Le gouvernement japonais fond un plomb après le lancement d’Assassin’s creed négrifiant l’histoire du pays

La Rédaction
Démocratie Participative
20 mars 2025

 

Le truc est littéralement du porno gay interracial.

Un samouraï noir en couple avec une personne non-binaire 🙃

C’est très dangereux de laisser une entreprise de cette taille devenir une chambre d’écho digne d’une fac de psycho.

Yasuke couche avec Oichi, la sœur d’Oda Nobunaga, dans Assassin’s Creed Shadows.
Je me demande ce que le Japon en pense 🤔
Voici la scène :

Yasuke fait désormais partie de la lignée impériale japonaise.

Il se tape Oichi, la sœur de Nobunaga.

18 empereurs descendent d’elle.

Dites-moi encore qu’Ubisoft a fait des recherches très respectueuses du Japon ? 😂

Des kamikazes vont viser les locaux d’Ubi Soft à tout instant.

C’est officiel.

Le Premier ministre Shigeru Ishiba est interrogé par Kata Hiroyuki, membre du LDP, à la Diète nationale, sur Assassin’s Creed Shadows et sur la façon dont il pourrait inspirer la profanation massive de sanctuaires shintoïstes à travers le Japon.

Ishiba répond par une condamnation ferme.

Vu de France, il peut sembler irréel qu’un gouvernement désigne au plus haut niveau la présence d’un seul Noir dans un jeu vidéo comme une menace pour la sécurité nationale, et pourtant, c’est considéré comme normal.

Et c’est normal.

Le plus drôle, c’est que chier du nègre sur le Japon pour exalter les weebs est apparemment la stratégie d’Ubisoft pour survivre.

Les Échos :

À côté des centaines de milliers de fans, les investisseurs sont aussi nombreux à s’intéresser à ce nouvel opus. Depuis des années, Ubisoft, le développeur derrière le célèbre jeu, vit des moments difficiles. En bourse, son action est passée de 100,05 euros à son plus haut niveau en 2018 à 12,60 euros ce mercredi.

La douloureuse chute s’explique notamment par une série de déceptions commerciales. Le très attendu ‘Star Wars Outlaws’ a fait un flop retentissant, malgré les énormes investissements consentis. ‘Prince of Persia’ et ‘Skull and Bones’, deux autres gros projets, n’ont guère fait mieux sur le plan commercial. « On peut aussi citer le jeu Avatar, dont la sortie est passée complètement inaperçue. Graphiquement, il est pourtant l’un des plus réussis de 2023 », rappelle Christophe Laduron, coordinateur du master en jeux vidéo de la Haute École Albert Jacquard.

Face aux échecs en série, certains actionnaires commencent à se poser quelques questions. L’actionnaire AJ Investments est, lui, ouvertement critique quant à la manière de travailler de l’entreprise. En septembre dernier, il plaidait déjà pour une sortie de la cotation boursière et le départ du CEO du groupe. La semaine dernière, AJ Investments a remis le couvert en invitant les autres actionnaires à une manifestation le 28 mai prochain, afin de pousser la direction à revoir sa stratégie. Dans sa démarche, l’investisseur minoritaire assure avoir le soutien de 15 % des actionnaires.

Ubisoft doit aussi faire avec des soucis judiciaires. Dans quelques semaines s’ouvrira un procès où des membres de la direction sont accusés de harcèlement moral et sexuel. Ubisoft n’est pas directement mis en examen, mais le scandale éclabousse son image depuis des années.

Les traînées de la boîte veulent tout cramer.

« Cela a d’ailleurs potentiellement joué sur l’attractivité d’Ubisoft auprès des meilleurs développeurs », explique Björn-Olav Dozo, professeur en culture vidéoludique à l’ULiège. « Nous avons toujours eu d’excellents contacts avec leurs studios de Paris et Annecy. Mais l’image du groupe n’est plus tout à fait la même qu’autrefois. Il y a encore quelques années, lorsqu’on proposait un stage chez Ubisoft, la moitié de la classe levait la main pour y aller. Aujourd’hui, ils sont beaucoup moins nombreux », explique, de son côté, Christophe Laduron, coordinateur du master en jeux vidéo de la Haute École Albert Jacquard.

Sur papier, difficile donc de faire pire. Pour certains, ce nouvel opus est l’une des dernières chances pour le groupe d’enfin relancer la machine. « En cas de raté, ce n’est pas ce titre qui va enterrer Ubisoft », estime le professeur à l’ULiège. « Mais un succès ne remettra pas non plus le studio sur la bonne voie. Les problèmes sont plus profonds« , estime-t-il.

Comment le studio en est-il arrivé à une telle situation ? Elle a d’ailleurs de quoi surprendre lorsqu’on regarde dans le rétroviseur. « C’est assez étonnant de se le rappeler aujourd’hui, mais à une époque pas si lointaine, Ubisoft était considéré comme l’un des studios les plus innovants et prometteurs du secteur », rappelle Björn-Olav Dozo. Son manque de créativité est aujourd’hui son principal défaut.

On se demande vraiment ce qui a pu se produire.

À tout hasard, la prise de contrôle par des dégénérés d’extrême-gauche ?

La négrophilie pathologique des Français doit être stoppée.

Espérons qu’Ubisoft soit anéanti une bonne fois pour toutes.

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