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La Rédaction
Démocratie Participative
20 mars 2025
- Précédemment : Les huiles huileuses du judaïsme mondial boycottent la venue de Bardella et Auque à Jérusalem
Le boycott s’amplifie.
La cuisine de Netanyahu tourne au désastre.
Alors que les participants à une conférence sur l’antisémitisme organisée par le gouvernement israélien se sont retirés depuis plusieurs jours, invoquant la présence d’hommes politiques d’extrême droite, un changement inexpliqué s’est produit sur le site web de l’événement.
Le directeur général de l’Anti-Defamation League, Jonathan Greenblatt, a disparu à la fois de la page présentant les participants et de l’ordre du jour de la conférence, organisée par le ministre israélien des affaires de la diaspora, Amichai Chikli.
Mais mardi matin, ni le groupe américain de surveillance de l’antisémitisme ni M. Greenblatt n’avaient commenté publiquement les raisons de cette disparition. Mardi après-midi, un porte-parole du groupe a publié une déclaration qui a comblé certaines lacunes.
Jonathan Greenblatt (se prononce comme une blatte)
« À la lumière de certains participants récemment annoncés à la conférence du gouvernement israélien sur l’antisémitisme, Jonathan a décidé la semaine dernière qu’il ne participerait plus à l’événement, et il a informé le gouvernement israélien de sa décision après le week-end », a écrit le porte-parole.
La déclaration ne précise pas quels sont les participants qui ont inquiété M. Greenblatt. D’autres participants avaient proclamé sur les médias sociaux qu’ils se retiraient parce que l’événement incluait des politiciens d’extrême droite, y compris le chef d’un parti politique français ayant un passé d’antisémitisme flagrant.
Et oui.
Greenblatt représente la juiverie américaine.
Se la mettre à dos pour recruter quelques shabbat goyim est un calcul des plus risqués pour Netanyahu qui risque de perdre les faveurs des plus puissants juifs de la planète.
Greenblatt ne doit pas être sous-estimé.
« La seule équipe pour laquelle je joue est l’équipe juive
— Jonathan Greenblatt
« The only team I play for is the Jewish team »
— Jonathan Greenblatt pic.twitter.com/gxNP9TZ37C— Keith Woods (@KeithWoodsYT) November 16, 2024
Quoi qu’il en soit, pour ce qui nous concerne – puisque le RN est théoriquement français -, le prix à payer pour pouvoir éteindre les lumières lors d’un shabbat à Jérusalem est très élevé.
Attendons-nous à une surenchère de soumission de la part de Mariama face aux futures exigences présentées par Tel Aviv.
Cet ahuri de Klarsfeld, légataire universel de la culpabilité éternelle des Français promulguée par Chirac, fait déjà la retape du deal.
RN israel et les Juifs pic.twitter.com/EVtWT69K0L
— arno klarsfeld (@arnoklarsfeld) March 19, 2025
Jusqu’à présent, Mariama reprenait l’imposture gaulliste selon laquelle « la France était à Londres », moyennant quoi les 99% de Français représentés par Pétain n’avaient pas à rendre de comptes aux juifs.
Cela change et va changer encore plus rapidement.
La ligne officielle du mouvement : combattre le racisme et s’opposer à l’expulsion des migrants clandestins (juifs).
Avec une telle ligne antiraciste et antifa, on sait déjà combien d’allogènes seront renvoyés en Afrique : zéro.
Ce parti est, effectivement, fini.
Il peut faire 60% au second tour, que cela ne changerait rien. Il n’est plus qu’une formation normalisée dans un système génétiquement anti-blanc sur lequel les juifs exercent un contrôle absolu.
Ces obséquieuses reptations rendent d’autant plus comique le « souverainisme » de Mariama. Cette barrique est aussi bavarde contre Bruxelles que docile avec Tel Aviv.
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