La Rédaction
Démocratie Participative
12 mars 2025
Le patriote américain Thomas Massie et son M60 empêchent les juifs de trouver le sommeil
Trump — et Jared Kushner — veut purger Thomas Massie, un membre de la chambre des représentants, républicain, qui s’oppose au désastreux endettement que Trump exige pour continuer d’engraisser la finance juive.
Mais il y a plus en coulisse.
Le représentant Thomas Massie, R-Ky, a dit non trop souvent au goût du président Donald Trump.
Le républicain du Kentucky n’hésite pas à rompre avec son parti ou son chef, ayant été le seul républicain à dire « non » lors de plusieurs votes, y compris lors de la réélection du président Mike Johnson en janvier.
Fidèle à sa propre tradition, M. Massie affirme qu’il opposera un « non » catégorique à ce dernier projet de loi de finances, présenté par la direction républicaine de la Chambre des représentants au cours du week-end, et qui sera soumis au vote de la Chambre mardi après-midi. Le Congrès devra adopter cette loi ou une loi similaire pour que le gouvernement continue à être financé et à fonctionner après vendredi.
« A moins que je ne subisse une lobotomie lundi qui me fasse oublier ce dont j’ai été témoin ces 12 dernières années », a déclaré M. Massie dans un post sur X dimanche, “je serai un NON sur le CR cette semaine”.
Trump a fulminé dans un message sur les médias sociaux, blâmant Massie pour son défi.
Le président a écrit sur Truth Social lundi soir : « IL DEVRAIT ÊTRE PRIMARIÉ ». « Je mènerai la charge contre lui. Ce n’est qu’un autre POSEUR, qui pose trop de problèmes et qui ne vaut pas la peine d’être défendu. »
Le nègre orange fait le nègre.
POURQUOI MASSIE REFUSE DE SERVIR LE MAGNIFIQUE PEUPLE JUIF ? POURQUOI ?
Il faut vraiment interdire aux boomers de toucher aux smartphones.
M. Massie, 54 ans, représente depuis 2012 la 4e circonscription du Kentucky, qui englobe le nord de l’État, juste en dessous de Cincinnati.
Fervent conservateur fiscal, M. Massie s’est opposé par le passé à des projets de loi budgétaire, estimant qu’ils ne permettraient pas de remédier suffisamment au déficit croissant de l’État.
Il est connu pour porter à la boutonnière un pin’s montrant le chiffre de la dette fédérale en constante augmentation.
M. Trump a déjà accusé M. Massie de faire de la démagogie.
Trump, démogagie.
Pfouh
En 2020, lorsque le républicain du Kentucky a forcé les membres du Congrès à revenir à Washington pour voter en personne sur un programme d’aide à la lutte contre le COVID, M. Trump a qualifié M. Massie de « Poseur de troisième ordre » et de « désastre pour l’Amérique ».
Tout le monde oublie le désastre que Trump a été durant le COVID, soutenant à fond le mythe de la grippe tueuse et soutenant un pillage à grande échelle du pays au profit de la finance juive.
Les milliardaires ont pillé le pays comme jamais encore grâce à lui.
Massie est le seul qui refuse de laisser Trump et ses juifs poursuivre cette entreprise.
M. Trump a également demandé à ce moment-là que M. Massie soit évincé.
Pourtant, bien qu’il soit une épine récurrente dans le pied du président, les républicains du Kentucky n’ont pas montré d’appétit pour un remplaçant, et Massie a remporté une victoire facile lors de sa primaire GOP de 2020.
M. Massie ne semble pas plus inquiet cette fois-ci, répondant à M. Trump sur les médias sociaux mardi après-midi.
« Le POTUS passe sa journée à s’en prendre à moi et au Canada », a écrit M. Massie. « La différence, c’est que le Canada finira par céder ».
Malgré le fait que Massie continue de dire « non », Johnson ne peut pas se permettre de perdre un autre membre de son groupe parlementaire.
Si le député du Kentucky semble être le plus déterminé dans son opposition, d’autres républicains de la Chambre ont fait part de leurs propres préoccupations concernant le projet de loi de dépenses du président.
« J’aime le fait que nous économisions de l’argent », a déclaré Tim Burchett (R-Tenn) à USA TODAY lundi. « J’aime cela. Mais je n’aime pas le fait que nous le donnions au Pentagone, les maquereaux de guerre obtiennent toujours de l’argent ».
Les juifs sont à l’affût.
Massie est considéré comme une cible prioritaire par la grande juiverie.
Le lobby israélien lance une guerre préventive contre Thomas Massie par James Rushmore
Le PDG de la Coalition juive républicaine, Matt Brooks, a déclaré à Jewish Insider : « Si Tom Massie choisit de se lancer dans la course au Sénat américain dans le Kentucky, le budget de campagne de la RJC pour s’assurer de sa défaite sera illimité ».
Israel’s Lobby Launches Preemptive War on Thomas Massie by James Rushmore
Republican Jewish Coalition CEO Matt Brooks told Jewish Insider, “If Tom Massie chooses to enter the race for US Senate in Kentucky, the RJC campaign budget to ensure he is defeated will be unlimited.” pic.twitter.com/p1HTAz5Y2V
— Scott Horton (@scotthortonshow) March 4, 2025
Contrairement à tous les autres membres du congrès américain, Massie sert les Américains, pas les juifs, et refusent de financer l’organisation terroriste appelée « Israël ».
Un crime selon la Torah.
Le Temps :
Thomas Massie se définit comme un «vrai conservateur». Cet élu à la Chambre des représentants pour le Kentucky est devenu célèbre à Noël, lorsqu’il a fait poser toute sa famille devant le sapin, armes automatiques à la main, réclamant «plus de munitions». Il est à nouveau sous les projecteurs: disputant les primaires républicaines de son parti, le mois dernier, il a été la cible d’une campagne publicitaire sans précédent, menée contre lui par l’Aipac (American Israel Public Affairs Committee), le plus grand lobby pro-Israël aux Etats-Unis. «Israël et la Terre sainte sont attaqués: par l’Iran, par le Hamas, par le Hezbollah et par le congressman Tom Massie», disaient les publicités qui cherchaient sa chute politique.
De son propre aveu, l’Aipac a ainsi dépensé plus de 300 000 dollars dans cette campagne, ce qui n’a pas empêché Thomas Massie de remporter la primaire haut la main (plus de 76% des voix) dans ce district du Kentucky qu’il représente à Washington depuis douze ans. Il est devenu, notamment pour la gauche américaine, «l’homme qui a battu l’Aipac».
Massie est le seul qui défie la pieuvre juive au congrès.
Le député Thomas Massie révèle à Tucker Carlson que ses collègues républicains ont une « baby-sitter de l’AIPAC » pour s’assurer qu’ils votent toujours dans l’intérêt d’Israël.
« C’est le seul pays qui fait cela », ajoute M. Massie.
Congressman Thomas Massie reveals to Tucker Carlson that his Republican colleagues have an “AIPAC babysitter” to ensure they vote in the interests of Israel at all times.
“It’s the only country that does this,” Massie adds.
Follow: @AFpost pic.twitter.com/zNOA35t32u
— AF Post (@AFpost) June 7, 2024
Surtout, revenant sur cet épisode devant l’animateur de télévision Tucker Carlson, l’élu vient de détailler, sans doute pour la première fois de manière aussi précise, le rôle central joué par l’Aipac au Congrès. «Chacun de mes collègues républicains a son représentant de l’Aipac qui lui est assigné, affirme-t-il. C’est comme un baby-sitter. Je ne sais pas comment ça marche du côté démocrate, mais c’est comme cela chez les républicains.»
A l’en croire, le républicain aurait été invité à rédiger des prises de position en faveur d’Israël dès son entrée en fonction. Une manière de le «tester» que le représentant a refusée. Même s’il se dit favorable à Israël, il a aussi décliné les invitations à visiter le pays avec sa femme, à l’inverse dit-il de l’écrasante majorité de ses collègues. La guerre avec l’Aipac était déclarée.
Quelqu’un qui refuse catégoriquement de visiter « Israël » est forcément un quelqu’un qui sait que les juifs sont des ennemis.
Cela fait de Massie le seul homme politique américain valable en 2025.
C’est aussi ce qui en fait une cible prioritaire pour l’octogénaire orange, servile exécutant des volontés du peuple élu.
La presse a surnommé Thomas Massie le «Monsieur non» du Congrès américain. Et pour cause: ce libertarien républicain défend une conception extrême de la place des Etats-Unis dans le monde. A Washington, il s’est opposé tout aussi bien aux sanctions économiques contre la Russie, l’Iran et la Corée du Nord qu’à un soutien aux opposants des talibans afghans ou aux manifestants pro-démocratie de Hongkong. Il veut tenir les Etats-Unis à l’écart de tout ce qui est guerres étrangères ou sanctions. A ses côtés, même un Donald Trump (qui soutient Massie, même si l’inverse n’est pas vrai) passerait pour un défenseur acharné du multilatéralisme.
Massie est probablement le seul type du parlement qui croit au slogan « L’Amérique d’abord ».
En ce qui concerne Israël, Thomas Massie s’était aussi opposé à rendre illégaux les mouvements qui prônent son boycott; il n’a pas voté pour la proclamation d’une alliance stratégique entre les Etats-Unis et Israël et il s’est opposé à l’envoi de 14 milliards de dollars d’aide militaire à l’Etat hébreu. Il s’en amuse: ces prises de position amènent ses détracteurs à le placer dans le même sac que le célèbre «Squad» formé au Congrès par la frange la plus progressiste du Parti démocrate, constitué autour des représentantes Alexandria Ocasio-Cortez ou la Palestinienne d’origine Rashida Tlaib.
«L’Aipac veut me faire tomber pour l’exemple», note-t-il encore. Même aujourd’hui, le lobby pro-israélien poursuivrait sa campagne contre lui, par le biais d’annonces ou, affirme-t-il, à travers les Eglises évangéliques et via l’association Christians United for Israel, qui se prévaut de ses 10 millions de membres à travers les Etats-Unis pour défendre ardemment la politique israélienne.
Quel fléau que le judéo-christianisme.
Il est désormais clair que l’Amérique est occupée et qu’elle doit être libérée.
On peut imaginer une coalition internationale composée de l’Iran, de la Chine, de la Russie, de la Corée du Nord et de l’Europe pour mener à bien cette tâche vitale pour la paix.
Les Américains souffrent, il faut les aider.
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