La Chine rachète Ubisoft en urgence pour endiguer la menace négro-gay

La Rédaction
Démocratie Participative
28 mars 2025

 

Un samouraï noir en couple avec une personne non-binaire 🙃

#AssassinsCreedShadows

Alors que les gamers agonisaient sous les assauts des transexuels d’ultra-gauche d’Ubisoft, les Chinois sont intervenus pour soulager leurs souffrances.

BFM Bourse :

L’éditeur de jeux vidéo a annoncé jeudi soir la création d’une filiale regroupant ses licences phares et dont Tencent doit prendre 25% pour 1,16 milliard d’euros. Cet argent désendettera Ubisoft. Mais l’opération, complexe, n’est pas sans soulever de questions et semble verrouiller davantage le capital de la société au bénéfice de l’entreprise chinoise.

Ubisoft passe par une opération complexe pour lever du cash. L’entreprise de jeux vidéo a annoncé jeudi soir la création d’une nouvelle filiale qui regroupera ses licences les plus « bankables » à savoir Assassin’s Creed, Far Cry et Tom Clancy’s Rainbow Six.

Les Chinois vont à l’essentiel : éventrer Ubisoft, prendre ce qu’il y a prendre, booster les titres, et jeter la pute une fois essorée.

Lors d’une conférence téléphonique avec des analystes, Yves Guillemot, le directeur général d’Ubisoft, a indiqué que cette filiale disposerait de sa propre équipe de direction. Les équipes de la société basée dans les studios au Canada, à Barcelone et en Bulgarie rejoindront cette filiale et répondront à cette nouvelle direction.

Le virage à droite va être brutale.

Le contamination marxiste est si forte que Guillemot ne peut rien faire d’autre que de mettre des milliers de kilomètres entre les titres de l’entreprise et ses employés.

Tencent, mastodonte chinois du numérique et allié des Guillemot, famille fondatrice d’Ubisoft, prendra une participation minoritaire de 25% dans cette filiale qui, en gros, gérera l’exploitation de ces licences en reversant des royalties (des redevances) à sa maison-mère (donc Ubisoft).

« Avec Tencent, nous avons un investisseur qui va nous aider à faire des trois marques [Far Cry, Assassin’s Creed et Rainbow Six, NDLR] hébergées dans la nouvelle entité des marques capables de générer un milliard d’euros de revenus annuels ou plus, et qui connaît bien les jeux ‘evergreen’ [indémodables et aux revenus récurrents, NDLR] », a déclaré Yves Guillemot aux Échos.

Le type prend sa retraite, en gros.

« Ces marques doivent devenir plus grosses et avec cette organisation, nous allons avoir des équipes se consacrant à un nombre plus limité de franchises et qui seront vraiment concentrées sur la croissance de ces trois actifs », a-t-il ajouté.

Tencent a accepté de payer 1,16 milliard d’euros pour prendre cette participation minoritaire, ce qui valorise cette nouvelle filiale 4 milliards d’euros, en valeur d’entreprise.

Ce montant s’avère colossal au regard du cours actuel d’Ubisoft. Sur la base du cours de clôture de jeudi, Oddo BHF calcule une valeur d’entreprise de 3,1 milliards d’euros (1,7 milliard d’euros de capitalisation boursière et 1,4 milliard de dette nette en normes IFRS).

« Cet écart sensible de valorisation doit s’expliquer par la confortable profitabilité structurelle des actifs de la nouvelle entité (aucune information communiquée sur ce sujet pour l’instant) », explique le bureau d’études dans une note.

Je traduis : ces jeux auront un accès privilégié au marché chinois grâce aux appuis politiques de Tencent, ce qui garantit des bénéfices à l’entreprise.

Cela va de paire avec une réécriture des jeux à base de seins énormes, de masculinité hyper toxique et de haine de la démocratie.

À l’inverse, « le modèle des actifs non transférés (comprenant des jeux comme Ghost Recon et The Division et de nouvelles marques à venir) n’a jamais fait ses preuves (…) avec une valeur d’entreprise implicite qui ressort négative (-1,1 milliard d’euros) sur la base du cours de Bourse actuel », poursuit Oddo BHF.

Rappelons que Tencent, qui était entré au capital du groupe en 2018, a l’habitude de payer généreusement pour prendre des participations minoritaires dans les différentes structures de la galaxie Ubisoft.

En 2022, le groupe chinois avait pris 49,99% de la société Guillemot Brothers Limited, holding de la famille Guillemot, qui détient 13,7% d’Ubisoft, pour un prix faisant ressortir un cours Ubisoft de 80 euros. Ce alors que l’action de la société de jeux vidéo cotait 43 euros. Tencent avait alors rejoint le concert d’actionnaires familial formé par les Guillemot.

Pour revenir à la création de la nouvelle filiale, le cash que versera Tencent permettra à Ubisoft de se désendetter, et pas qu’un peu.

Les quelque 1,16 milliard d’euros correspondent quasiment à l’intégralité de la dette nette de l’entreprise (1,4 milliard d’euros donc, en incluant 300 millions d’euros de « leasing »), remarque Oddo BHF. Les craintes liées au refinancement de la dette de l’entreprise, Deutsche Bank évoquant 500 millions d’euros arrivant à échéance en 2026, n’ont donc plus de raison d’être.

« Cette injection de cash soulage significativement la photographie bilancielle », résume TP ICAP Midcap. La finalisation de l’opération doit survenir d’ici à la fin de l’année calendaire 2025.

À la Bourse de Paris, l’annonce reste relativement bien accueillie. Le titre Ubisoft prend 8,8% à l’heure du déjeuner. Toutefois, eu égard à la forte volatilité du titre ces derniers, cette progression reste mesurée.

« La réaction des investisseurs n’est pas extrêmement forte, on manque de détails, notamment sur les royalties, et l’opération demeure complexe et complique la structure de l’entreprise. Par ailleurs, les problèmes opérationnels d’Ubisoft, notamment sa faculté à dégager des flux de trésorerie positifs, ne sont pas résolus. Le marché reste un peu méfiant », estime un analyste.

« Après cela reste une annonce positive avec plus d’un milliard d’euros de cash dégagé », nuance-t-il.

« Ce type d’opération financière rend encore plus compliquée la structure d’Ubisoft et verrouille encore plus son capital au profit de Tencent« , juge de son côté Oddo BHF.

Les Chinois sont des gens normaux.

Ils veulent des gros seins, de la masculinité toxique, pas de nègres dans les jeux, et, plus généralement, une expérience plaisante.

En Occident, à cause des juifs, des femmes blanches et des homosexuels, l’industrie du jeu se résume désormais à agresser à les gamers (à 80% des hommes blancs hétérosexuels).

Le fait est que, pour une raison inconnue, la Chine a décidé de libérer l’homme blanc.

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