La désastreuse Marine Le Pen promet de ruiner la vie des Français innocents pour se venger (MAJ : l’horrible Marine Le Pen surgit à l’Assemblée pour un suicide politique public)

La Rédaction
Démocratie Participative
01 avril 2025

 

Je dois faire une mise-à-jour suite au numéro de cirque auquel Mariama s’est livrée aujourd’hui à l’Assemblée.

Cette machine à perdre a choisi la fuite en avant, refusant d’admettre sa culpabilité, mais contestant également son inéligibilité.

Bardella, président théorique du RN, ne contrôle rien et doit se laisser embarquer dans ce suicide collectif digne de l’Ordre du Temple Solaire.

Le Pen s’exprime comme si le RN n’existait pas sans elle. Nulle part il n’est écrit que cette femme doive diriger quoi que ce soit du seul fait de sa naissance et de son patronyme.

Nous ne sommes pas sous l’Ancien régime.

Dès demain, Bardella peut se présenter à sa place.

Il n’y a aucun moyen légal d’inverser cette décision judiciaire d’ici à 2027, mais Mariama le conteste et plante de ce fait le RN dans une impasse légale et politique.

Si Bardella avait le sens de la situation, il refuserait de soutenir cette folie politique et ordonnerait à l’alcoolo-tabagique de tirer les conclusions du verdict et qu’elle se mette en retrait pour le laisser préparer les présidentielles en bon ordre.

Évidemment, ce que je dis est théorique : Bardella est un fantoche.

Il a même explicitement dit cela sur CNews ce matin : il est l’âme damnée de Marine Le Pen, obéissant aveuglément à toutes ses injonctions.

Le type va même jusqu’à dire qu’il n’y a pas de chef au RN, lui, le président du parti.

Candidat, Bardella va expliquer qu’il serait un président par procuration et qu’une fois à l’Élysée, il sera la créature docile de Marine Le Pen ?

C’est désastreux au plan psychologique.

Les Français ne voteront jamais pour une doublure.

Ils voudront à l’évidence que celui qu’ils élisent soit celui qui préside, pas un simple prête-nom pour une femme condamnée qui cherche à squatter le sommet de l’État.

Tout cela est la conséquence de la mise en coupes réglées du nationalisme par une famille depuis un demi siècle. Son fonctionnement népotique est digne de l’ère féodale.

Personne ne doit rien à l’horrible Marine Le Pen et il est temps que Bardella réalise que tout a changé ces dernières 24 heures. Il a d’autres urgences sur les bras que les ambitions périmées de Mariama.

En continuant d’expliquer qu’il n’est pas le leader du parti qu’il préside, en s’enfonçant dans le déni légal dicté par la cour de l’alcoolo-tabagique, il explique partout qu’il n’est pas l’homme de la situation.

Il lui reste peu de temps pour contraindre cette forcenée à regarder les choses comme elles sont. S’il consent à subordonner les plans du RN à des recours illusoires pour ne pas froisser cette folle, le RN n’aura pas de dynamique dans l’opinion et les adversaires l’exploiteront.

D’autres convoitent déjà sa position : Retailleau, Wauquiez, Zemmour, etc..

Les gens ont toujours sous-estimé la capacité de Marine Le Pen à perdre.

Elle perdrait une partie de poker avec un carré d’as.

Je l’ai dit et répété : il n’y a pas de femme plus destructrice pour le nationalisme que Marine Le Pen.

Hier soir, Mariama est apparue sur les écrans pour réagir à sa condamnation, amplement méritée, pour détournement de fonds publics.

Elle a persisté dans sa ligne absurde consistant à nier les faits, accablants et documentés, assumant publiquement le fait de prendre tout le monde, Français et juges confondus, pour des demeurés.

Elle s’est ensuite victimisée à outrance avant de prétendre « combattre pour les Français ».

Marine Le Pen n’a jamais « combattu » que pour sa gamelle et celle de sa cour d’homosexuels.

La « dédiabolisation » qu’elle a mise en place, et qu’on devrait plutôt appeler « ralliement », n’a pas été pensée pour servir ses compatriotes et électeurs, mais pour lui permettre de s’insérer dans le système et ne plus avoir à combattre, précisément. Elle pensait que cela lui épargnerait les épreuves auxquelles son père avait été soumis pendant des décennies et qu’elle pourrait vivre tranquillement de la politique. Faire la liste des trahisons qu’elle a commises pour y parvenir serait trop fastidieux, lassant et, à présent, obsolète.

La stratégie qui consiste à revendiquer le privilège de ne pas payer le coût légal de ses montages financiers va peut-être plaire à une part endurcie de l’électorat RN, mais l’effet sur l’ensemble de la population est bien plus mitigé.

Les gens n’aiment pas les politiciens qui magouillent, peu importe leurs explications, surtout lorsqu’elles sont aussi bancales que celles des pieds nickelés du RN.

D’ailleurs, BFMTV n’a pas eu de mal à exploiter la chose.

Les gens se fichent du sort de Mariama. Contrairement à Trump (quoi qu’on en pense), elle n’est pas un leader charismatique qui communique la passion et enflamme les masses pour sa cause. C’est une tenancière de PMU qui s’est faite poisser pour de misérables histoires de double caisse.

Le résultat, c’est que les gens s’en détournent à la première véritable difficulté puisqu’ils n’ont pas de lien affectif avec elle.

Je le disais hier et je le répète : cette chute est la meilleure chose qui pouvait advenir.

Le RN ne va pas devenir un parti nationaliste pour autant, mais cette femme horrible, obsédée par l’Afrique, d’une vulgarité effrayante et dénuée de culture comme de scrupules, cette femme — parricide — qui a fait tant de dégâts est durablement affaiblie, même si elle continuera de hanter le mouvement pour capter l’attention des autres.

Jordan Bardella, le successeur logique à ce stade, est transparent, sans véritables convictions, malléable en un mot, mais il n’a pas cette agressivité dans la nuisance, ce besoin compulsif de vouloir prouver qu’il existe en détruisant tout ce que lui préexiste. C’est un simple cadre, carriériste, qui récite sans grand intérêt ce qu’il faut réciter.

Cette absence de zèle dans le besoin pathologique de tout saccager est une amélioration, relative, en ce sens qu’il n’est pas animé d’une haine incontrôlable pour le nationalisme. Il est simplement opportuniste.

L’hystérique Marine Le Pen est une pauvre fille qui s’est construite névrotiquement contre son père et ce qu’il incarnait pour se faire accepter par ce système. La voir foudroyée au lendemain de son adoubement par Arno Klarsfeld est la chose la plus satisfaisante qui soit.

Je reste cependant modérément prudent : nous ne sommes pas à l’abri d’un coup du sort qui verrait cette femme horrible être remise en scelle, pour une raison X ou Y.

Après tout, elle peut très bien nous vendre Marine Le Pen 2032.

Elle essaiera d’ailleurs très probablement tant l’idée de laisser des innocents vivre leur vie lui est insoutenable.

Ceci dit, elle est hors jeu pour un moment et nous allons enfin un peu respirer. Une page très sombre de l’histoire politique se tourne et c’est une excellente chose.

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