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Par Jean Draut

Le marquis de Morès est bien oublié de la jeune génération. Il fut pourtant un des précurseurs du mouvement social actuel et tenta, dès 1888, il y a bien près d’un demi-siècle, en Amérique, sur une vaste échelle, un essai d’amélioration de vie pour les classes dites pauvres et assujetties au travail quotidien et exténuant de l’usine.

Mal lui en prit. Il se heurta aux trusts juifs et fut presque ruiné.

Énergique et aventureux, il tenta ensuite de réaliser au profit de la France un vaste projet colonial. Là, il se heurta aux Anglais, engagea la lutte contre eux et périt dans un guet-apens à El-Ouatia.

Sa vie tient du roman ; elle est utile à rappeler à une époque où nous avons besoin de professeurs d’énergie.

Né en 1858, sorti de Saint-Cyr dans les premiers numéros, nommé sous-lieutenant au 1er cuirassiers après son stage réglementaire à Saumur, il étonnait les meilleurs écuyers en plaçant une pièce de cent sous entre chacun de ses genoux et la selle. Lançant son cheval au galop, il lui faisait sauter les obstacles habituels : haies, barrières, rivières, revenait à son point de départ et retirait les deux pièces serrées entre ses genoux et la selle. Elles n’avaient point bougé.

À Saumur, il avait eu comme camarade le futur officier de hussards Foucauld [Charles de Foucauld]. Le samedi, quand tous deux craignaient de rater le train qui devait les emmener en permission à Paris, ils gagnaient le pont sous lequel devait passer le train. Du pont, ils sautaient sur le toit d’un wagon quand le train arrivait. Tous deux devaient être un jour massacrés en Afrique : Morès comme explorateur ; Foucauld comme apôtre du désert.

Comme officier de cuirassiers, le marquis de Morès trouva les petites garnisons de l’Est ennuyeuses et moroses, encore qu’il essayât de se distraire en faisant de l’aérostation. Il y risqua sa vie. L’aviation n’était pas née. Sans quoi, son nom serait inscrit au martyrologue de nos aviateurs.

Il n’avait qu’à se laisser vivre pour devenir colonel à l’ancienneté, puis général.

Il préféra démissionner. En 1882, il était avec son père, le duc de Vallombrosa, à Cannes, où il fit la connaissance d’une jeune Américaine, Mlle Médora de Hoffmann, fille d’un banquier de New-York. Il l’épousa le 15 février 1882.

Petit-fils du duc des Cars, qui avait commandé une division de l’expédition d’Alger, en 1830, il était riche du côté paternel comme du côté maternel. Mais il n’était pas fait du bois dont on faisait les fashionnables de la haute vie parisienne.

Il se fit initier aux affaires par son beau-père, gagna l’Amérique, alla chercher un coin sauvage du Dakota et s’y établit avec sa femme en avril 1883.

Il groupa de petits émigrants, leur fit transformer des hectares de forêts en terres d’élevage, créa des troupeaux, engagea des cow-boys, des maçons, des terrassiers, des couvreurs, et créa une ville qui existe encore et qui s’appelle, du nom de sa femme : Medoraville… Sa statue s’y dresse.

Son idée était de fournir New-York et Chicago en viande à bon marché. Il se heurta au trust juif de la viande.

Et aussi aux gangsters qui venaient, de temps en temps, piller les habitants de Medoraville.

Il avait des miliciens. À leur tête, il galopait vers les voleurs, les traquait dans leurs repaires.

Le trust de la viande tenta d’abord d’acheter ce concurrent qui se mêlait de vouloir faire baisser le prix de l’aloyau. Morès refusa. On lui proposa une alliance. Nouveau refus. Alors, ce fut la guerre. Sa viande fut boycottée par les 1,800 bouchers israélites de Chicago.

Le marquis ouvrit alors des boucheries de détail dans Chicago et vendit directement aux consommateurs.

Le trust de la viande n’eut qu’à faire un signe évidemment rituel aux 1,800 bouchers juifs pour organiser une baisse formidable. On prenait chaque jour les prix de Morès et on vendait quatre sous de moins la livre. La bêtise du consommateur étant partout la même, le public se rua aux boucheries juives. L’affaire du marquis de Morès sauta. Après quoi, les boucheries juives reprirent leurs anciens prix. La viande remonta de trente pour cent.

Le fondateur de Medoraville paya ses différences et quitta l’Amérique. Il était désormais antisémite.

Il entreprit, pour se consoler, un voyage aux Indes avec sa femme et les deux enfants qui lui étaient nés. Il y chassa le tigre.

L’Indochine proche l’attira. Cette colonie était alors loin d’être pacifiée. À Saïgon, il fit la connaissance du gouverneur général Richaud. C’est là qu’il écrivit une brochure qui fit du bruit à l’époque et qui le désigna, dès lors, à la haine implacable des Anglais. La brochure était intitulée : Pour pénétrer en Chine.

Étienne Richaud

Il y démontrait que c’est par le Tonkin que devait être tentée la pénétration en Chine. Il y avait alors quelques rares radicaux qui n’étaient pas des crétins ou des gredins, dont le ministre Goblet, qui comprit la brochure et encouragea le candidat explorateur.

Morès alla étudier la colonie anglaise de Hong-Kong, puis gagna seul Lang-Son. Dans ce pays alors infesté de brigands, il était précédé d’un seul Chinois porteur d’un drapeau sur lequel on lisait : « Ni soldat, ni percepteur ! Faiseur de routes et médecin ». Le Chinois avait, en outre, sur son dos, une caisse de médicaments.

Aux brigands, aux pirates rencontrés, il offrait dix sous par jour, au lieu des sept qui étaient le tarif ordinaire, pour bâtir, cultiver, faire des routes et travailler aux voies ferrées.

12,000 de ces gens calculèrent que le travail rapportait plus et était moins dangereux que de piller et d’assassiner.

Il fit construire un blockaus qui lui coûta 120,000 francs, créa une région prospère, nettoyée, dont il était une sorte de roi.

Pour ses travaux et ses dépenses, Richaud estimait que le marquis avait bien droit à une concession. Il voulait la lui attribuer tout de suite.

« Non ! répondit Morès, on clabaudera, on criera que je vous l’ai achetée. Nommez une commission qui étudiera mon projet de pénétration, décidera si j’ai droit à une concession et témoignera que je ne la dois pas à un pot-de-vin. »

Richaud accéda à cette demande, nomma un capitaine de frégate, un chef d’escadron, un ingénieur, un agent des finances et un résident.

L’ingénieur était juif. Il profita de la chute du ministère Goblet et de l’ébranlement de la situation de Richaud pour proposer au marquis un marché comme il s’en faisait tous les jours au Palais-Bourbon.

« Si vous ne me donnez pas 20,000 francs, votre contrat ne sera pas signé. »

Il ne le fut pas. Morès avait bondi. M. Lion avait reculé, redoutant ce qui est arrivé depuis à M. Zay.

Saïgon

Richaud était alors rappelé. Il mourait d’un mal étrange, sur le bateau qui le ramenait en France, et ses papiers étaient jetés à la mer avec son corps. Ces papiers-là contenaient les preuves des concessions indochinoises de M. Constans, prédécesseur de Richaud. Et Constans était alors ministre de l’Intérieur depuis quelques semaines !

Mais Morès, qui rentrait par un autre bateau, avait les doubles des papiers redoutés du franc-maçon Constans.

C’est avec ces papiers que, voulant venger Richaud, il engagea à Toulouse cette fameuse bataille électorale contre le ministre Constans, bataille où il faillit vingt fois être assassiné par une police aux ordres du ministre-candidat. Morès avait comme candidat Susini, étiqueté socialiste-boulangiste. Mais c’est la peau de Constans qu’il voulait.

Ernest Constans

Il l’eut dans une certaine mesure. La judéo-maçonnerie réussit à faire réélire député, au second tour seulement, tel un Herriot, ce ministre de l’Intérieur dont elle avait besoin. Le préfet de Toulouse s’appelait alors Cohn, ce qui était tout un programme !

Mais Constans avait eu une si faible majorité, que, discrédité, une fois tombé du pouvoir, il ne fut plus jamais ministre et fut retraité à Constantinople comme ambassadeur.

Morès mena dès lors une campagne antijuive et antimaçonnique dont ceux des « temps héroïques » qui vivent encore se souviennent avec une émotion admirative. On le vit dans tous les meetings de Drumont, de Jacques de Biez et de Jules Guérin.

Puis il aborda l’ennemi n°1 de la France par la bande, c’est-à-dire par le désert : l’Anglais.

Raconter l’expédition dans laquelle il fut trahi par une escorte qu’avait payée l’Angleterre avec la complicité de la régence maçonnique de Tunis, c’est évoquer une fois de plus son prodigieux héroïsme.

Il abattit d’un coup de revolver le méhari sur lequel il était monté, se fit d’abord un rempart de son corps, puis gagna un arbre auquel il s’adossa, épuisé de coups et ensanglanté, lutta, seul, pendant plusieurs heures contre cent Touaregs qui n’osaient l’approcher. Il reçut le coup mortel, le dernier, par derrière, l’un des chacals ayant parcouru un grand cercle pour le tourner sans être aperçu de lui.

Et pourquoi l’Angleterre le fit-elle assassiner ?

Il était sur le chemin de Fachoda !

Deux ans après, Marchand y était aussi, mais était obligé d’évacuer ce pays conquis par lui sans effusion de sang !

Édouard Drumont

C’est à Morès, son compagnon des rudes campagnes antijuives, qu’en 1890, Drumont dédia son fameux livre, Dernière bataille. La préface-dédicace débute ainsi :

« Riche, comblé de tous les dons, brillant officier, vous avez voulu vivre au milieu des pionniers de la libre Amérique, la rude et virile existence des héros de Fenimore Cooper. Vous avez quitté ce Paris qui vous aimait pour votre belle humeur et votre esprit, ce Paris où la destinée vous avait préparé un lit si luxueux et si doux, pour aller planter votre tente aventureuse à la lisière des forêts vierges, sur un sol encore à moitié sauvage où l’homme ne vaut que par lui-même et ne peut compter que sur lui-même… »

Dans cet ouvrage, l’auteur de la France juive éprouve un visible plaisir à évoquer les souvenirs de sa jeunesse laborieuse et pauvre, si différente de celle du patricien associé depuis peu à sa cause. Quelle admiration secrète il éprouvait pour cet officier de cuirassier démissionnaire duquel il a écrit que si celui-ci avait vécu sous l’Empire, il aurait connu une destinée égale à celle du général Lasalle et de Murat !

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Le tas de sable est en fait une vache morte enterrée dans le sable et la bouse au milieu de la gare.

Western tourists are often surprised to see dead animals covered with sand on the floor of the train station.

According to this seasoned traveler, « It’s an environment slightly worse than your vision of hell as a kid ». pic.twitter.com/TWX71zHBGL

— Dane (@UltraDane) April 15, 2025

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L’Autriche, c’était mieux avant.

Remix :

Près de 47 % de tous les suspects de crimes en Autriche l’année dernière n’étaient pas autrichiens, selon les statistiques de la police récemment publiées pour 2024.

Au total, 335 911 suspects ont fait l’objet d’une enquête, les plus grands groupes de ressortissants étrangers étant originaires de Roumanie, d’Allemagne et de Syrie. À eux seuls, les suspects syriens ont connu la plus forte augmentation, soit près de 30 % par rapport à l’année précédente.

Les chiffres relatifs aux suspects allemands sont souvent faussés, étant donné que les ressortissants naturalisés étrangers sont classés comme Allemands dans les rapports sur la criminalité. De même, les étrangers naturalisés vivant en Autriche ne seront pas inclus dans la catégorie « étrangers », ce qui suggère que le nombre de suspects nés à l’étranger est probablement beaucoup plus élevé que 47 %.

Les données, présentées par le ministre de l’intérieur Gerhard Karner lundi, révèlent un total de 534 193 affaires criminelles signalées en 2024, soit une augmentation de 1,2 % par rapport à 2023. Le rapport met en évidence une augmentation significative de la délinquance juvénile, que M. Karner a décrite comme un problème « massif ».

Comme le rapporte Kurier, les rapports criminels impliquant des enfants âgés de 10 à 14 ans ont doublé ces dernières années, atteignant 12 049 en 2024. La proportion de suspects non autrichiens dans cette tranche d’âge s’élève à 48 %. M. Karner a déclaré que les signalements impliquant des mineurs syriens avaient « pratiquement décuplé », passant de 150 en 2020 à environ 1 000 l’année dernière.

« Il faut aborder les faits de manière claire et distincte. Le nombre de plaintes déposées par des suspects syriens est frappant », a déclaré Mme Karner.

Parmi les mineurs plus âgés (de 14 à 18 ans), le nombre de rapports criminels a augmenté pour atteindre 34 806. Les chiffres montrent que les mineurs sont de plus en plus impliqués dans des cambriolages et des dommages matériels, la police associant une part croissante des cambriolages de voitures et de distributeurs automatiques à des enfants et des adolescents.

Suite à l’annonce des statistiques sur la criminalité, Dominik Nepp, chef du FPÖ Vienne, a renouvelé ses appels à abaisser l’âge de la responsabilité pénale à 12 ans et a insisté sur la nécessité d’un contrôle plus strict de l’immigration. Le président de l’ÖVP Vienne, Karl Mahrer, a critiqué les politiques d’aide sociale et d’immigration de la ville, affirmant qu’elles agissaient comme un « aimant » pour l’activité criminelle.

Au moins, ils ne parlent pas allemand.

À #Villach en Autriche un syrien a attaqué au couteau 5 passants.
Une personne est morte (âgée de 14 ans) et 4 autres ont été blessées.
Voici son visage hilare lors de son arrestation.
L’#immigration tue, stoppons la ! pic.twitter.com/KfGNtjYieZ

— Nicolas Lauron (@LauronNicolas) February 15, 2025

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Si vous êtes homosexuel, tuer des gens en voiture est passible de 4 mois de prison.

France Info :

Pierre Palmade va pouvoir sortir de prison. Incarcéré depuis décembre à Gradignan (Gironde), l’humoriste a obtenu de la cour d’appel de Bordeaux l’aménagement de sa peine et sa libération prochaine sous bracelet électronique, a appris l’AFP auprès du parquet général, mardi 15 avril. La mesure prend effet mercredi « à 9 heures ».

Le 26 mars, le tribunal de l’application des peines de Bordeaux avait validé sa libération sous bracelet électronique, mais le parquet avait aussitôt déposé un recours qui suspendait cette décision. Pierre Palmade a été condamné en novembre à cinq ans de prison, dont deux ferme, pour avoir causé un accident de la route alors qu’il était sous l’emprise de drogues, en février 2023. Trois membres d’une même famille ont été blessés, dont une femme enceinte qui a perdu le fœtus.

A la prison de Gradignan, l’humoriste bénéficie de conditions d’incarcération réservées aux détenus médiatiques ou qui exercent une profession dite sensible, a appris France Bleu Gironde début décembre. Il est incarcéré dans une cellule individuelle, et dispose d’horaires de promenade personnels.

Cette affaire permet de mesurer les véritables hiérarchies du système.

Les systèmes démocratiques, ou marxistes, prêchent toujours un catéchisme lénifiant à propos de l’égalité universelle pour envoûter les masses crédules.

Paradoxalement, cela rend très difficile pour ces systèmes d’assumer le principe hiérarchique avec ses inévitables privilèges, passe-droits, etc..

Palmade est homosexuel et membre du petit cercle du showbiz parisien, ce qui lui confère un poids réel bien supérieur à la famille turque qu’il éclatée en voiture.

De son côté, cette famille turque est située à un échelon supérieur par rapport à une famille française (blanche), si bien que si c’était un père hétérosexuel blanc qui l’avait cartonnée en voiture, ce dernier aurait écopé du maximum de la peine prévue — sans bienveillance de la part de la juge d’application des peines (ce sont toutes des femmes).

En résumé, si vous êtes juif et pédé, vous pouvez vous considérer comme virtuellement au dessus des lois en vigueur, réservées à la plèbe blanche encore suffisamment idiote pour les respecter, et pire, payer ses impôts.

Si vous êtes un métèque, cela dépendra du contexte, et surtout de l’identité de la victime.

Les Algériens en font parfois l’expérience.

C’était avant que l’Algérie ne décide de lutter contre l’antisémitisme en refusent de reprendre ses ressortissants.

Le but du racisme politique est de changer tout cela pour rendre aux Blancs la place qui leur revient dans leurs propres pays.

C’est un concept révolutionnaire.

En effet, le racisme est une idée neuve en Europe.

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Il faut généraliser ce principe partout !

Interdire nos pays aux juifs est une nécessité vitale !

La Voix du Nord :

Les Maldives ont annoncé mardi l’interdiction de l’entrée des Israéliens sur leur sol pour exprimer leur «solidarité résolue» avec la population de Gaza, en proie à la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas.

Les parlementaires de l’archipel touristique de l’océan Indien ont approuvé un projet de loi en ce sens, aussitôt promulgué par le président Mohamed Muizzu.

Le très honorable Mohamed Muizzu, président des Madives, militant endurci de la paix

«Cette ratification reflète la position déterminée du gouvernement face aux atrocités répétées et aux actes de génocide perpétrés par Israël à l’endroit du peuple palestinien», a indiqué la présidence.

«Les Maldives réaffirment leur solidarité résolue avec la cause palestinienne», a-t-elle ajouté dans un communiqué.

L’interdiction de séjour des ressortissants israéliens, soutenue par le gouvernement comme par l’opposition, a pris effet immédiatement, a précisé à l’AFP un porte-parole de la présidence.

Je suggère au gouvernement des Maldives d’adopter quelques mesures supplémentaires, par acquis de conscience.

Réputée pour ses plages de sable blanc, ses lagons baignés d’eau turquoise et ses récifs coralliens, la République islamique des Maldives a accueilli en février quelque 214 000 touristes étrangers, dont seulement 59 Israéliens.

C’est beaucoup trop.

C’est même exorbitant.

59 rats porteurs de la peste noire dans une maison, c’est une menace mortelle.

Une précédente interdiction de séjour des touristes de nationalité israélienne avait été levée au début des années 1990 et les autorités avaient brièvement renoué des relations avec Israël en 2010.

L’an dernier, le ministère israélien des Affaires étrangères avait recommandé à ses citoyens d’éviter tout séjour aux Maldives.

Nous en revenons à la situation normale qui a prévalu pendant des siècles et des siècles partout.

Les juifs sont des espions. Par définition, un espion se camoufle pour espionner. Les interdire de territoire ou les marquer est une nécessité vitale pour éviter les actes de sabotage auxquels ils se livrent traditionnellement, notamment en infiltrant la presse.

En tout cas, si vous êtes du genre à aimer les îles à cocotiers et que vous disposez d’un budget vacances confortable, vous savez vers quelle destination vous orientez en signe de soutien à la courageuse république islamique des Maldives, première île juden frei du monde.

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• Texas : un étudiant blanc assassiné au couteau pour avoir demandé à un noir de s’asseoir ailleurs

Tuer un Blanc quand on est un noir aux USA permet de s’acheter une nouvelle maison tout en hurlant au racisme.

The Daily Mail :

La famille d’un adolescent qui a poignardé mortellement un garçon de 17 ans au Texas prévoit d’utiliser son fonds de défense juridique de 400 000 dollars pour déménager et embaucher des agents de sécurité après avoir reçu des menaces racistes.

Anthony, 17 ans, était au tribunal alors qu’il devait répondre d’une accusation de meurtre au premier degré pour le meurtre d’Austin Metcalf, qui est mort dans les bras de son frère jumeau Hunter après avoir été poignardé au cœur lors d’une rencontre d’athlétisme à Frisco au début de ce mois.

Au cours de l’audience, les procureurs ont demandé à son père Andrew Anthony pourquoi il ne pouvait pas utiliser les plus de 415 000 dollars de dons pour la défense de son fils et payer la caution initiale de 1 million de dollars, qui a été réduite à 250 000 dollars lundi.

Il ne reste plus que 10 % de cette somme à payer, ce qui signifie qu’Anthony sera probablement libéré très bientôt.

Andrew Anthony a déclaré que le fonds devait être utilisé pour la défense juridique d’Anthony. Mais il a également révélé que l’argent serait utilisé pour la sécurité et pour aider la famille à déménager après les menaces qu’elle aurait subies depuis l’assassinat.

Cette révélation intervient après qu’un porte-parole de la famille a déclaré qu’ils ne pouvaient pas quitter leur domicile après que leur adresse a été divulguée en ligne, ce qui a donné lieu à des « menaces graphiques et racistes », dont des images « d’enfants noirs avec des couteaux plantés dans la tête ».

L’avocat d’Anthony, Michael Howard, a déclaré à propos de l’argent : « Il serait malhonnête de dire qu’il n’y a pas d’argent […]. Mais il ne s’agit pas d’un fonds d’obligations. Cette famille doit pouvoir survivre. »

Austin Metcalf aurait aimé pouvoir survivre.

L’auteur présumé du meurtre de l’adolescent devrait déposer sa caution dans le courant de la journée de lundi. Il devra porter un bracelet électronique et ne pourra pas quitter le domicile de ses parents sans l’autorisation de la juge Angela Tucker.

L’adolescent portait une combinaison dorée, des menottes et des chaînes alors qu’il regardait les avocats de la défense plaider qu’il avait agi en état de légitime défense.

Que voulez-vous ?

Avec les couteaux, comme avec le cash, les nègres restent des nègres.

Notez que les noirs invoquent Jésus pour justifier leur soutien à cet assassin et sa famille.

Cette famille a beaucoup souffert.

Obama ne devrait pas tarder à lui apporter son soutien.

Les derniers Français (de sang) de la capitale maugréent à propos de la Foire du Trône au motif que des jeunes jeunisent et que tout foutrait le camp.

#FoireDuTrone #Bagarre #france #COACHELLA2025 pic.twitter.com/jyXkNtTwwl

— 93 (@binx_bonx) April 13, 2025

Importante rixe à la Foire du Trône ce soir : renforts de police nombreux sous les huées. pic.twitter.com/HEhplJE7Lk

— CLPRESS / Agence de presse (@CLPRESSFR) April 14, 2025

À la différence de l’extrême-droite qui ne peut pas s’empêcher de dramatiser, restons mesurés.

La situation autrement bien plus grave dans la France de Philippe Pétain. Les images du Paris occupé en témoignent : sous la botte fasciste, la France n’était plus française.

Heureusement que le Général De Gaulle, aidé des communistes et des démocraties, nous a libérés de ce cauchemar.

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Manger en Inde est fatal.

Yahoo News :

Le premier ministre bavarois Markus Söder a été contraint d’annuler une visite dans l’État du Karnataka, dans le sud de l’Inde, après avoir contracté une infection gastro-intestinale à New Delhi.

M. Söder, chef de file de l’Union chrétienne-sociale (CSU), n’a pas été en mesure de se rendre au Karnataka, a déclaré lundi un porte-parole de son bureau.

Le Karnataka est une région partenaire de la Bavière.

L’homme de 58 ans est arrivé en Inde pour une visite samedi et a pris plusieurs rendez-vous officiels, mais il a été contraint de rester dans son hôtel à New Delhi.

Sa délégation s’est poursuivie dans l’État du sud-ouest sous la direction de Florian Herrmann, chef de la chancellerie de l’État de Bavière.

La CSU de M. Söder devrait entrer dans le prochain gouvernement allemand en tant que partenaire d’une coalition à trois.

Il ne fallait pas essayer l’art culinaire indien.

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Hier, des gens ont fait buzzer une histoire de pogrom à Strasbourg. Une boulangerie aurait été attaquée par des manifestants pro-palestiniens parce que réputée « pro-israélienne ».

Le travail de Jean-Luc Melenchon paye. On attaque la boulangerie Dreher à Strasbourg car les commerçants pourraient être juifs.
Ce sont bien des nazislamistes, #Palestine #Israel pic.twitter.com/7SPwxX4lWU

— Bruno Attal (@Bruno_Attal_) April 13, 2025

Le truc paraissait bizarre.

Et effectivement : il n’y a jamais eu de « pogrom » et la boulangerie n’est au courant de rien.

Il y a simplement eu un type qui a provoqué un cortège pro-palestinien et s’en est suivie une algarade vite terminée.

La vérité sur l’histoire de la boulangerie Dreher Strasbourg @Bruno_Attal_ @auroreberge @JeanMessiha pic.twitter.com/kGmKpyMifl

— Zek TL (@Zek42) April 14, 2025

La presse régionale alsacienne ne parle pas de l’affaire.

De son côté, la bollosphère n’a pas attendu pour hurler au génocide.

Ce matin, c’est un tir de barrage massif.

François Cocq, ex-orateur LFI, revient sur les actes antisémites de ce week-end : «La société ne fonctionne plus», dans #MorandiniLive pic.twitter.com/fjUIwDvlkM

— CNEWS (@CNEWS) April 14, 2025

Mais surtout, les juifs ont immédiatement exigé que toute critique de leur suprématie soit intégrée dans le code pénal.

Ils réclament « 3, 4, 5 ans de prison » pour tous ceux des goyim qui défient Jehovah.

Muriel Ouaknine-Melki revient sur le week-end de la honte animé par des actes antisémites : «Nous appelons les magistrats à entrer en voie de condamnation rapidement», dans #MorandiniLive pic.twitter.com/EkZuy94ii4

— CNEWS (@CNEWS) April 14, 2025

Ensuite Pascal Praud fera un éditorial sur la liberté d’expression menacée par Al Qaeda.

Personne ne semble relever qu’il n’y a rien eu.

On laisse les juifs inventer des histoires de pogrom sans réaction.

Ils disposent apparemment du droit de mentir.

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