l’emploi en Espagne « font fuir les salaires qui contribuent réellement au pays ».
Je crois retrouver un schéma qui m’est familier.
À l’heure actuelle, les étrangers représentent 20,7 % de l’ensemble des travailleurs du pays. Ces travailleurs se retrouvent dans les secteurs de la construction, de l’hôtellerie et des professions élémentaires, ainsi que dans les postes techniques, bien que dans une moindre mesure. Ces postes sont généralement considérés comme peu qualifiés, ce qui, selon les experts de l’étude, est lié au fait que les étrangers arrivant en Espagne ont généralement un niveau d’éducation inférieur à celui des Espagnols de souche.
On ne peut pas avoir le féminisme, l’avortement de masse, la pilule et un pays blanc.
C’est l’un ou l’autre.
Au cours de cette période, l’étude note qu’il y a eu une augmentation de près de 2 millions de travailleurs et une diminution du chômage de 438 000 personnes. Toutefois, la quasi-totalité de ces emplois sont allés à des personnes âgées de plus de 50 ans, soit 74,7 %. Par ailleurs, 634 000 emplois ont été perdus en cinq ans pour les personnes âgées de 30 à 44 ans.
Dans la tranche d’âge des 45-49 ans, l’augmentation du nombre d’emplois n’a été que de 70 000.
L’Espagne, qui lutte déjà depuis des décennies contre le chômage des jeunes, ne fait qu’empirer à cet égard. Le nombre de travailleurs de plus de 50 ans a augmenté de cinq points, pour atteindre 35 % au cours des cinq dernières années.
Selon les experts à l’origine de l’étude, alors que les étrangers prennent de plus en plus d’emplois, de même que les travailleurs plus âgés, les jeunes travailleurs sont de plus en plus nombreux à quitter la population active.
Il se peut aussi que certains de ces jeunes travailleurs quittent tout simplement l’Espagne, ce que les données semblent confirmer. Les données sur les flux migratoires de l’Institut national de la statistique et du recensement (INE) montrent qu’au cours du premier semestre 2022, 220 443 personnes ont quitté le pays, soit le chiffre le plus élevé depuis 2013. Cette année-là, la crise financière a atteint son paroxysme, avec un taux de chômage de 25 %. Les données montrent également que la tranche d’âge qui a le plus quitté le pays en 2022 est celle des 25-39 ans.
Les jeunes ont un cerveau.
Ils savent qu’ils sont les dindons de la pyramide de Ponzi des retraites que les politiciens maintiennent artificiellement en vie grâce à l’immigration, puisque le féminisme a soufflé la natalité espagnole — 1,1 enfants par femme.
Avec une moyenne d’âge de 45 ans, le système de redistribution socialiste adossé à la démocratie consumériste approche de ses limites.
Les salaires sont toujours plus comprimés, les impôts et taxes toujours plus élevés, le coût de la vie augmente sous l’effet du prix de l’énergie, et de tout ce qui lui est lié.
En surplus, toutes les valeurs de l’Espagne socialiste sont des valeurs morbides, anti-patriotiques, anti-familiales, nihilistes.
Laissé à lui-même, un tel système ne peut s’arrêter que lorsque tous les vieux sont morts et que le pays est devenu intégralement marron. C’est lorsque les courbes du vieillissement des autochtones et celle de l’immigration de remplacement se rapprochent dangereusement, le pays se désagrège subitement.
Les jeunes ne veulent pas faire les frais de la chute de ce système dont ils sont les otages impuissants.
En temps normal, une révolution aurait réglé le problème, mais des sociétés peuplées de quinquagénaires font difficilement des révolutions.
Pour l’Espagne, la démocratie a été un désastre. C’est probablement un des pays les moins susceptibles de s’y adapter.
Hélas, pour l’heure, aucun Primo de Rivera à l’horizon en Ibérie.
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