La justice européenne autorise les Françaises à refuser de coucher avec leurs maris indéfiniment

La Rédaction
Démocratie Participative
23 janvier 2025

Elle a épousé la bague

L’état de droit vaginal vient de frapper fort.

Le Monde :

Une femme qui refuse des rapports sexuels à son mari ne doit pas être considérée par la justice comme « fautive » en cas de divorce, a tranché la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui a condamné la France jeudi 23 janvier.

Et quand c’est l’homme qui refuse ?

La Cour a donné raison à la requérante, une Française de 69 ans dont le mari avait obtenu le divorce aux torts exclusifs de son épouse au motif qu’elle avait cessé d’avoir des relations sexuelles avec lui depuis plusieurs années.

Dans un arrêt rendu jeudi, la Cour qui siège à Strasbourg rappelle que « tout acte sexuel non consenti est constitutif d’une forme de violence sexuelle ». « La Cour ne saurait admettre, comme le suggère le gouvernement, que le consentement au mariage emporte un consentement aux relations sexuelles futures. Une telle justification serait de nature à ôter au viol conjugal son caractère répréhensible », a déclaré la CEDH.

« J’espère que cette décision marquera un tournant dans la lutte pour les droits des femmes en France », a réagi la requérante dans un communiqué transmis par son avocate, Lilia Mhissen.

En juillet 2018, le juge aux affaires familiales du tribunal de grande instance de Versailles avait estimé que le divorce ne pouvait pas être prononcé pour faute et que les problèmes de santé de l’épouse étaient de nature à justifier l’absence durable de sexualité au sein du couple.

Mais en 2019, la cour d’appel de Versailles avait prononcé le divorce aux torts exclusifs de l’épouse retenant comme une « faute » son refus des « relations intimes avec son mari ». La requérante avait formé un pourvoi en cassation, qui avait été rejeté.

L’épouse avait alors saisi la CEDH, faisant valoir l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, relatif au droit au respect de la vie privée et familiale.

La c’houtzpah des trous biologiques !

Ce qu’il restait du mariage hétérosexuel vient d’être détruit d’un trait de plume par une magistrate inconnue.

Sous l’effet de la légalisation de l’hypergamie féminine dans le mariage qu’implique cette décision, la nature de celui-ci change radicalement. Un mariage est fondamentalement sexuel. Ce qui différencie le mari d’une femme de son père ou de son frère, c’est le fait d’avoir des relations sexuelles avec lui. Un homme et une femme qui ne couchent jamais ensemble sont des amis, pas un couple.

Cette décision, en exigeant un accord préalable explicite pour chaque relation sexuelle entre un mari et sa femme, conteste fondamentalement l’idée que le mariage est par nature sexuel. Il n’est plus centré sur la complémentarité biologique de l’homme et de la femme en vue de la perpétuation de l’espèce humaine, mais devient transactionnel, centré sur les besoins matériels de la femme en consacrant la domination sexuelle et psychologique de la femme dans la dynamique du couple.

Les traînées adorent ce concept de tout recevoir sans rien donner en échange.

Un homme se marie pour disposer de l’accès sexuel exclusif à une femme (et avoir des enfants). C’est pour cette contrepartie qu’il consent à s’investir totalement au quotidien dans une telle relation légale. Il accepte les sautes d’humeur, les embrouilles, les contraintes matérielles de la vie conjugale en échange de cet accès exclusif au sexe et de ce qui lui est indirectement lié affectivement.

Un mariage est un contrat et comme tous les contrats, si une partie signataire ne respecte pas les clauses mutuellement consenties lors de sa signature, l’autre partie peut le rompre formellement et demander compensation pour les torts subis. Ce néo-mariage féministe est un contrat truqué à l’avantage de la femme qui peut décider de s’exempter de l’honorer pour une durée indéterminée sans conséquences négatives au plan légal et financier. Essayez de proposer un tel type de contrat dans n’importe quelle négociation et revenez m’en parler.

À présent, si l’homme lésé veut sortir d’un mariage où sa femme le neutralise sexuellement, il devra payer une pension (une taxe) à cette femme comme si c’était lui qui était à l’origine de la rupture du contrat, quand bien même il ne fait que réagir à une rupture initiée par la femme. Avoir une relation extra-conjugale ne sera pas une alternative car le mari sera en tort en cas de divorce et devra payer.

La conséquence de tout cela, c’est que le mariage n’a plus de raison d’être pour l’homme. Aucun homme ne veut avoir subir les contraintes du mariage s’il peut être sexuellement rationné en toute impunité. Mais surtout, aucun homme ne voudra être rétrospectivement accusé de « viol » par une femme qui cherche à rompre un mariage à son avantage financier. On imagine déjà ce qu’une telle décision permettra aux femmes lorsqu’elles voudront divorcer aux torts de leurs maris.

La part des hommes volontaires pour s’engager sur la longue durée et faire des enfants va encore s’effondrer et les médias feront semblant de ne pas comprendre pourquoi. Si vous donnez le pouvoir aux femmes, elles détruiront la société.

Faisons une expérience et exigeons des femmes qu’elles stipulent par écrit au moment de la signature du contrat de mariage : « Tu me reconnais le droit de ne plus avoir de relations sexuelles avec toi pour la durée qui sera à ma discrétion ». On verrait combien de temps le numéro dure.

Cette histoire m’a convaincu de me lancer dans une nouvelle branche.

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