Le 30 avril, jour de l’ascension héroïque d’Adolf Hitler

La Rédaction
Démocratie Participative
30 avril 2025

 

Forcément, aujourd’hui ces chacals de juifs n’ont pas pu s’empêcher de dire du mal du Grand Homme.

Peu importe ce qu’ils racontent, Adolf Hitler est le plus grand héros de l’histoire européenne.

Comme les héros de l’Antiquité aryenne, il était engagé dans une lutte inégale contre les forces du chaos et il a acquis l’immortalité par son entrée dans la mémoire collective au terme d’un combat titanesque.

Adolf Hitler est désormais au centre de la culture occidentale, l’Alpha et l’Omega de toute discussion, bien plus que Jésus-Christ.  Rares sont ceux qui s’empoignent à l’évocation du nom de Jeshua de Nazareth. En revanche on peut faire trembler les états démocratiques avec celui d’Adolf Hitler.

Il règle aujourd’hui la perception fondamentale de la réalité de milliards d’hommes.

Ce triomphe herculéen est consacré par la fameuse loi de Godwin, sécrétion de l’architecture sociale, culturelle et idéologique édifiée en 1945 contre le monde aryen.

Depuis la mort d’Adolf Hitler, l’Europe a progressivement sombré dans la nuit. Hélas, tant que la swastika est obscurcie par les ténèbres de l’abrahamisme que dissimule à peine le voile de la démocratie, rien de solaire ne peut émerger sur notre continent enchaîné.

Le soleil, c’est la lumière, celle qui éclaire la vérité et qui dissipe l’ombre du mensonge dans laquelle se tapissent les forces de destruction.

Dire la vérité sur Adolf Hitler et son combat contre l’empire du mensonge, c’est laisser percer un rayon de soleil dans un monde noir et laid. C’est aussi faire hurler les légions de démons qui veillent à ce que nous restions plongés dans les ténèbres.

Le 30 avril est assurément un jour sombre.

Mais c’est aussi plus que cela.

Permettez-moi une digression non orthodoxe.

La mort d’un chef de guerre, la veille de Beltaine, 1er mai, fête cardinale celtique, évoque le départ vers le Sidh, le royaume des dieux et des héros. Les Celtes croyaient que les âmes des héros, c’est-à-dire des guerriers morts au combat après avoir fait montre d’un courage exceptionnel, pouvaient rejoindre le Tír na nÓg, l’île de l’Éternelle Jeunesse, l’Avalon d’Arthur. Un chef de guerre mourant ce jour-là est comme « appelé » par les dieux de l’Autre Monde, surtout s’il est mort glorieusement.

Beltaine est traditionnellement associée à des rituels de purification et de renouveau pour la communauté, notamment les feux entre lesquels passait le bétail. La mort d’un chef peut être interprétée comme un sacrifice ultime pour assurer la prospérité ou la protection de la tribu, son sang fertilisant symboliquement la terre, comme dans certains mythes celtiques où les héros se sacrifient pour le bien commun. Dans la mythologie irlandaise, des figures comme Cú Chulainn meurent héroïquement, leur sacrifice renforçant la cohésion de leur peuple.

Adolf Hitler écrit le 29 avril, veille de son départ pour le Sidh :

Après six années de guerre, qui, malgré tous les revers, entreront dans l’histoire comme la manifestation la plus glorieuse et la plus héroïque de la lutte d’un peuple pour son existence, je ne puis abandonner la ville qui est la capitale de ce Reich. Puisque nos forces sont trop faibles pour résister plus longtemps à l’assaut ennemi et que notre propre résistance est graduellement affaiblie par des hommes aveuglés et sans caractère, je souhaite partager le sort que des millions d’autres ont déjà accepté, en restant dans cette ville.

De plus, je ne tomberai pas entre les mains d’un ennemi qui exige un nouveau spectacle, organisé par les Juifs, pour divertir leurs masses hystériques. J’ai donc décidé de rester à Berlin et de choisir librement la mort au moment où je croirai que la position du Führer et de la Chancellerie ne pourra plus être tenue.

Je meurs avec un cœur joyeux, conscient des exploits incommensurables et des réalisations de nos soldats sur le front, de nos femmes à la maison, des performances de nos paysans et ouvriers, et de la contribution unique dans l’histoire de notre jeunesse, qui porte mon nom.

Comme dans d’autres traditions indo-européennes, la mort d’un chef de guerre celte, surtout à la veille d’une date sacrée, renforce son statut légendaire.

Les bardes chanteraient ses exploits, et sa mort à la veille de Beltaine devrait être intégrée, le présentant comme un héros immortalisé par sa gloire.

Il doit en aller de même pour l’Achille germanique.

Adolf Hitler n’est pas mort.

Il brûle comme un soleil et son nom est plus vivant que jamais.

L’invoquer, c’est faire ce que fait le soleil dans sa marche céleste : vaincre.

La vérité est la suivante : Adolf Hitler a tué la bête du marxisme au milieu de l’Europe, stoppant le judéo-bolchevisme déchaîné à Berlin même, équilibrant les forces ennemies dans un antagonisme inattendu dont il est resté le maître invisible pendant 50 ans.

Jusqu’à ce que son esprit, par delà la tombe, rouvre les portes de l’histoire européenne.

Adolf Hitler a tué Mordred, avant de rejoindre, blessé, Avalon.

Depuis l’île où le temps n’existe pas, il nous regarde et attend. Reste à l’homme de demain de revenir pour entamer la guerre de libération de l’Europe.