Espagne : la « musa del falangismo » condamnée à un an de prison par les juifs pour « racisme »

La Rédaction
Démocratie Participative
10 avril 2025

Isabel Peralta face au tribunal de Madrid

Les juifs sont des gens ignobles, tout particulièrement en Espagne où ils persécutent la seule femme du pays encore digne de ce nom.

Cronica Global :

Le tribunal provincial de Madrid a condamné l’influenceuse néo-nazie Isabel Peralta à un an de prison pour un délit de provocation à la haine et à la discrimination. Elle a également été condamnée à une amende de six mois à raison de six euros par jour.

Les faits pour lesquels elle a été poursuivie remontent au 18 mai 2021, lorsque le groupe d’extrême droite Bastion Frontal a organisé un rassemblement non autorisé devant l’ambassade du Maroc à Madrid. L’événement a été organisé dans le contexte de la crise diplomatique entre l’Espagne et le Maroc, suite aux avalanches migratoires à la frontière de Tarajal (Ceuta).

Des centaines de personnes, dont de nombreux mineurs, ont été autorisées à entrer illégalement.

Comme l’accuse le verdict auquel Crónica Global a eu accès, l’accusée s’est placée en tête du rassemblement et, à l’aide d’un haut-parleur, a prononcé un discours rempli de messages hostiles à l’égard des immigrants marocains.

Parmi ses déclarations, elle a souligné que le gouvernement espagnol permettait une « usurpation d’identité raciale sans précédent », que les immigrants « détruisaient notre identité morale, raciale et culturelle », et elle a exhorté les gens à « s’opposer » à ce qu’elle a décrit comme une « invasion ».

Sa prestation a également été enregistrée et publiée sur diverses plateformes telles que YouTube, où deux vidéos ont été téléchargées avec des milliers de vues.

Bien que le verdict confirme que Peralta n’a pas été directement impliqué dans la diffusion de ces images, le tribunal considère qu’elle était pleinement consciente du contexte et de l’écho médiatique de ses propos.

Au cours de la même manifestation, plusieurs membres du Frontal Bastion se sont violemment heurtés à la police lorsque les forces anti-émeutes ont tenté de dégager la zone.

Plusieurs agents ont été blessés et cinq personnes ont été arrêtées. En réponse, le groupe a publié une déclaration sur les médias sociaux justifiant la violence, s’en prenant aux policiers et utilisant un langage extrêmement offensant à l’égard des groupes minoritaires.

Dans ce contexte, des témoins ont désigné Isabel Peralta comme la « figure active » du groupe d’agitateurs. L’enquête a montré que cette femme, aujourd’hui condamnée, a assumé « un rôle de leader évident » au cours de la manifestation.

Dans le même temps, la Cour a également rejeté les circonstances atténuantes demandées par la défense, telles que le retard injustifié et l’erreur d’interdiction, qui consiste à croire à tort qu’une action est légale alors qu’il s’agit en réalité d’une infraction pénale.

Pour la Cour, il n’a pas été suffisamment prouvé que Peral ne savait pas que ses actes étaient qualifiés d’infraction pénale. De même, le sous-type aggravé de diffusion massive sur l’internet n’est pas applicable, car l’accusé n’a pas participé directement à la publication des vidéos.

Néanmoins, le tribunal a ordonné la suppression du contenu des liens Twitter et YouTube et a condamné l’accusé aux dépens de la procédure.

Le tribunal provincial de Madrid a condamné l’influenceuse néo-nazie Isabel Peralta à un an de prison pour un délit de provocation à la haine et à la discrimination. Elle a également été condamnée à une amende de six mois à raison de six euros par jour.

Isabel a réagi — en espagnol évidemment — à cette condamnation dictée par la tyrannie marane.

Déclarée coupable. Des hommes viendront qui seront persécutés comme nous l’avons été, mais à la fin nous triompherons, car ce qui est bon et vrai triomphe toujours dans ce monde !

Sencencia condenatoria. ¡Vendrán hombres que serán perseguidos como también nosotros lo fuimos, pero al final triunfaremos, porque lo bueno y lo verdadero siempre triunfa en este mundo! pic.twitter.com/r0M45DwTlZ

— Isabel Peralta (@Ysabelmperalta) April 10, 2025

La démocratie, partout, est le masque du pouvoir juif mondial.

Ce que ce régime ne pardonne pas à Isabel, c’est d’avoir dénoncé la toute-puissance hébraïque internationale.

Cette gonzesse en a dans le pantalon.

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