Knafo remet la blague des Arabes à prénoms français à l’ordre du jour

La Rédaction
Démocratie Participative
10 février 2025

 

Cette blague juive est de retour.

Les plus courtes sont pourtant les meilleures.

Je suis certain que si tous les afro-maghrébins présents en France choisissaient des prénoms du calendrier, ils cesseraient d’agresser des Blancs.

Jourdain Bardelle

Attention, il y a un piège : quand c’est un prénom juif, c’est un prénom universel car le peuple élu c’est l’humanité !

Le problème n’est pas le prénom des Arabes, mais la génétique des Arabes.

Personne n’aurait de problème avec des Français de souche qui se prénommeraient Karim. Je le sais puisque j’en ai connu un. Il n’était même pas bougnoulisé et je vous assure que son patrimoine génétique en faisait quelqu’un de tout à fait cordial et fréquentable.

Peu ouverts au principe de concurrence libre et non faussée, les juifs redoutent les groupes tribaux conscients d’eux-mêmes. C’est un avantage comparatif qu’ils veulent se réserver.

Si le gang zemmouriste agite cette histoire de prénom, c’est pour toucher les dividendes du rejet de l’immigration musulmane – les Musulmans donnent des prénoms musulmans à leurs enfants – tout en évitant la véritable question qu’implique le refus de l’immigration : la question raciale. Exciter explicitement la haine raciale des Blancs contre les Arabes renforce la conscience collective des Blancs et se terminerait tôt ou tard par l’évincement des juifs identifiés à leur tour comme des immigrés inassimilables.

Initier des polémiques sur les conséquences superficielles de l’immigration non-blanche permet paradoxalement aux juifs de contrôler le rejet de celle-ci.

Nous sommes en pleine manipulation mentale des masses.

Knafo passe plus souvent à la télévision que Marine Le Pen au point où nous en sommes. Ce forcing est ridicule, mais il n’est pas innocent.

Même la presse de gauche participe à l’opération.

Le véritable souverainisme consiste à rendre aux autochtones le monopole politique. Peu importe le sujet, les juifs, pas plus que les autres étrangers, n’ont la légitimité pour s’exprimer à la place des Français sur ces questions.

Or, nous les voyons parasiter les ondes pour modifier la perception de la réalité sur toutes les questions avec pour intention claire de réduire les Français de race au rang de dociles chiens d’attaque.

Si nous devons régler nos comptes avec les Algériens, ou tout autre groupe allogène, nous devons le faire avec des chefs blancs, pas des intrigants séfarades.

Si un homme veut réussir dans son travail, c’est-à-dire atteindre les résultats escomptés, il doit faire correspondre ses idées aux lois du monde extérieur objectif ; si elles ne correspondent pas, il échouera dans sa pratique. Après l’échec, il en tire les leçons, corrige ses idées pour les faire correspondre aux lois du monde extérieur, et peut ainsi transformer l’échec en succès ; c’est ce que signifient « l’échec est la mère du succès » et « une chute dans la fosse, un gain dans l’esprit ».

Mao Tsé Toung, « Sur la pratique » (juillet 1937), Œuvres choisies, vol. I, p. 296-97. 

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