Macron annonce un rituel d’humiliation officiel en l’honneur des nègres haïtiens qui ont génocidé les Français

La Rédaction
Démocratie Participative
11 avril 2025

 

En préambule, rappelons de quoi nous parlons lorsqu’il est question de Haïti.

Le chef du Conseil présidentiel transitoire d’Haïti avait carrément soif lors de son discours à l’Assemblée générale des Nations unies. Imaginez maintenant ce que ferait le président d’Haïti s’il avait faim !

J’insiste.

Nous devons rappeler de quoi il s’agit lorsqu’il est question de Haïti.

Enfin, et une dernière fois, nous devons rappeler de quoi il est question lorsque nous évoquons Haïti.

Ces rappels faits, nous pouvons donner la parole à Emmanuel Macron.

Quoique non.

Il faut faire un autre rappel.

Je vous incite très fortement à lire notre article relatif à l’hommage qu’avait déjà rendu Macron au génocidaire noir Toussaint-Louverture, responsable de l’extermination des Blancs à Haïti, que l’on appelait à l’époque Saint-Domingue.

Accrochez-vous si vous ne l’avez pas encore lu, aussi raciste que vous pensez être, vous êtes encore très en deçà de votre potentiel :

J’y vois un goût prononcé de Macron pour le BDSM.

Son discours était une véritable apologie du carnage racial, une fascination pour tout ce qui peut souhaiter la destruction totale des Français.

C’est remarquable.

Cette fois, je peux enfin en venir aux plus récents développements de l’affaire.

Macron est encore plus déchaîné que précédemment. Il veut entraîner tous les Blancs de France dans une sorte de culte sectaire dont la finalité est leur éradication par les peaux sombres.

Le Figaro :

«Le Président de la République a indiqué qu’il était de la responsabilité de la France de faire vivre la mémoire de l’esclavage sur l’ensemble du territoire national comme en Haïti», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.

Emmanuel Macron annoncera «des initiatives» le 17 avril pour marquer le bicentenaire de l’octroi de l’indépendance à Haïti vis-à-vis de la France, alors conditionnée au paiement d’une lourde indemnité qui avait entravé le développement de la première république noire libre du monde, a déclaré jeudi le gouvernement français.

C’est la reprise littérale des thèses les plus délirantes concoctées par les adeptes du vaudou : si Haïti est une ruine, c’est parce que les Français ont « volé » ces nègres.

Comme si ces nègres avaient quelque chose que nous pourrions convoiter en premier lieu.

C’est désormais le point de vue officiel de la république française.

«Le Président de la République a indiqué que notre passé commun ne devait pas être oublié et qu’il était de la responsabilité de la France de faire vivre la mémoire de l’esclavage sur l’ensemble du territoire national comme en Haïti», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot devant le Sénat. «Des initiatives seront annoncées le 17 avril» par le président français, a-t-il ajouté sans plus de précision.

Faire haïr les Blancs et les accuser d’être coupables de ce qu’est devenu cette île est donc de « notre responsabilité ».

C’est-à-dire que Macron va payer des nègres avec les impôts des Français pour les insulter, moyennant des photos pour se faire mousser auprès de la négraille antiblanche.

Reçu fin janvier par Emmanuel Macron, le président haïtien par intérim Leslie Voltaire avait assuré que son homologue avait «parlé de la restitution et de la réparation» de cette dette, une mention toutefois absente du compte rendu de la rencontre par la présidence française. Jean-Noël Barrot a assuré Haïti du soutien de la France, relevant a contrario «la décision de l’administration américaine de geler son aide internationale (qui) représentait 60% de l’aide humanitaire à Haïti».

Le ministre français a plaidé pour «une plus grande implication des Nations Unies» en vue d’un rétablissement de l’ordre à Haïti. Mais «cet appui devra s’accompagner d’une montée en puissance des forces de sécurité et d’une lutte plus ferme contre les trafics et la corruption», a-t-il prévenu. Le Sénat français a voté, à l’unanimité de tous ses groupes politiques, une résolution favorable à un soutien accru de la France à Haïti.

Nous sommes chez les fous.

Un gouvernement français rationnel aurait déjà déclaré la guerre à Haïti depuis longtemps et mener une impitoyable guerre d’extermination contre ces nègres qui ont transformé une île paradisiaque en enfer sur terre.

Ça, ce serait du souverainisme français conséquent.

Si nous avons une responsabilité, et elle est grave, c’est d’avoir implanter des nègres là-bas.

Quelle honte.

Je veux bien que l’on érige un monument dans chaque commune de France avec cette proclamation gravée : « Souiller le monde de nègres, plus jamais ça ! »

Macron excite la haine des noirs contre nous.

C’est son intention profonde, lancinante.

Et vous connaissez ces cafres : comme des enfants, ils croient tout ce qu’on leur dit pour peu que cela échauffe leurs instincts premiers.

L’instinct premier des nègres est de tuer les Blancs.

Macron veut qu’ils nous tuent au coin des rues.

Le pire dans tout cela, c’est que que Marine Le Pen veut mener la même politique, obsédée qu’elle est par les îles à nègres où l’on vend du rhum.

Je le sais.

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