L’insignifiant Retailleau va « assimiler » l’Afrique qui nous submerge

La Rédaction
Démocratie Participative
05 mai 2025

 

Une nouvelle circulaire pour poser trois questions supplémentaires à Mamadou sur De Gaulle, le Vel d’Hiv’ et la prise de la Bastille.

La France est sauvée.

Cette insigne nullité de Retailleau fait concurrence à Mariama, impératrice de Mayotte.

Plus d’un demi siècle après le début de la balkanisation raciale du pays, ces gens se disputent pour savoir qui d’entre eux va « assimiler » des masses plus nombreuses que les Français de souche.

Ce n’est plus une discussion de truqueurs ou de faibles d’esprit, mais d’aliénés.

Dans les circonstances présentes, si quelqu’un finira par être assimilé, ce seront les Blancs.

C’est drôle, ils parlent tous de la même façon, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite démocratiques : la France est un pays de métèques et plus il y en a, mieux c’est.

Il est impossible de faire la moindre différence entre « l’assimilation » de Retailleau, la « créolisation » de Mélenchon et le patriotisme mahorais de Marine Le Pen. Même impérieuse exigence à l’abâtardissement complet sous les flots immondes de l’Afrique débordante.

Leur jactance ne produit rien, le résultat est le même : toujours plus de bistres et de crépus au son de la Marseillaise.

Les juifs sont sur la même ligne, parasitisme oblige.

De son côté, Macron a innové aujourd’hui en renversant le cours de l’histoire : la France a été créée par la République des loges et la France des loges, eh bien elle est faite de bric et de broc.

Et justement, la « nation civique » demande des comptes aux autochtones – qui n’ont pour seul droit, « république » oblige, que de faire de la place aux nouveaux venus.

Cette démocratie négrifie en rond.

Jusqu’à la mort.

En l’aidant à éplucher ses pommes de terre, au sous-sol, j’entends encore sa voix et l’entendrai tant que je vivrai : « La révolution… mais nous y assistons tous les jours… la seule, la vraie révolution, c’est le facteur nègre qui saute la bonne… dans quelques générations, la France sera métissée complètement, et nos mots ne voudront plus rien dire… que ça plaise ou pas, l’homme blanc est mort à Stalingrad. » […] L’on a souvent dit de Céline qu’il était un visionnaire : c’est le plus mauvais adjectif que l’on puisse accoler à son nom… le visionnaire a des communications surnaturelles, c’est la bergère d’esprit, ou un pape avant son trépas. Lui, avec sa tête qui dépassait, il était épouvantablement lucide, il avait diagnostiqué son époque malade et pour guérison, avait conseillé des remèdes à des sourds volontaires. […] La guerre de 1914, ce massacre forcené et imbécile entre gens de qualité, l’avait marqué à jamais. Avec un égoïsme normal et standard, il aurait vécu heureux dans l’opulence et la réussite respectée.

« Mon ami Céline par Pierre Duberger », Pierre Duberger, Magazine littéraire, nº hors-série n°4, 4e trimestre 2002