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La Rédaction
Démocratie Participative
13 février 2025
Il y a une progression qualitative dans la manière dont les bicots s’entretuent.
Les amateurs apprécient.
Après l’annonce de l’explosion d’une grenade dans un bar du Village Olympique, ce mercredi soir, qui a fait au moins douze blessés dont six graves, Éric Piolle s’est rendu sur place. Le maire écologiste n’a pu que constater un nouvel événement de violence extrême dans sa ville : « C’est d’une violence inouïe, d’une violence inouïe ! » a-t-il répété. « Vous mesurez ce que c’est que de jeter une grenade dans un lieu occupé par des gens ? » a-t-il demandé « Je suis à la fois stupéfait et en attente d’éclaircissements et puis en attente de nouvelles des victimes aussi ».
Le maire Éric Piolle attend des éclaircissements !
Au moins douze personnes ont été touchées, dont six gravement, par cette explosion qui a eu lieu, vers 20h15, dans un bar associatif de ce quartier sensible de Grenoble. Un homme, sans douté armé d’un fusil d’assaut, s’est approché du bar et a lancé une grenade à l’intérieur alors que des gens s’y trouvaient.
D’après le procureur adjoint, aucune piste n’est encore privilégiée, mais la piste du narco trafic est « une des hypothèses » que les forces de l’ordre suivront. L’agglomération grenobloise est marquée ces derniers mois par de nombreuses fusillades liées au trafic de drogue. Éric Piolle en est bien conscient, comme il l’a réaffirmé mercredi soir « l’enquête devra dire quels sont les liens avec d’autres événements qui peuvent arriver sur la ville. Mais je l’ai dit à plusieurs reprises, nous vivons une période d’escalade de la violence à la fois dans sa localisation, dans sa temporalité. Effectivement, sur une montée de la violence, je pense que nous le reconnaissons tous ».
Le maire a également promis de suivre « la situation de près. La Ville apportera son concours comme elle le fait toujours ». Il devrait rencontrer Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur, attendu ce vendredi à Grenoble. C’est la première fois que Bruno Retailleau vient à Grenoble depuis qu’il est ministre de l’Intérieur et le sujet du narcotrafic sera le sujet principal sur la table.
Ce n’est pas un problème de « narcotrafic », mais un problème démographique et racial.
Les Arabes sont des criminels, des sociopathes et des parasites improductifs dont le nombre est en croissance constante, d’où cette prolifération des gangs de dealers de dope qui s’entretuent.
Avec un demi-million de ces créatures infernales qui s’installent chaque année en France avec l’aide du gouvernement, ces gangs colonisent tout.
C’est pourtant simple à comprendre.
Grenoble est l’exemple de la façon dont le système a transformé une très belle ville en dépotoir afro-oriental.
Je hais ces cubes, mais rétrospectivement on comprend que l’optimisme futuriste qui guidait le projet.
Aujourd’hui, c’est un trou gangrené comme un autre.
Et pourtant, sans le tiers-monde, ce serait encore un endroit parfaitement vivable.
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