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La Rédaction
Démocratie Participative
23 avril 2025
Luciano Romoli, Grand Maître de la Grande Loge d’Italie
Ça va mieux en le disant.
« La Grande Loge d’Italie de l’ALAM s’associe au deuil universel pour la disparition du pape François, un pasteur qui, par ses enseignements et sa vie, a incarné les valeurs de fraternité, d’humilité et de recherche d’un humanisme universel », a écrit Luciano Romoli, Grand Maître de la Grande Loge d’Italie de l’A.L.A.M., dans un communiqué publié mardi.
« Venant de la ‘fin du monde’, Jorge Mario Bergoglio a été capable de changer l’Eglise, en ramenant les enseignements révolutionnaires de Saint François d’Assise à notre époque », écrit Romoli.
Romoli a poursuivi en louant le « travail » de François comme étant « en profonde résonance avec les principes de la franc-maçonnerie ».
Le Grand Maître a souligné que « la liberté, l’égalité et la fraternité » – élevées au rang d’idéaux sociétaux dans l’encyclique Fratelli tutti de François – sont « les trois valeurs fondamentales de la franc-maçonnerie ».
Et de la France juive.
« Surmonter les divisions, les idéologies et la pensée de groupe afin de reconnaître la richesse des différences et de construire une humanité unie dans la diversité : tel était le désir ardent de François, et le même objectif est poursuivi par la Grande Loge d’Italie », a poursuivi M. Romoli.
Il a également affirmé que François avait adopté « une foi capable de se remettre en question, d’accepter le doute et le dialogue, que l’on retrouve également dans la méthode initiatique maçonnique, basée sur un chemin libre de tout dogme, étayé par la recherche incessante de la vérité ».
« En ces temps de crise grave, la Grande Loge d’Italie fait écho à l’appel du pape François pour une « conscience planétaire » qui reconnaît l’humanité comme une communauté de destin. Nous honorons sa mémoire en continuant à œuvrer pour une éthique des limites, pour le respect des autres et pour la construction d’un Temple fondé sur la solidarité, la liberté de pensée et la fraternité universelle », a conclu Romoli.
Les francs-maçons italiens ont accueilli François dès le début. Son élection a été immédiatement saluée par le Grand Maître Gustavo Raffi de la Loge maçonnique Grand Orient d’Italie, qui a déclaré à l’époque : « La fraternité et le dialogue sont ses premiers mots concrets : peut-être que rien ne sera plus comme avant dans l’Église ».
On se souviendra des mots lumineux du Reichsführer Heinrich Himmler, désignant la juiverie, la maçonnerie mondiale et le christianisme organisé comme les trois forces coalisées pour la destruction de la race blanche.
Leur faillite respective est plus que jamais nécessaire au salut de l’Europe blanche.
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