L’ogre ressurgit pour justifier sa cataclysmique fuite en avant

La Rédaction
Démocratie Participative
11 avril 2025

 

La catastrophique Marine Le Pen s’accroche désespérément, bien décidée à hanter nos vies pour l’éternité. C’est le message qu’elle a voulu faire passer dans une interview, hier, assez peu remarquée d’ailleurs.

Ce n’est plus une fuite en avant, mais un suicide collectif imposé par le gourou d’une secte.

Cette femme est folle, j’insiste sur ce point.

Aucun leader sain d’esprit n’hypothèquerait la participation de son mouvement à l’élection présidentielle en l’obligeant à attendre l’hiver 2026, date du verdict en appel de Marine Le Pen, pour désigner son candidat.

C’est d’autant plus délirant qu’elle est coupable.

Mariama reprend la désastreuse stratégie qu’elle avait adoptée en première instance en se bornant à se dire innocente et en contestant l’autorité de la justice française dans son dossier.

Ce que cette femme essaie de faire, c’est de mobiliser à nouveau l’opinion publique non seulement contre le futur tribunal qui la jugera, et dont on ignore la composition, mais aussi contre l’institution judiciaire en son entier, pensant pouvoir intimider la justice française au point de lui accorder le privilège de l’immunité.

Les sondages indiquent que cette approche a échoué. Les deux tiers des Français estiment sa condamnation justifiée et son pitoyable rassemblement de dimanche dernier a encore prouvé par l’absurde que tout le monde se fout de son sort personnel.

Apparemment, elle escompte pourtant faire capituler les juges en procédant de la sorte.

Je rappelle ici que la peine d’inéligibilité est automatique en cas de culpabilité, les juges ne pouvant que déterminer la durée de cette peine. Elle est donc vouée à être inéligible, quoi qu’il arrive.

Une telle volonté de persister trahit l’orgueil sans limite de cette femme. Elle sera châtiée pour cela par des magistrats qui ont horreur d’être pris de haut.

Si j’insiste constamment sur ce sujet, c’est parce que trop de gens sous-estiment la nuisance destructrice de cette femme.

Elle est sans discussion possible le plus formidable obstacle à l’émergence d’un large mouvement de survie raciste en France. Son patriotisme au boudin créole empêche des millions de gens de prendre conscience de la dimension raciale de ce que nous vivons.

À la place, ils se font dicter l’impératif mahorais par une sexagénaire de mauvaise vie.

Cette opposition à Wauquiez est purement politicarde, comme tout ce que fait celle qui a tout trahi. Elle s’oppose pour s’opposer, débordée par le premier type de droite un tant soit peu entreprenant sur la question de la submersion migratoire.

C’est ça, sa nuisance et son utilité : une capacité illimitée à dévitaliser la droite, à neutraliser ses instincts, pour lui permettre de canaliser la colère populaire et mieux négocier avec le système, en tant que gardienne de prison, la pacification des masses.

Qui peut croire que Dalida renverrait un seul Algérien en Algérie ?

C’est une vue de l’esprit.

J’irais plus loin : si jamais cette femme devenait présidente — que les dieux nous en gardent –, elle liquiderait définitivement l’opposition à l’immigration en France comme elle a liquidé le Front National pour le remplacer par un fan club d’homosexuels.

Nous ne pourrions probablement pas remonter une telle pente tant le dégoût serait général.

La profonde médiocrité de cette femme est dangereuse, mortelle, et se taire face à une telle menace serait se rendre complice de la trahison. Ce verdict, contrairement à tout ce qu’on a pu entendre dans la presse de droite accrochée aux jambes de Mariama, est une véritable bénédiction qui scelle la fin de l’interminable dérive à gauche qu’elle a imposée avec hystérie à un pays entier.

Une fois dégagée, les masses réaliseront que nos idées ont progressé non pas grâce à elle, mais malgré elle.

Je vous accorde qu’il faut une alternative, ne serait-ce que pour occuper le terrain. Aussi pâle et opportuniste que soit Bardella, il sera toujours moins nocif que cette femme, car moins frénétique dans la soif de démolition de nos idées qu’elle. Ce n’est pas la panacée, loin s’en faut, mais les options sont très réduites pour dégager le pachyderme honni. Il a la popularité nécessaire pour que les gens plébiscitent un putsch interne à son avantage.

D’ailleurs il est grand temps d’appeler à un tel putsch, ne serait-ce que pour rendre Le Pen et sa cour de sodomites encore plus nerveuses.

Un Brutus doit sortir des rangs et porter le dernier coup.

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