L’interdiction de l’antisionisme à l’ordre du jour de l’Assemblée post-nationale

La Rédaction
Démocratie Participative
13 mai 2025

 

La démocratie de marché fonctionne selon la loi de l’offre et de la demande.

Dans une démocratie « représentative », les politiciens se battent pour devenir les « représentants » de tel ou tel groupe d’intérêts.

Aurore s’est spécialisée dans la niche juive. À ce titre, elle va au devant des demandes les plus outrancières du lobby juif, tout cela, bien entendu, au nom des droits de l’homme, de la laïcité, etc..

Cette fois-ci, interdire « l’antisionisme » est au menu, mais pas exclusivement.

De quoi s’agit-il ? De persécuter les gens qui refusent de ramper aux pieds de Tel Aviv.

Tout cela présenté sur Radio Shalom, refus du communautarisme et défense de la laïcité obligent.

Plus les juifs commettent des crimes de masse et se rendent infâmes aux yeux du monde, plus ils exigent l’instauration d’une tyrannie complète pour faire taire les opposants.

Un enfant court après un camion-citerne à Gaza, mais celui-ci le laisse derrière lui.

Des milliers d’enfants comme lui meurent parce qu’Israël a coupé l’eau à Gaza.

Dans le même ordre d’idées, Aurore, sur exigence des juifs, veut que les délits d’opinion soient intégrés dans le code pénal. Aujourd’hui, ils sont encore régis par la « loi sur la presse » de 1881 qui, à l’origine, était pensée pour protéger la liberté d’expression des Français – une époque révolue depuis longtemps.

Mais ce n’est pas encore assez pour le Kahal.

Une fois dans le code pénal, les juifs escomptent pouvoir emprisonner immédiatement leurs victimes, contrairement à ce qui est possible aujourd’hui, mais aussi durcir exponentiellement les peines prévues contre les non-juifs qui font preuve d’insubordination.

Dans le journal juif Marianne, désormais tenu par la juive Eve Szeftel, une tribune a été publiée en ce sens.

Tout un programme.

Marianne :

« Un journaliste qui aurait dérapé dans un article et un apologiste du nazisme et des crimes contre l’humanité doivent-ils être jugés sous un même régime procédural ? » Non, répondent Alain Terrenoire, l’auteur de la loi du 1er juillet 1972 contre le racisme ainsi que les avocats Rodolphe Cahn, Galina Elbaz et Mario Stasi, le président de la Licra, qui appellent à sortir de la loi sur la presse les infractions à caractère raciste et antisémite.

Face à l’explosion des actes antisémites, notamment depuis le 7-Octobre, la ministre de la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a relancé les Assises de lutte contre l’antisémitisme. À l’issue de ces travaux, elle a retenu une mesure portée de longue date par la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme : la sortie des délits racistes et antisémites de la loi sur la presse du 29 juillet 1881 où ils sont inscrits.

Des acteurs du combat antiraciste plaident depuis des années pour la séparation d’un régime procédural qui s’impose aujourd’hui à la fois aux propos de journalistes et d’auteurs et à ceux de délinquants racistes ou antisémites. Cette simplification de la procédure serait la meilleure manière d’envoyer un message fort à la société et d’en finir avec l’idée que juger les « discours de haine » est un exercice difficile. En l’occurrence, refuser de se laisser déborder par des procédures compliquées, c’est refuser de laisser la haine l’emporter.

Ces juifs veulent deux régimes légaux : un pour les goyim et un pour les plumitifs de la presse juive qui leur accorderait une large impunité.

« Des Maghrébins sont arrivés au pouvoir en 2016, ces gens-là n’ont pas leur place dans les hauts lieux », « [Macron] serviteur des juifs », « la Shoah [est une] histoire mensongère » : ce sont-là des exemples récents d’une haine verbale qu’ont eus à juger des tribunaux. À l’évidence, ces mots ne relèvent pas du débat d’idées et devraient pouvoir être jugés par l’ensemble des magistrats correctionnels. Leur analyse n’a rien de complexe mais les règles de procédure de la loi sur la presse peuvent rendre leur jugement compliqué !

Dans les grandes juridictions que sont Paris, Lyon et Marseille, et qui concentrent la majeure partie des affaires de racisme, ce contentieux est en effet réservé en exclusivité à une « chambre de la presse », confrontée à deux difficultés majeures.

La première est l’incapacité matérielle à traiter la masse des affaires de racisme au moyen d’une seule chambre spécialisée, dédiée à l’origine au contentieux des auteurs et des journalistes. En 2024, le ministère de l’intérieur a recensé 5 466 affaires relevant des discours publics de racisme, principalement dans le ressort des grandes juridictions. À Paris, trop d’affaires mobilisent la célèbre 17e chambre de la presse, avec des audiences peuvent s’éterniser et se transformer en tribunes médiatiques, pour des délinquants racistes qui pérorent devant leurs fans.

Il s’agit ici de Vincent Reynouard.

La seconde est l’inadéquation des règles procédurales de la loi sur la presse à la poursuite et à la répression des discours de haine, contrairement aux règles de procédure pénale classiques. Il n’y a pas de mandat de dépôt ni mandat d’arrêt prévu pour garantir l’exécution des peines (ce qui permet à certains condamnés de fuir à l’étranger et d’échapper à la sanction) ; pas de réquisitions possibles par les parquets sur les données de connexion permettant d’identifier les délinquants cachés derrière leur écran ; pas de peines réellement dissuasives pour les multirécidivistes qui arborent leurs condamnations comme des décorations.

Un journaliste qui aurait dérapé dans un article et un apologiste du nazisme et des crimes contre l’humanité comme le négationniste Vincent Reynouard doivent-ils être jugés sous un même régime procédural ? Nous ne le pensons pas.

Depuis 2017, l’article 132-76 du Code pénal a étendu la circonstance aggravante discriminatoire à l’ensemble des délits. Cela fait de chaque magistrat correctionnel de France un juge des propos de haine raciale lorsque ces derniers accompagnent une infraction. Un individu qui s’écrierait à l’endroit de sa victime « les sionistes volent les richesses des Français, je te pique ton vélo, sale juif ! » peut ainsi être jugé en comparution immédiate dans des délais très courts. Sans le vol, pour ces mêmes propos, l’auteur sera jugé à Paris par une chambre spécialisée, après des mois d’attente, ce qui constitue une incohérence procédurale. Ceux qui s’opposent à la sortie des délits racistes et antisémites de la loi sur la presse considèrent-ils sérieusement que les juges de droit commun seraient moins compétents pour évaluer la teneur antisémite de tels propos en l’absence du vol ?

Nos concitoyens victimes du racisme et de l’antisémitisme sont désabusés. Ils ne croient plus à l’efficacité de la justice dans ce domaine. L’impunité guette. Refusant de céder à ce fatalisme, nous affirmons que la protection de la liberté d’expression réside dans le divorce du régime juridique commun des écrits journalistiques et des discours de haine maintenus artificiellement dans la loi de 1881.

L’audace de ces youtres.

Aux voltairiens qui se battent pour que le droit à l’insolence et à la caricature ne soit jamais confondu avec le racisme, à ceux qui craignent que tous les magistrats ne soient pas à même de distinguer le débat d’idées et les discours de haine, et qu’il s’ensuive des procédures abusives, nous répondons avec sérénité : l’article 66 de notre Constitution fait de chaque membre du corps judiciaire un gardien de nos libertés individuelles, celles de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, celles dégagées par les jurisprudences françaises et européennes.

La réforme qu’envisage Aurore Bergé permettra d’ouvrir l’audience à des publics plus larges. La haine raciste « ordinaire » y sera jugée en audiences pénales classiques ou en comparutions immédiates. La portée civique de la pédagogie antiraciste en sera améliorée. C’est ainsi que nous pourrons convertir le cercle vicieux de l’accélération sans fin des discours de haine en un cercle vertueux de la responsabilité collective.

Les discussions entre techniciens du droit ne sauraient faire oublier que la loi doit en premier lieu garantir l’égalité en droits et en dignité des citoyens, et qu’elle est au service d’un projet de société où le racisme et l’antisémitisme apparaissent clairement pour ce qu’ils sont : des délits et non des opinions.

Signataires :

Mario Stasi, avocat, Président de la Licra

Alain Terrenoire, ancien député, auteur de la loi du 1er juillet 1972 contre le racisme

Rodolphe Cahn, avocat, Président de la Commission juridique de la Licra

Galina Elbaz, avocate, première vice-Présidente de la Licra

Ces juifs ne savent jamais s’arrêter.

Après 53 ans de législation répressive pour empêcher les Blancs de s’exprimer, jamais les discours racistes n’ont été aussi désinhibés qu’aujourd’hui et jamais la prise de conscience du péril juif n’a été aussi forte.

Que font ces juifs, la race la plus stupide qui existe ? Ils décident de poursuivre dans la même voie désastreuse, mais en la durcissant encore plus.

Il faut s’en féliciter.

C’est le recette pour une révolution antisémite.

Le seul effet à terme sera une confrontration entre les masses et l’État, désormais de plus en plus isolé dans sa défense fanatique de la juiverie organisée qui le contrôle.