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La Rédaction
Démocratie Participative
14 avril 2025
Loukashenko a fini par s’ennuyer.
Pour casser la routine, il a décidé d’importer 150 000 violeurs de Blanches paskistanais en Biélorussie.
Le Premier ministre Shehbaz Sharif a conclu vendredi ce qu’il a appelé une visite « monumentale » de deux jours en Biélorussie, au cours de laquelle les deux pays ont signé une série d’accords et de protocoles d’accord visant à renforcer la coopération dans les domaines de la défense, du commerce, de la protection de l’environnement et d’autres secteurs clés.
M. Sharif s’est entretenu avec le président biélorusse Aleksandr Lukashenko à Minsk afin de passer en revue les relations bilatérales. Des entretiens au niveau des délégations ont également eu lieu entre les deux parties et ont porté sur la coopération bilatérale ainsi que sur des questions régionales et internationales.
Selon les médias d’État, le Pakistan et le Belarus ont signé un accord de coopération entre leurs ministères de l’intérieur, ainsi qu’une feuille de route pour la collaboration militaro-technique entre 2025 et 2027.
Des accords ont également été signés sur la coopération en matière de défense, la protection de l’environnement, les services postaux, le développement du commerce, le soutien aux entreprises et la coordination entre les organismes commerciaux, a indiqué l’Associated Press of Pakistan.
« Une journée monumentale dans les liens entre le Pakistan et la Biélorussie », a déclaré M. Sharif dans un message sur les médias sociaux, tout en partageant les détails de sa visite.
« Parmi les points forts de nos discussions, citons l’accord visant à envoyer plus de 150 000 travailleurs pakistanais hautement qualifiés pour contribuer aux efforts de construction de la nation en Biélorussie, le renforcement de la coopération dans le domaine de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, et les coentreprises potentielles dans la fabrication de bus électriques et de machines agricoles – des étapes qui contribueront à transformer notre lien d’amitié durable en un partenariat durable ».
C’est la première fois que j’entends parler de ce concept de Pakistanais qui construiraient quoi que ce soit, a fortiori le pays des autres.
La Biélorussie est le pays blanc le plus homogène du monde.
Ou du moins était.
Il va s’assombrir à la vitesse de l’éclair.
Quand ces Musulmans vont arriver sur place, ils vont se croire au paradis d’Allah et se mettre à enrichir les Biélorusses dès leur sortie de l’aéroport.
Ces derniers mois, le Pakistan a intensifié ses efforts pour développer la coopération économique avec un certain nombre de pays de la région et des alentours, dans le but de tirer parti de sa situation de plaque tournante pour le commerce et de gagner des devises.
Lors d’une cérémonie à Minsk, M. Sharif a déclaré que le Belarus était un leader dans la fabrication d’équipements pour le secteur minier et que le Pakistan avait tout à gagner d’une coopération industrielle plus étroite.
« Il n’y a aucune raison pour que nous ne profitions pas de votre expérience », a-t-il poursuivi en évoquant les vastes ressources minérales du Pakistan.
Il a également souligné l’importance d’établir une liaison aérienne directe entre les deux pays et a remercié M. Lukashenko pour sa volonté d’accueillir une main-d’œuvre pakistanaise qualifiée.
M. Sharif a également évoqué le renforcement du secteur agricole pakistanais dans le cadre d’une coopération mutuelle, précisant que 65 % de la population du pays vivait dans des zones rurales.
« Nous avons besoin de votre expertise », a-t-il déclaré. « Nous avons besoin de coentreprises entre des entreprises biélorusses et pakistanaises pour fabriquer des équipements agricoles au Pakistan, afin de pouvoir les proposer aux agriculteurs à des prix très avantageux ; les entreprises biélorusses et pakistanaises seront toutes deux gagnantes.
La Biélorussie a une population de 9,1 millions d’habitants. Ramenés à la taille de la France, ces 150 000 immigrés représenteraient l’équivalent d’un million de Pakistanais sur le territoire français.
Loukachenko n’a pas l’air de vouloir remettre les femmes biélorusses à faire des enfants et préfère repeupler la Biélorussie avec ces « travailleurs qualifiés » à la peau très foncée, une théorie que nous connaissons bien en Europe de l’Ouest depuis 60 ans.
Tous les états blancs traversent une même crise et aucun ne semble vouloir adopter les mesures indispensables à une renaissance raciale.
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