Knafo tente une OPA sur la « Journée internationale des femmes »

La Révolution
Démocratie Participative
09 mars 2025

 

Oy, vières d’être vronzaises !

La privatisation de la journée des putes par l’espionne israélienne Sarah Knafo nous rappelle que le féminisme est une invention juive depuis l’origine.

La première « journée » de ce genre remonte à 1909, aux États-Unis, à l’appel de la juive marxiste Theresa Serber Malkiel.

Il s’agissait d’appliquer la théorie de la lutte des classes aux rapports entre les hommes et les femmes pour ruiner la cellule familiale aryenne, condition préalable à la destruction de « l’ordre bourgeois » et à l’instauration de l’utopie communiste de Karl Marx.

Il y a désormais une lutte entre les juifs, théoriciens historiques du féminisme en Occident, et les organisations féministes elles-mêmes. Celles-ci, en soutenant la Palestine, sont devenues une nuisance pour le Kahal.

La shiksa Cordier leur sert d’idiote utile pour les neutraliser dans l’opinion.

D’ailleurs, Cordier travaille désormais avec « Nous vivrons », une structure juive aux ordres de Tel Aviv.

La juive Halioua nous en dit plus.

Vous voyez, les juifs peuvent passer de l’extrême-gauche à l’extrême-droite sans hésitation. Ils n’ont d’allégeance qu’à l’égard de leur race et leurs positions peuvent varier du tout ou tout en fonction de leurs intérêts tribaux.

Ils ne s’assimilent jamais, restent ce qu’ils sont — des immigrés — et n’ont à cet égard aucune loyauté vis-à-vis de qui que ce soit.

Si demain les circonstances changent encore, ils seront les premiers à balancer Cordier sous le train.

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