La Rédaction
Démocratie Participative
22 avril 2025
Comme nos lecteurs ne peuvent pas compter sur les médias de la droite française pour dire la vérité sur le règne de Jorge Bergoglio, vampirisés qu’ils sont par une incapacitante nostalgie vis-à-vis d’un catholicisme qui par ailleurs n’existe plus, nous entreprenons cette tâche.
Si certains s’aventurent à nous demander pourquoi, notre réponse tient en une image : celle de l’ancien skinhead Philippe Vardon, ayant depuis fait le chemin jusqu’à Canossa, réduit à faire des simagrées de convenance et gémissant comme une femme aux pieds d’une Église qui ne dispose plus d’aucun pouvoir, si ce n’est celui de cracher sur l’humanité blanche.
Je vous épargne ce tortueux texte en entier.
Le pape François s’en est allé rejoindre la maison du Père.
J’avais pu le saluer lors de l’audience privée qu’il avait accordée à une délégation d’élus de notre région en 2018.
Ai-je besoin de souligner combien nos désaccords étaient parfois profonds ? Que je pense en… pic.twitter.com/aZy8qFBEhC
— Philippe Vardon (@P_Vardon) April 21, 2025
Contre cette droite juive, mi convaincue, mi opportuniste, la vérité est la meilleure arme.
Faisons donc parler le chef de « la religion de l’homme blanc », celle dont, d’après le carré de la droite française, dépend la renaissance spirituelle de l’Europe.
Jorge Bergoglio rencontre des candidats à l’invasion de l’Europe à Lampedusa, 8 juillet 2013
Le 8 juillet 2013, quelques mois après son élection, le pape François effectue son premier voyage apostolique hors de Rome à Lampedusa, une île italienne devenue le symbole de l’afflux de migrants vers l’Europe. Ce geste marque le ton de son pontificat. Lors de son homélie, il déclare :
« Qui est responsable de ce sang ? […] Nous tous, nous répondons : ce n’est pas moi, je n’ai rien à voir là-dedans. […] La culture du bien-être nous rend insensibles aux cris des autres ».
La Chine, l’Inde, la Russie, solidement engoncés derrière leurs frontières, n’étaient pas visés par cette première saillie de Bergoglio. C’était l’Europe, accusée de ne pas en faire assez pour le tiers-monde après avoir accueilli 50 millions d’extra-Européens en 50 ans et avoir déversé sur l’Afrique des centaines de milliards d’euros d’aide.
Dès 2013, François ancre ce discours immigrationniste dans une lecture biblique, associant l’immigration à une volonté divine qui, si elle était combattue, valait damnation. Dans son message pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié (5 août 2013), il compare les migrants à Jésus, « étranger » dans le monde :
« Les migrants et les réfugiés ne sont pas des pions sur l’échiquier de l’humanité. Ce sont des enfants, des femmes et des hommes qui quittent ou qui sont contraints de quitter leurs maisons »
Cette rhétorique sans-frontiériste, proche de l’internationalisme de la gauche radicale, prônait l’abolition des distinctions nationales ou culturelles, plaidant pour une utopie globale.
Le 25 novembre 2014, s’adressant au Parlement européen à Strasbourg, François s’en prend avec virulence à l’Europe, l’accusant de refuser la submersion migratoire :
« À plusieurs reprises, j’ai eu l’occasion d’évoquer l’image d’une Europe qui est une ‘grand-mère’, qui n’est plus fertile et vivante. […] Une Europe qui se replie sur elle-même, qui regarde avec méfiance les étrangers »
Si la métaphore de l’« Europe grand-mère » suggère une perte de dynamisme réelle, l’association que Bergoglio opère avec le refus de l’immigration trahit un chantage véhément et destructeur : l’immigration ou la mort.
Jorge Bergoglio rencontre une délégation de transexuels
En 2015, la crise migratoire atteint son apogée avec l’arrivée massive de d’envahisseurs prétendument originaires de Syrie. Le 6 septembre 2015, lors de l’Angélus, François lance un appel menaçant :
« Que chaque paroisse, chaque communauté religieuse, chaque monastère, chaque sanctuaire d’Europe accueille une famille de réfugiés »
Cet appel direct aux structures catholiques à organiser l’invasion du continent au profit des masses islamiques est l’une des déclarations les plus claires, et les plus hostiles, prononcées par un pape contre les peuples d’Europe.
Le 16 avril 2016, le pape François se rend à Lesbos, en Grèce, épicentre de la crise migratoire. Accompagné du patriarche œcuménique Bartholomée et de l’archevêque d’Athènes, il visite le camp de réfugiés de Moria. Dans son discours, il déclare :
« Les migrants ne sont pas des numéros, mais des personnes avec des visages, des noms, des histoires. […] Nous sommes tous des migrants, en chemin vers une patrie commune »
Cette notion de « patrie commune » reprend l’oxymore cosmopolite d’une « citoyenne mondiale ». Toute citoyenneté étant liée à un état, cette déclaration revient à nier la souveraineté des états existants au profit d’une allégeance internationale, en réalité dépourvue de juridiction, que Bergoglio, chef d’un état d’un kilomètre carré, prétend coorganiser, le Vatican devenant le siège de la religion des droits de l’homme, héritée des loges du 18e siècle.
Est-ce une vision exclusive à Jorge Bergoglio ? Non, c’est celle la papauté démocratique.
Lors de l’homélie de Noël 2017, François établit un parallèle entre les migrants et la famille du Nazaréen :
« Marie et Joseph, pour qui il n’y avait pas de place, sont les premiers à embrasser celui qui vient nous sauver. […] Aujourd’hui, nous voyons les traces de millions de personnes qui ne choisissent pas de partir, mais qui sont contraintes de quitter leur terre »
Dans son message pour la Journée mondiale de la paix (1er janvier 2018), François propose quatre piliers pour l’accueil des migrants : « accueillir, protéger, promouvoir, intégrer ». Il critique les « peurs » qui alimentent les « rejets » :
« Les migrations globales ne pourront pas être arrêtées par des murs, mais par des politiques justes, solidaires et humaines ».
Le communisme racial et la destruction des frontières plutôt que la protection des patries.
Jorge Bergoglio au Maroc pour appeler à la destruction des frontières de l’Europe
Lors de sa visite au Maroc, le 30 mars 2019, François critique la notion de « forteresse Europe » :
« Construire des murs pour se protéger des migrants est une illusion. Une Europe qui se ferme devient une forteresse, et une forteresse est une prison »
Cette métaphore vise les politiques de sécurisation des frontières, notamment celles de pays comme l’Italie ou l’Espagne, qui renforcent les contrôles en Méditerranée.
Dans son encyclique Fratelli Tutti (3 octobre 2020), François développe une vision internationaliste :
« Nous sommes tous frères, au-delà des frontières. […] Les migrations constituent un défi global qui exige une réponse globale »
Bergoglio critique les « nationalismes fermés » et les « cultures du rejet » qui visent les politiques restrictives de états européens. Cette encyclique consacre sa vision internationaliste, résolument hostile aux États et à leur souveraineté.
Jorge Bergoglio à Marseille pour prêcher l’abolition des frontières
Lors de sa visite à Marseille pour les Rencontres méditerranéennes, le pape François prononce un discours marquant devant une stèle dédiée aux migrants morts en mer :
« La Méditerranée est devenue le plus grand cimetière du monde. […] Ceux qui risquent leur vie en mer n’envahissent pas, ils cherchent l’hospitalité »
Il dénonce les « trafics odieux » et le « fanatisme de l’indifférence », visant les politiques européennes qui privilégient la sécurisation des frontières à l’immigration totale.
Lorsque Bergoglio inaugure une statue en l’honneur des migrants sur la place Saint Pierre de Rome, le personnage qui guide les autres est un juif orthodoxe flanqué d’une musulmane voilée et suivie d’un nègre d’Afrique.
Lorsque l’un des exécutants de la papauté est tué à Côme le 15 septembre 2020 par un migrant tunisien, Don Roberto Malgesini, Jorge Bergoglio déclare, lors de l’Angelus du 20 septembre suivant, que le prêtre est tombé en martyr de la cause immigrationniste :
« Je rends grâce à Dieu pour le témoignage, c’est-à-dire pour le martyre, de ce témoin de la charité envers les plus pauvres »
Bergoglio était avare de son empathie, du moins lorsqu’il s’agissait des Blancs victimes de son soutien actif à l’immigration massive.
En 2023, il a rencontré Mbengue Nyimbilo Crépin, un migrant camerounais ayant perdu sa femme et sa fille dans le désert alors qu’ils se lançaient à l’assaut de l’Europe, exprimant sa « douleur » face à leur sort.
Si Bergoglio n’aimait guère l’Europe et les Européens, il avait une affection marquée pour les juifs qu’il manifesta dès le début de son règne.
Jorge Bergoglio convoqué à la synagogue de Rome, comme il est d’usage
Dès son élections le 13 mars 2013, François adresse un message au grand rabbin de Rome, Riccardo Di Segni :
« J’espère vivement pouvoir contribuer au progrès que les relations entre juifs et catholiques ont connu depuis le Concile Vatican II, dans un esprit de collaboration renouvelée et au service d’un monde toujours plus en harmonie avec la volonté du Créateur »
Dans son exhortation apostolique Evangelii Gaudium, publiée le 24 novembre 2013, François aborde les relations avec le judaïsme :
« Nous entretenons avec les Juifs un lien très spécial, car nous partageons ensemble une grande partie des Écritures. […] L’Alliance de Dieu avec Israël n’a jamais été révoquée, et le dialogue interreligieux est un chemin de paix »
Cette affirmation rejette implicitement toute nécessité de conversion des Juifs, reconnaissant la validité permanente de leur alliance avec Yahveh. Elle s’oppose au supersessionisme, l’idée que le christianisme remplace le judaïsme. Pour le chef des Catholiques, nul besoin pour les juifs de reconnaître Yeshoua de Nazareth pour accéder au paradis de Yahveh. Quel dommage que Yeshoua, incarnation de Yahveh, ne fut pas informé de l’existence de cette dispense divine, lui qui ne fit qu’évangéliser des juifs et qui fonda son mouvement avec douze juifs, exclusivement.
Lors de son voyage en Palestine occupée (24-26 mai 2014), François effectue plusieurs gestes pro-juifs. Le 26 mai, à Yad Vashem, le mémorial créé par le régime sioniste pour affirmer la thèse de l’existence de chambres à gaz ayant permis la mise à mort de millions de juifs par l’Allemagne nationale-socialiste, il déclare :
« Jamais plus, Seigneur, jamais plus ! […] La Shoah est une tragédie qui nous rappelle la nécessité de combattre toute forme d’antisémitisme et de promouvoir le respect mutuel »
Yahveh, visiblement, est à la fois ce dieu omnipotent qui existe depuis des milliards d’années, garant de la toute-puissance juive, et celui qui fait la sieste quand six millions de ses petits protégés sont gazés par quelques Germains dans une pièce de quelques mètres carrés installée dans la campagne polonaise.
Jorge Bergoglio à Yad Vashem
Le même jour, il se rend au Mur des Lamentations, où il dépose une prière à l’attention de Yahveh, et visite la tombe de Theodor Herzl, fondateur du sionisme. Ces gestes, bien que symboliques, sont interprétés comme une reconnaissance implicite de la légitimité historique de l’État d’Israël. Dans son discours aux grands rabbins d’Israël, il ajoute :
« Juifs et chrétiens doivent travailler ensemble pour la paix en Terre Sainte. […] Nous condamnons toute violence et tout antisémitisme »
Le 8 juin 2014, François organise une prière pour la paix au Vatican avec le président israélien Shimon Peres et le président palestinien Mahmoud Abbas.
Mahmoud Abbas, Jorge Bergoglio et Shimon Peres
Dans son discours, il déclare toute l’importance pour les Palestiniens de ne pas menacer la puissance nucléaire qui les occupe :
« La paix est possible si Juifs, chrétiens et musulmans travaillent ensemble. […] Nous devons rejeter la haine et l’antisémitisme »
Le 29 octobre 2015, le pape François est reçut par une délégation du Congrès juif mondial et rappelle sa défense des intérêts juifs dans le monde :
« Attaquer les Juifs, c’est de l’antisémitisme, mais une attaque contre l’État d’Israël est aussi de l’antisémitisme. […] L’État d’Israël a tous les droits d’exister en sécurité et en prospérité »
Ronald Lauder, président du Congrès juif mondial, qualifie cette déclaration de « révolutionnaire » (The Times of Israel, 30 octobre 2015).
Jorge Bergoglio et Ronald Lauder
À l’occasion du 50e anniversaire de Nostra Aetate, François souligne l’importance du dialogue judéo-chrétien :
« Le Concile a dit ‘oui’ à la redécouverte des racines juives du christianisme et ‘non’ à toute forme d’antisémitisme. […] L’Alliance de Dieu avec Israël est irrévocable »
Il s’appuie sur le document vatican publié le 10 décembre 2015, Les dons et l’appel de Dieu sont irrévocables, qui précise :
« L’Église catholique ne mène ni n’encourage aucune mission institutionnelle tournée spécifiquement vers les Juifs »
Ce texte, approuvé sous son pontificat, rejette explicitement toute tentative de conversion des Juifs, renforçant sa position théologique.
Être chrétien, c’est être juif, ou disons, une imitation d’un juif, mais ça, ça n’a jamais été un mystère.
Le 17 janvier 2016, François devient le troisième pape à visiter la synagogue de Rome. Dans son discours, il déclare :
« Juifs et chrétiens sont frères, unis par le même Dieu. […] L’Alliance de Dieu avec Israël est irrévocable, et l’Église condamne toute forme d’antisémitisme et de persécution »
Il cite le document de 2015 pour réaffirmer que l’Église ne cherche pas à convertir les Juifs, un point salué par le grand rabbin Riccardo Di Segni.
Il va sans dire que le judaïsme n’admet aucune notion de « fraternité » avec des non-juifs, a fortiori avec les adeptes de Yeshoua qu’ils ont fait exécuter pour concurrence déloyale, le judaïsme étant une religion explicitement raciste qui proclame le droit des juifs d’exercer une dictature universelle sur les peuples du monde.
Lors des Journées mondiales de la jeunesse à Cracovie, François estime qu’il a plus impérieux à faire et visite l’ancienne prison d’Auschwitz-Birkenau le 29 juillet 2016. Dans un silence méditatif, il écrit dans le livre d’or :
« Seigneur, aie pitié de ton peuple. Seigneur, pardonne tant de cruauté ».
Point de peuple de dieu au sens universel du mot comme il est d’ordinaire en usage chez les Catholiques, mais bien du peuple élu et de son dieu tribal archaïque, Yahveh.
Jorge Bergoglio n’a pas expliqué le fonctionnement des théoriques chambres à gaz homicides
Homme de croyance, Bergoglio tenait à ce que les non-juifs croient plutôt qu’ils ne sachent. Lors d’une rencontre avec des « survivants de la Shoah », il déclare :
« La mémoire de la Shoah est un devoir pour tous. […] Nous devons éduquer les nouvelles générations à rejeter l’antisémitisme »
Dans un message pour Rosh Hashanah 2017, François écrit à la communauté juive :
« Que cette nouvelle année soit une occasion de renforcer les liens entre Juifs et chrétiens. […] Ensemble, nous pouvons lutter contre l’antisémitisme et promouvoir la paix »
Jorge Bergoglio n’a jamais estimé nécessaire de dénoncer les très nombreuses attaques des juifs contre les nations blanches ou leur culture, attaques que l’auteur Hervé Ryssen à longuement abordé dans ses ouvrages tels que Les espérances planétariennes, Le fanatisme juif, Psychanalyse du judaïsme, Le miroir du judaïsme ou encore Satan à Hollywood.
Dans Fratelli Tutti, François, adepte d’une société débarrassée des frontières et des cultures nationales, place son espoir dans le dialogue interreligieux avec les représentants du judaïsme qui prêchent inlassablement la destruction des nationalistes :
« Les grandes religions, et en particulier le judaïsme, le christianisme et l’islam, doivent promouvoir la fraternité universelle. […] Les racines juives du christianisme nous rappellent notre lien spécial avec le peuple de l’Alliance »
Lors de son voyage en Slovaquie, François rencontra la communauté juive à Bratislava.
Ce fut à nouveau l’occasion d’une sévère dénonciation des Blancs d’Europe qui avaient eu trop tendance à se révolter dans le passé contre l’étreinte étouffante du peuple élu :
« Votre histoire est notre histoire. […] L’antisémitisme est un poison qui doit être éradiqué. […] Juifs et chrétiens partagent un lien unique, celui de l’Alliance avec Dieu »
Jorge Bergoglio, pénétré de cette mission consistant à bâtir un monde sans frontières aux côtés des juifs, dénonçaient régulièrement le « racisme » des Blancs qui se refusaient contre toute attente à disparaître comme les y invitait pourtant la Torah.
L’une des déclarations les plus marquantes du Pape François sur le racisme date du 21 mars 2021, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale. Dans un tweet publié sur son compte officiel, il a écrit :
« Le racisme est un virus qui mute facilement et qui se cache et réapparaît sans cesse. Les manifestations du racisme viennent encore nous couvrir de honte, en montrant ainsi que les progrès supposés de la société ne sont ni réels ni assurés pour toujours ».
En juin 2020, à la suite de la mort de George Floyd, un Afro-Américain drogué et cardiaque après avoir résisté à son arrestation par un policier blanc à Minneapolis, le pape François s’exprima lors de l’audience générale du 3 juin. Il a déclaré :
« Chers amis, nous ne pouvons tolérer ou fermer les yeux sur aucune forme de racisme ou d’exclusion et prétendre défendre le caractère sacré de toute vie humaine ».
Floyd, condamné pour avoir braqué une femme enceinte, devenait le visage de la résistance chrétienne au racisme.
Le pape François n’aimait guère les Blancs, ni leur héritage. En juillet 2015, lors d’un voyage en Bolivie, il jugea nécessaire de parler au nom de l’Europe pour demander le pardon des indigènes pour les « péchés du colonialisme » à l’ombre duquel, pourtant, l’expansion catholique put se faire dans le Nouveau monde.
Il accueillit chaleureusement un symbole de la synthèse entre marxisme, tiers-mondisme et christianisme des mains d’Evo Morales, président en fonction.
Lors d’un webinaire en novembre 2020, il insista sur « l’unité de l’humanité », en citant le concept hébraïque d’adamah pour affirmer que « nous sommes tous Adam », dénonçant les « préjugés raciaux » comme un « blasphème contre le Créateur » (Yahveh).
C’était omettre que seuls les juifs, selon les lois raciales du judaïsme, peuvent être à l’image d’Adam, c’est-à-dire à l’image de Yahveh, ce que les juifs affirment régulièrement avec leur notion de « moralité » et, pour ce qui concerne leur colonie, « d’armée la plus morale du monde » (c’est-à-dire la plus juive au terme d’un raisonnement circulaire consubstantiel au judaïsme).
Jorge Bergoglio a fait preuve de constance et de cohérence durant les douze années de son règne à la tête de l’Église catholique. Ces discours, écrits et réactions médiatiques expriment une pensée construite, d’essence explicitement juive, tournée contre les réalités humaines – raciales, ethniques, nationales. Appelant constamment à l’édification d’une utopie multiraciale globale, peuplée de transexuels, de Musulmans et d’indigènes d’Amazonie, Bergoglio en retranchait cependant les seuls juifs, d’après lui dispensés par Yahveh de se fondre dans ce maelström international en raison de la sacralité de l’holocauste et du droit inaliénable des juifs à disposer d’un état en propre.
Assurément, dans le monde de Jorge Bergoglio, il n’y a guère de place pour l’homme blanc qui veut vivre sur ses terres, en homme libre.
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