L’OQTF du jour : le gigolo algérien Lakhdar B. assassine un boomer affamé de pénis maghrébin

Leutnant
Démocratie Participative
31 mars 2025

Bobigny (Seine-Saint-Denis), le 21 mars 2025. Lakhdar B. est soupçonné d’avoir tué un homme de 66 ans rue des Muguets, lardé de coups de couteaux, à la suite d’un cambriolage. 

C’est la belle histoire du jour.

Le Parisien :

Son évaluation psychiatrique n’avait révélé « aucun problème ». Cette précision, faite par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) alors que venait de s’achever la garde à vue de Lakhdar B. pour avoir lardé de 29 coups de couteau un sexagénaire de Bobigny le 19 mars, laisse forcément un peu songeur aujourd’hui.

Car selon nos informations, cet Algérien de 28 ans est maintenant soupçonné d’avoir tué un autre homme. Un homicide survenu seulement deux jours plus tôt, le 17 mars, à l’autre bout du pays dans un hôtel de Martigues (Bouches-du-Rhône). Où un chef d’entreprise de 64 ans avait été retrouvé mort dans des circonstances mystérieuses.

La semaine dernière, les enquêteurs de la brigade criminelle de Paris ont découvert un lien entre les deux affaires. Le système de reconnaissance faciale a établi une correspondance entre la photo de Lakhdar B., du moins celle qui apparaît sur son dossier de traitement des antécédents judiciaires, et les images du suspect principal de l’hôtel de Martigues. L’analyse ADN a permis, sans surprise, de confirmer vendredi 28 mars qu’il s’agissait bien du même homme.

Mis en examen pour « vol avec violence ayant entraîné la mort » dans l’affaire de Bobigny, Lakhdar B., connu sous différentes identités, avait été placé en détention provisoire après être passé aux aveux face aux policiers de la brigade criminelle. Il devrait être entendu prochainement sur l’affaire de Martigues.

Le lundi 17 mars, vers 13 heures, un employé d’un hôtel du centre-ville de Martigues avait découvert le cadavre d’un homme dans une chambre. Selon la Dépêche du Midi, les premières investigations, notamment l’exploitation des images de vidéosurveillance, avaient permis de reconstituer les derniers instants de la victime.

D’après nos confrères, ce chef d’entreprise de 63 ans s’était enregistré dans l’établissement « en compagnie de son compagnon ». Ce dernier avait ensuite été aperçu quittant l’établissement seul, transportant des effets personnels appartenant au sexagénaire.

Pourquoi les boomers et les gigolos algériens se méritent-ils autant ?

Peu de temps après, il aurait été filmé en train de fouiller un véhicule à proximité avant de revenir brièvement dans la chambre. Il avait enfin pris une mallette avant de quitter définitivement les lieux. A-t-il ensuite directement pris le train jusqu’en région parisienne ? L’instruction permettra sans doute de le déterminer.

Toujours est-il que deux jours plus tard, le soir venu, le voici qu’il se lance dans une série de cambriolages en Seine-Saint-Denis. Il tente, en vain, de pénétrer dans des habitations. Rue des Muguets, il y parvient enfin mais il tombe nez à nez avec un pauvre homme. Un sexagénaire en difficulté hébergé par des proches depuis le mois de décembre. Que se passe-t-il après ? On ne le saura peut-être jamais. Une chose est sûre : la victime essuie 29 coups de couteau dans un déchaînement de violence. Pas de quoi perturber le meurtrier qui, par la suite, essaie de cambrioler d’autres maisons, une vingtaine au total.

Là encore, il quitte la région. Gare de l’Est, il monte dans un train direction Nancy (Meurthe-et-Moselle), avec la ferme intention de rejoindre l’Allemagne. Mais il ne franchira jamais la frontière, il est arrêté à Nancy et placé en garde à vue pour recel de vol. Pour avoir dérobé le portable de sa victime ? C’est une possibilité, car la brigade criminelle l’aurait localisé grâce à son téléphone.

Quel est le profil de cet homme de 28 ans, visé par une obligation de quitter le territoire français ? Où était-il avant son arrivée dans les Bouches-du-Rhône ? Est-il soupçonné d’autres faits ? Autant de questions qui demeurent pour l’heure sans réponse. Contacté à plusieurs reprises, le procureur d’Aix-en-Provence n’a, pour l’heure, pas répondu à nos sollicitations.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.