Le système entre en fusion nucléaire face au Projet Saint-Pierre et Miquelon (phase 1 du Projet Guyane)

La Rédaction
Démocratie Participative
10 avril 2025

 

Tous les sycophantes de l’affreuse Marine Le Pen, présidente du lobby des DOMTOM, sont en panique après l’annonce du projet Saint-Pierre et Miquelon de Laurent Wauquiez, première phase de notre (autrement plus ambitieux) Projet Guyane.

Depuis hier, ils gémissent de douleur, ne sachant quoi dire ou quoi faire pour riposter face à cette glorieuse campagne.

L’inverti Tanguy a recours aux pleurnicheries de femme.

Son dernier truc : « Wauquiez devrait avoir honte, il dit qu’il neige à Saint-Pierre et Miquelon ! »

Ils se retrouvent à aboyer aux côtés de la gauche.

Et bien sûr aux côtés du gouvernement en place au sein duquel se trouve l’inutile Retailleau.

Ils paniquent tous.

L’immigration est à 100% un problème que l’on résout en l’éloignant.

Wauquiez, sûr de lui et dominateur, refuse de céder.

Le leader embrasse totalement cette cause aryenne.

C’est juste, mais il faut voir plus grand.

L’argument consistant à dire qu’il serait intolérable de parquer les clandestins à Saint-Pierre et Miquelon (ou dans les DOMTOM) parce que c’est « la France » est grotesque.

Tous les centres de rétention sont en métropole.

En France donc.

Ce que c’est gens racontent, c’est qu’il est intolérable de mettre un centre de rétention à Saint-Pierre et Miquelon, mais qu’il est parfaitement normal d’en avoir en métropole.

Est-ce que Poutine hésite à expédier les nuisibles en Sibérie ?

Non.

Je déteste ces truqueurs.

Peu importe, le train a quitté la gare et il est impossible de revenir en arrière.

Faire des déclarations sur « l’expulsion des OQTF dans leurs pays d’origine » n’a aucun intérêt. Nous avons face à nous une colonisation de peuplement mondiale.

Les avions ne vont pas atterrir paisiblement dans des dizaines de pays du tiers-monde avec l’accord des autorités.

Ces gens-là sont très clairs : ils refusent de reprendre leurs ressortissants.

Nous ne pouvons pas perdre de temps à bavasser avec ces potentats afro-musulmans qui ne céderont rien. Nous ne pouvons pas non plus créer des dizaines de ponts aériens par la force armée dans des dizaines d’états et croire que ça marcherait.

Et pourtant, nous devons déplacer des millions de parasites.

Si l’on souhaite les déplacer horizontalement, alors la Guyane est un choix d’évidence : elle peut accueillir une masse énorme d’allogènes qui, ensuite, pourront, si bon leur chante, retourner dans leur pays.

Reste l’option du déplacement vertical, mais nous n’en sommes pas là.

Quoi qu’il en soit, ce serait suffisant pour stopper instantanément le flot de l’invasion. Sitôt arrêté en France, sitôt mis dans un avion à destination de la luxuriante Guyane et placé dans un camp quelque part dans la jungle, indéfiniment.

Aucun de ces noirs ou de ces arabes qui se bousculent chez nous ne vient pour finir en Amérique du Sud.

En outre, nous n’avons jamais trouvé d’utilité à ce territoire, c’est l’occasion de rentabiliser cet investissement.

Vous n’imaginez pas l’efficacité d’un tel système. Aucun frein frontalier, aucune paperasserie inutile, aucun recours, rien. Un simple exercice logistique et une population française enfin débarrassée de cette menace permanente qui pèse sur elle.

Je vais éhontément promouvoir Laurent Wauquiez pour cette proposition concrète de droite faite par un homme de droite, ce qui n’est pas arrivé dans ce pays depuis 1945.

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