Le pape anal est mort le lundi de Pâques, jour de l’anniversaire d’Adolf Hitler !

La Rédaction
Démocratie Participative
21 avril 2025

 

Et bien les dieux sont espiègles.

Le pape anal est mort le lundi de Pâques.

Pas de résurrection pour l’église de Bergogliologie !

On peut dire que Bergoglio aura considérablement accéléré la désagrégation de l’Église catholique, déjà très mal en point.

Il aura d’abord été le pape de l’invasion totale de l’Europe.

C’est celui qui, à Lampedusa, invita les migrants musulmans à rester fidèles au coran, dénonçant en parallèle les Européens qui refusaient la submersion de leurs pays.

En 2016, il organisa lui-même un pont aérien entre la Turquie et la Grèce pour accélérer l’implantation de ces musulmans.

On se rappelle de sa visite à Marseille où il accabla les derniers Blancs assiégés de la ville et appela le tiers-monde à parachever la conquête de la cité phocéenne, porte d’entrée de l’Afrique en France.

Bergoglio agissait de manière consciente. Il prenait ses libertés avec la doctrine catholique historique, suivant en cela le reste des prélats latino-américains.

Dès la première semaine de son pontificat, en 2013, il reçut des mains d’Adolfo Pérez Esquivel, agitateur de gauche argentin, une copie du Pacte des catacombes qui fut signé par une quarantaine d’évêques sud-américains le 16 novembre 1965 à Rome, peu avant la fin du Concile Vatican 2.

Il s’agissait d’opérer une révolution culturelle au sein de l’Église catholique pour l’ancrer dans le mouvement marxiste mondial et, affirmaient-ils, renouer avec l’Église des premiers siècles, foyer d’agitation sociale clandestin.

Le lieu n’était pas choisi par hasard, puisque, comme les premiers chrétiens dirigés par des juifs, le pacte fut signé dans les catacombes de Domitilla, à Rome. Il s’agissait de détruire l’ordre aryen en conspirant depuis les plus bas cercles de la société.

Affectionnant la proximité avec la gauche radicale, Bergoglio s’entretint de nombreuses années avec le journaliste marxiste italien Eugenio Scalfari auquel il indiqua par exemple que Jésus était « un homme, pas un dieu », développant au fil de ses échanges avec son interlocuteur une conception athée de l’histoire en tous points compatibles avec les grands principes du marxisme.

En ce sens, Bergoglio fit de nombreuses déclarations destinées à démolir ce qui restait des dogmes catholiques les plus anciens, proclamant par exemple que l’enfer n’existait pas.

En somme, il s’agissait de faire de ce qu’il restait de l’Église catholique un véhicule de l’internationalisme de gauche, les migrants servant de bélier à cette entreprise cosmopolite globale.

Fidèle à cette entreprise révolutionnaire, il s’en prit aussi à la famille, prêchant inlassablement la normalisation de l’homosexualité et des transexuels.

En 2023, il imposa la bénédiction des couples de sodomites.

Enfin, Bergoglio fut aussi un soutien farouche à Israël, en dépit de quelques critiques de pure forme.

Se rendant en Palestine occupée, il alla se prosterner sur la tombe de Theodor Herzl, père fondateur du sionisme.

On l’ignore trop, mais dès qu’il fut élu pape, il vécut sous le même toit qu’un rabbin argentin chargé de superviser toutes ses actions, Abraham Skorka.

On peut dire que Bergoglion incarnait parfaitement le judéo-christianisme militant.

Autant dire qu’au vu de ce qu’il incarnait, il avait toute l’admiration de la droite levantine.

Les frasques de Bergoglio vont indubitablement nous manquer.

Faisons toutefois confiance au Vatican : le cap est solidement fixé.

Ironiquement, le 21 avril est la date de la fondation de Rome par Romulus.

C’est le seul pape qui soit mort un 21 avril en 2000 ans d’occupation chrétienne de la capitale impériale.

Quel message de la part des dieux !

En ce 21 avril où le pape anal meurt à 88 ans – HH -, profitons-en pour souhaiter un joyeux anniversaire au Führer, le seul homme capable de défier la mort et d’inspirer les coeurs aryens par delà la tombe.

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