La Rédaction
Démocratie Participative
18 février 2025
Rochedy se débat avec les souverainistes et ça spirale.
Tout est parti de deux commentaires d’évidence sur la situation de l’Europe.
L’axiome des souverainistes adeptes d’Asselineau, Philippot et compagnie est connue depuis toujours : la désunion (des Blancs) fait la force.
L’autre axiome : nous avons tout à voir avec les noirs à papiers français qui déambulent dans nos rues, mais absolument rien avec des Tchèques ou des Polonais, d’autant plus louches à leurs yeux qu’ils sont blancs.
Un terme à l’insanité
Le bidule qu’on appelle l’UE, parasité par les bureaucraties post-nationales peuplées de femmes blanches hystériques et de boomers séniles, est exactement ce que souhaitent les homosexuels très représentés dans le souverainisme : un cartel d’états croupions impotents que personne ne calcule.
Quand la Russie démontre que l’unité de commandement sur onze fuseaux horaires suffit à tenir à distance une coalition de dizaines d’états menée par les USA, les adeptes du futur franc CFA persistent et signent : la France de Bayrou et de Delogu est une grande puissance en gestation, seulement empêchée par Bruxelles d’advenir.
Une ballade dans les transports franciliens suffit à se convaincre que cette fable du retour magique de l’état-nation comme solution miraculeuse à tous les problèmes est une illusion. Sans homogénéité raciale et culturelle, il ne peut pas y avoir de nation. Partant, ces extrapolations à propos de l’état-nation deviennent de plus en plus bizarres à mesure que le nombre de Blancs diminue. L’état-nation n’est plus que l’ombre de ce qu’il a été, réalité encore aggravée par le déclin général de l’Europe depuis 1945.
Jadis les monarchistes tenaient le même propos : un problème ? Le roi !
Ça n’a pas marché et les monarchies ont disparu dans l’indifférence.
Le sang aryen qui irrigue le continent est, lui, bien réel. Ce qui compte au 21e siècle, c’est la survie de la race blanche en Europe, pas le maintien protocolaire d’états devenus fictifs, racialement balkanisés, corrompus et criblés de dettes.
Si les Blancs du continent veulent survivre, ils vont devoir se serrer les coudes. C’est très simple, tout est toujours très simple.
Le cas de l’Amérique le prouve : 200 millions de Blancs unis en seul état peuvent dominer les affaires mondiales.
Visiblement, certains veulent aggraver notre vassalisation et nous livrer pieds et poings liés à toutes les puissances hostiles qui convergent contre l’Europe.
Ce n’est qu’une question de temps avant que les Turcs attaquent la Grèce et les Balkans, que les Chinois fassent croiser leur flotte de guerre au large du Golfe de Gascogne, sans parler des masses innombrables d’envahisseurs du tiers-monde qui rêvent de nous coloniser, de voler nos terres et nos femmes et de nous exterminer.
Nous ne vivons plus au 19e siècle, l’unité raciale blanche européenne est la seule façon de repousser ces attaques.
Évidemment, les homo-souverainistes ne disent pas que Bruxelles n’est rien d’autre que l’endroit où ces états croupions démocratiques délèguent leurs représentants nationaux pour y parler indéfiniment. La « commission européenne » est composée de 27 membres, un part état de l’UE, lesquels sont désignés par leurs gouvernements respectifs le plus souverainement du monde. C’est ça, « l’Europe des nations » de Philippot et consorts, c’est-à-dire l’Europe des états foireux qui merdent à domicile dans les grandes largeurs depuis 60 ans et dont « Bruxelles » n’est que la vitrine. S’ils merdent chez eux, on ne voit pas par quel miracle ils feraient des prouesses mis autour d’une table ailleurs.
Ces démocraties pacifistes, culturellement colonisées par l’Amérique, de gauche, féministes, ravagés par une natalité catastrophique, tenues par le bloc électoral des boomers antifascistes, ne peuvent pas être à la hauteur du 21e siècle, ensemble ou séparément.
C’est bien un empire blanc européen qu’il faut vouloir. Vouloir est un mot clef ici et c’est ce que ne comprennent pas ceux qui disent : »c’est impossible ! ». On entreprend jamais rien avec un tel mot d’ordre.
C’est possible si on le veut.
J’ai observé depuis longtemps que ceux qui s’y opposent sont très souvent les membres hétéroclites d’une force de nihilisme intégral : ils s’opposent à tout, comme les purs réactionnaires qu’ils sont, mais ne proposent fondamentalement rien de nouveau, sauf de remonter le temps. Le Frexit peut advenir demain, ce ressentiment trouverait un autre objet sur lequel se fixer obsessionnellement.
Les nostalgiques du gaullo-communisme sont très remontés.
C’est beau comme du Nathalie Loiseau qui n’a pas bu son café. https://t.co/x1TOuYy9bt
— Cercle Aristote (@Cercle_Aristote) February 18, 2025
Hélas pour Rochedy, son propos tombe à plat : il a sombré dans l’hostilité à la Russie dès 2022 plutôt que de défendre la véritable ligne pan-européenne qui recherche l’alliance entre l’Europe et la Russie depuis toujours.
À présent que Washington lâche (un peu) leur proxy ukrainien, la rhétorique antirusse paraît encore plus absurde qu’au plus fort de l’hystérisation médiatique commanditée par l’OTAN.
L’Euro-Russie
Il ne peut y avoir d’Europe sans les Russes, c’est impossible.
Par sa résistance déterminée, la Fédération de Russie incarne au contraire la forme impériale alternative à laquelle l’Europe doit aspirer. S’il faut construire l’Europe, c’est exactement sur cette base.
Tout le monde peut entrevoir ce qu’un bloc euro-russe pourrait réaliser à l’échelle planétaire. Le monde européen serait à nouveau dans l’histoire.
Seules les forces cosmopolites veulent découpler l’Europe et la Russie pour les affaiblir mutuellement et assurer que l’empire financier judéo-américain demeure la puissance globale dominante. Que par pragmatisme cet empire cherche dorénavant à rééquilibrer cette division en ménageant davantage la Russie ne change rien à son hostilité fondamentale à l’Europe ou à la Russie en tant que telles.
Je suis un partisan du souverainisme européen qui va de Brest à Vladivostok, du Pôle nord à la Mer Égée, uni en seul bloc politico-militaire, animé par l’esprit aryen et déterminé à établir sa domination globale entre le bloc nord-américain et chinois.
Pour cela, il faut se débarrasser des démocraties européennes impuissantes, adopter un volontarisme racial sans concession et tendre la main à la Russie pour former une alliance globale.
C’est la seule voie possible pour l’avenir.
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