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La Rédaction
Démocratie Participative
21 février 2025
Certains d’entre vous se demandent pourquoi Israël est l’avant-garde de l’Occident et notre allié le plus sûr. Pour répondre à cette question, cette affaire devrait aider nos lecteurs à y voir plus clair.
France 3 :
Le juge d’instruction chargé des investigations a ordonné mardi un procès pour viol et agressions sexuelles par personne ayant autorité, selon son ordonnance de mise en accusation, dont l’AFP a eu connaissance.
Pierre Aidenbaum, 82 ans, maire du 3e arrondissement de Paris pendant 25 ans, sera également jugé pour agressions sexuelles par personne abusant de son autorité entre 2014 et 2015 sur une autre femme ayant travaillé avec lui.
En septembre 2020, la ville de Paris avait signalé à la justice parisienne des possibles faits de harcèlement sexuel commis par Pierre Aidenbaum à l’égard d’une proche collaboratrice.
Celle-ci l’a accusé devant les enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de lui avoir « pris la main pour la poser sur son sexe », fin 2019, puis en février 2020. Elle a aussi affirmé avoir subi quotidiennement à l’été 2020 des baisers sur la bouche, des frottements du bas du ventre de M. Aidenbaum sur ses parties intimes. Cette ex-collaboratrice a enfin dénoncé un viol qui se serait produit fin août 2020 au domicile de l’ancien élu.
« Nous sommes soulagées pour notre cliente qu’à ce stade la justice ait fait droit à sa plainte (…), dans une affaire particulièrement douloureuse pour les victimes », a réagi son avocate, Me Elodie Tuaillon-Hibon. « Nous allons continuer à l’assister dans le respect absolu de sa parole, avec à cœur de lui éviter le plus possible toute victimisation secondaire ».
Une autre femme qui avait travaillé avec M. Aidenbaum quelques années plus tôt a assuré aux enquêteurs que l’ex-élu aurait multiplié les actes à connotation sexuelle, « a minima une douzaine d’agressions ».
À plusieurs reprises, devant le magistrat instructeur, l’ancien élu a contesté les faits. Jointe par l’AFP, son avocate n’a pas souhaité s’exprimer. Pierre Aidenbaum avait été mis en examen le 9 octobre 2020. Il avait ensuite démissionné de toutes ses fonctions.
Techniquement, le juif Pierre Aidenbaum est un survivant de l’holocauste !
Issu d’une famille juive polonaise, Pierre Aidenbaum naît le 3 mai 1942 à la clinique Bon-secours du Puy-en-Velay. Son père était chapelier et travaillait dans une usine de fabrication de casquettes, l’entreprise Chomelin.
Le 11 novembre 1942, après l’invasion de la zone libre par les Allemands, la famille se cache dans le hameau de Rognac, à Saint-Arcons-d’Allier, puis s’installe à Paris après la fin de la guerre.
Hélas, les Allemands n’ont pas pu procéder à la remigration de ce juif vers la Pologne. Le résultat en a été l’effroyable série de viols et d’agressions sexuelles commis sur des shiksas innocentes.
Il faut avouer que la Pologne ashkénaze regorge de ce genre de profils criminels.
Comme Polanski par exemple.
Plus récemment, la presse anglo-saxonne revenait sur l’identité enfin confirmée de Jack l’Éventreur, Aaron Kosminski.
Il y a donc une constante.
Pour ne rien gâcher, le juif Aidenbaum est aussi l’ancien président de la LICRA, une organisation juive dirigée depuis Tel Aviv qui persécute les Français qui refusent de se laisser submerger par l’immigration non-blanche !
Nous voyons ici l’épouvantable visage du juif éternel : perfide, lubrique, déambulant dans les arcanes du pouvoir où il s’emploie à perdre la nation qui l’accueille.
Nosferatu.
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