La Rédaction
Démocratie Participative
25 mars 2025
Ce crash au ralenti est génial à voir.
Premier, mais à quel prix ? Le remake en prise de vues réelles de Blanche-Neige a occupé la tête du box-office nord-américain pour son premier week-end d’exploitation avec 43 millions de dollars de recettes, selon les estimations publiées dimanche par le cabinet spécialisé Exhibitor Relations. Une première place loin d’être synonyme de succès pour cette adaptation controversée du conte des frères Grimm, qui enregistre le plus faible démarrage de l’histoire pour un remake de chez Disney aux États-Unis.
Avec une production globale estimée à 250 millions de dollars, Blanche-Neige espérait atteindre la barre des 100 millions de dollars de recettes au box-office à l’issue de son week-end de sortie. Le film de Marc Webb, aussi réalisateur de The Amazing Spider-Man, a finalement fait moins bien que la version 2019 de Dumbo avec cette sortie décevante à 45 millions de dollars de recettes. Et surtout, beaucoup moins bien que les précédents remakes des studios Mickey. La Petite sirène, Le Livre de la jungle, Aladin, La Belle et la Bête et Le Roi lion ont, en effet, dépassé le cap des 100 millions de dollars de recettes à l’issue de leur premier week-end de projection.
On se demande pourquoi un film sur une princesse qui s’appelle Blanche Neige, jouée par une créature avec la peau qui a la couleur d’une flaque après une averse, ne rencontre pas le succès annoncé.
Disney espère toutefois que son adaptation tirée de son premier grand classique bénéficiera, à l’image de Mufasa, d’une ascension « lente et régulière ». Le préquel du Roi Lion, sorti en décembre dernier, avait démarré avec 35 millions de dollars de recettes avant d’atteindre les 252 millions de dollars de recettes aux États-Unis et les 716 millions de dollars de recettes dans le monde. Chez les spécialistes, ce premier échec au box-office ne signe pas la fin de Blanche-Neige. « Il s’agit d’un démarrage en douceur par rapport à la norme historique de Disney. Le succès dépendra de la capacité du film à bien fonctionner pendant quelques mois, comme l’a fait récemment Mufasa. Disney sait comment soutenir ses films et c’est un bon couloir », déclare à Variety David A. Gross, directeur de la société de conseil en cinéma FranchiseRe.
L’expert ajoute que Blanche-Neige est aussi « une mine d’or en termes de merchandising, et la propriété intellectuelle trouvera sa place d’une manière ou d’une autre dans les parcs à thème ». À noter que le film a séduit une majorité de femmes qui représentaient 70 % des spectateurs ce week-end aux États-Unis.
La population marron américaine rêverait d’être blanche bien qu’elle vomisse les Blancs de jalousie le reste de l’année.
C’est d’ailleurs la fonction de ces films : abâtardir la culture d’origine européenne pour flatter l’égo tribal des populations brésiliennes.
Cette mulâtresse a une tête à claque
Sur le choix de la juive Gal Gadot pour incarner la sorcière perfide, je n’ai pas d’objection de principe.
Ça correspond à la fonction des juifs en ce bas monde.
Si ce n’est bien entendu que les juifs veulent faire croire que même démoniaques, les juives seraient belles, ce qui est une outrageante contre-vérité.
Gal Gadot est d’ailleurs ridiculement laide et c’est encore plus brutal si on la compare aux actrices blanches du temps où elles n’étaient pas systématiquement discriminées à Hollywood.
Linda Carter humiliait encore cette juive à 66 ans.
La laideur des juives est compensée par une débauche d’effets spéciaux et malgré tout, ça ne marche pas.
Ça ne marche pas davantage pour les mulâtresses à la tête difforme.
En France, le long-métrage a unanimement déçu. Au Figaro , notre critique cinéma Olivier Delcroix a déploré un film tout juste « moyen », « trop lisse et trop pasteurisé » qui se « contente de revisiter sans audace un chef-d’œuvre intemporel ». Du côté de nos confrères du Parisien , il a été qualifié de « fake movie », en raison de la pauvre qualité des décors et des vêtements. Blanche Neige « devrait être ignoré en salles par les puristes, les conservateurs, les personnes de petite taille, les partisans de la Palestine et ceux d’Israël : ça fait tout de même du monde… Surtout si on y ajoute tous ceux qui aiment les bons films », a plaisanté le quotidien français. 20 Minutes aussi s’est amusé à pointer du doigt les nombreuses failles du film. « Non seulement, le résultat est d’une intense laideur mais la qualité de l’animation est si tarte que celle du classique Disney garde toute sa magie quand on compare les deux films », écrit un de leurs journalistes.
C’est parce que le premier film a été réalisé par des hommes blancs et le second par des Indiens supervisés par des lesbiennes juives.
Personne n’ose le dire cependant.
La terreur antiblanche règne partout.
Des critiques acerbes de la presse française ont plu sur cette histoire de princesse revisitée. Mais on ne peut oublier que nos confrères internationaux, tel le Guardian qui a qualifié ce Blanche-Neige de « terrible », n’ont pas été en reste. Le film n’a pas non plus été épargné par les polémiques. D’abord, celle concernant l’actrice principale, Rachel Zagler, de mère colombienne et de père polonais, qui a essuyé une bordée de propos à connotation raciste de la part des conservateurs américains, car elle n’était pas « assez blanche », selon eux, pour incarner l’héroïne du conte de 1937. Mais ce n’est pas tout. Les Sept Nains, évincés du titre dans un premier temps, puis reproduits par ordinateur plutôt que jouées par des acteurs humains, auront finalement provoqué l’ire des acteurs nains d’Hollywood, mis au ban du tournage par Disney.
Ils ont été victimes d’achondroplasiaphobie, la phobie des nains.
Au niveau des scores, c’est un désastre.
La fatigue des Blancs est réelle.
L’Amérique n’est plus qu’une intolérable nuisance culturelle à ce moment de son évolution.
Je ne vois aucune raison valable pour ne pas décréter un embargo complet sur tout ce qui peut provenir de là-bas.
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