La Rédaction
Démocratie Participative
20 février 2025
Quand même Bayrou est plus à droite que Marine Le Pen, c’est que nous entrons dans une rupture spatio-temporelle.
François @bayrou précise ses propos quant à l’emploi du terme « submersion » : « Si nos compatriotes considèrent que la couleur de la peau doit inexorablement changer (…) même contre leur gré, alors ils auront le sentiment de perdre le contrôle ». #DirectAN pic.twitter.com/FRai2tufDF
— LCP (@LCP) February 19, 2025
« Si nos compatriotes considèrent que la couleur de la peau doit inexorablement changer, si c’est une fatalité qu’on leur commande de subir, même contre leur gré, alors ils auront le sentiment de perdre le contrôle et c’est ce que j’ai appelé submersion »
– Friedrich Bauer
Ce qui est ironique, c’est l’impensé racial de son propos, partant de « je ne regarde pas la couleur de peau » à « mais tout le monde il a toujours été blanc ».
Dans une société multiraciale, l’agressivité des groupes raciaux concurrents introduit la conscience de race dans le débat politique et c’est l’expérience étrange que fait Bayrou qui y réagit assez confusément, non sans une certaine sincérité mêlée d’étonnement.
Hélas, quoique courageuse et infiniment plus tangible que les divagations à propos des valeurs de la « République » ou de « l’intégration » pour évoquer la crise migratoire, cette évocation de la couleur de la peau est un détail de la réalité raciale, élément central de cette crise.
La peau noire peut même devenir un upgrade pour certaines races.
La structure osseuse est bien plus déterminante pour la beauté que la couleur de la peau.
Les négresses sont d’une laideur universelle en raison de la structure faciale de leur crâne, par trop mal dégagée de son origine simiesque.
Les races n’existent pas, mais on les distingue à l’oeil nu
Et c’est sans parler de la lourdeur de leurs mouvements, brusques et mal coordonnés, qui alourdissent l’espace au lieu de l’animer et qui tranche avec la légèreté et l’élégance naturelle de ceux de l’homme blanc. L’énergie mal canalisée du nègre produit cette maladresse caractéristique qui semble venir du fond des âges, quand le singe luttait contre son propre corps pour se dresser sur ses jambes.
En somme, les nègres sont des hominidés qui ont trébuché dans la marche de l’évolution vers l’homme. D’ailleurs, comme je l’ai déjà dit, 20% de leur ADN provient d’un hominidé aujourd’hui disparu qui n’a pas pollué de son infériorité biologique le sang des autres races.
Le moulin à prières républicain reste impuissant face à cet inamovible mur génétique qui fait du nègre un nègre. Aucune forme de volontarisme étatique ne peut faire d’un chat un chien, ni d’un nègre un homme intégral. Il restera le porteur de l’échec, peu importe qu’il soit rigolard, qu’il dance où qu’il court derrière un ballon.
En Europe, et en France, le politique doit au 21e siècle intégrer la réalité scientifique de la science raciale dans ses conceptions, adapter ses réponses à cette réalité, et jeter au fumier de l’histoire l’obscurantisme démocratique.
Tant que le mensonge de l’égalité raciale sera vénéré comme une vérité révélée, il détruira la société. Les boomers, avec leur imaginaire antifa, nous ont mené à cette situation raciale et démographique désastreuse. Heureusement, les allogènes nous aident à refaire du racisme politique le nouvel horizon de l’homme blanc.
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