Google supprime les fêtes pro-noirs, pro-féministes, pro-LGBT de son calendrier

La Rédaction
Démocratie Participative
11 février 2025

Les juifs de la Silicon Valley opèrent un virage à 180° et les non-juifs ont les plus grandes difficultés à suivre le rythme.

CNBC :

Les calendriers en ligne et mobiles de Google ne mentionnent plus le premier jour du Mois de l’histoire des Noirs ou du Mois de l’histoire des femmes, parmi d’autres fêtes et événements.

Le calendrier de l’entreprise indiquait auparavant ces jours au début des mois de février et mars, respectivement, mais ils n’apparaissent plus pour 2025.

The Verge a été le premier à signaler la suppression de ces jours dans le calendrier de Google à la fin de la semaine dernière, à la suite de commentaires d’utilisateurs.

Google a procédé dernièrement à de nombreux changements qui s’alignent sur un environnement politique modifié aux États-Unis. L’entreprise a récemment commencé à supprimer ses objectifs d’embauche en matière de diversité, devenant ainsi le dernier géant de la technologie à modifier son approche en matière d’embauche et de promotions à la suite de l’élection du président Donald Trump. L’une des premières mesures prises par M. Trump après son entrée en fonction en janvier a été de signer un décret mettant fin aux programmes gouvernementaux d’encouragement à la diversité et à l’emploi et mettant en congé les fonctionnaires fédéraux chargés de superviser ces initiatives.

Fin janvier, la société a déclaré qu’elle changerait le nom du golfe du Mexique en « golfe d’Amérique » dans Google Maps après que l’administration Trump a mis à jour ses « sources gouvernementales officielles ». Google a également déclaré qu’il suivrait Trump et commencerait à utiliser le nom « Mont McKinley » pour la montagne en Alaska actuellement appelée Denali.

Sur Google Calendar, l’entreprise a également supprimé d’autres événements. Le 1er novembre était le premier jour du Mois des peuples autochtones et le 1er juin le début du Mois des fiertés LGBTQ+.

Les utilisateurs de Google Calendar ont remarqué les changements et ont laissé des commentaires sur les pages web d’assistance aux utilisateurs et sur les médias sociaux. Le site d’assistance aux utilisateurs avait déjà reçu des commentaires de personnes contrariées par l’ajout de tels événements par l’entreprise.

Google suit Zuckerberg dans son nouveau projet de vie : surfer sans scrupule sur les cadavres de ses anciens golems.

Ce revirement nous rappelle que la culture de masse dans une démocratie est purement verticale et que jamais « le peuple » ne la produit. Ce n’est que le résultat des choix du système qui impose ses décisions à la plèbe.

Les juifs de la Silicon Valley voulaient instaurer la déification des noirs, des femmes blanches et des dégénérés pour marginaliser l’homme blanc dans l’ensemble des pays occidentaux.

Le résultat en a été la prolifération de communautés marginales et agressives calquées sur le modèle victimaire juif. Après le 7 octobre 2023, ces communautés se sont retrouvées en compétition frontale avec les juifs pour la suprématie victimaire.

À présent que les juifs les débranchent, ils vont disparaître aussi rapidement qu’ils ont surgi dans l’espace médiatique.

La populace n’a aucune idée solide en tête. Elle consomme passivement ce que les médias lui donnent comme prêt-à-penser et adoptent n’importe quel point de vue qui lui est dicté.

D’ici quelques années, les gens iront jusqu’à nier que le transexualisme d’état a existé.

Il faut insister sur le rôle particulièrement nocif des femmes blanches durant cette phase.

Il n’y a pas plus conformiste qu’une femme.

Qui se rappelle des dizaines de milliers de femmes blanches déferlant dans les rues hollandaises pour vénérer le pénis de George Floyd ?

Les juifs ne font jamais rien par idéalisme.

S’ils décident de redonner de l’oxygène à l’homme blanc et de tendre la laisse de leurs anciens golems, c’est parce qu’ils vont avoir besoin de viande pour leurs guerres.

Et ça marche, pour les mêmes raisons que le wokisme a marché : les juifs contrôlent les médias, donc les esprits.

L’armée américaine ajoute des unités de formation de base afin de pouvoir accueillir jusqu’à 9 600 nouvelles recrues par an, dans un contexte de forte augmentation du recrutement.

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