Le nouveau héraut de la droite française

La Rédaction
Démocratie Participative
04 mai 2025

 

À ce stade, c’est du viol.

J’ai bien aimé la synthèse de Henry de Boulisquen.

Nos lecteurs vont certainement se dire que c’est trop énorme, trop évident, trop démesurément juif pour que ça passe.

Hélas, l’objectif ici est de coller le juif Sarközy à la mairie de Menton, bastion du boomeristan.

Le rejeton du destructeur de la Libye va jouer à domicile.

Comme je le disais dans une émission précédente, et malgré les interrogations de Derrick, le grand avantage de Menton, d’un point de vue juif, est d’être à la frontière avec l’Italie.

Les juifs dorment mieux la nuit à proximité d’une frontière. En cas de problème, ils peuvent s’éclipser de nuit et passer à l’étranger d’où ils se réorganisent ensuite pour fomenter une contre-révolution.

Ce qui me fascine chez Louis Sarközy, c’est l’air ahuri dont il est accablé, l’impression qu’il dégage de toujours jurer dans le tableau, embarrassé de lui-même, l’oeil rond et passablement hébété, et tout cela en trônant l’air satisfait, heureux d’être lui-même. Le ton ampoulé qu’il emploie péniblement, par mimétisme truqueur, tranche avec son faciès et ses manières de gaffeur réchappé des ghettos de Roumanie : c’est le grotesque juif qui plastronne, le faisan de salon qui vient fraîchement de se débarrasser de son caftan et qui déjà commande avec le ton des dynasties millénaires. Il ne parle pas, il singe. Ce qui perce à travers cette prétention intellectuelle que trahissent ses façons de vagabond oriental, c’est l’insolence de la vulgarité et de la stupidité juives.

Ce juif ne sert à rien, mais il est là et nous sommes sommés de le subir en silence.