Marine Le Pen, reine des nègres du Tchad

La Rédaction
Démocratie Participative
15 mars 2025

 

Je l’ai dit cent fois : vous aurez les plus grandes difficultés à voir la quinquagénaire à chats se rendre d’elle-même en Auvergne ou en Aquitaine pour y rencontrer les foules indigènes. Ça ne l’intéresse pas, pas plus que ce qui peut bien se passer en Savoie ou en Anjou.

Non, sa passion réelle, dévorante, est différente.

Vous le savez : les nègres.

Nègres de l’Océan indien, nègres des Caraïbes, nègres d’IDF, nègres de la bande sahélienne, nègres du Congo, nègres de toutes les nuances de marron et éructant toute la palette des sabirs.

Chirac était atteint du même mal, lancinant, et si l’on devait comparer cette formidable vache à quelqu’un, c’est bien à ce grand ahuri aimanté par les nègres d’Afrique.

Patience.

Marine Le Pen s’assume.

« La France hait d’instinct tout ce qui l’empêche de se livrer aux nègres »

Louis-Ferdinand Céline

Le RN est un parti calamiteux, peuplé d’autistes souverainistes obsédés par la haine fantasmatique de l’Allemagne, c’est-à-dire — non-dit de l’affaire — de l’Europe blanche.

Tout est là, sous nos yeux, si quelqu’un veut bien se donner la peine de voir.

C’est là qu’il faut chercher cette bouffonne et obsessionnelle tentative de restaurer l’empire colonial sous quarante formes, par mille prétextes et excuses.

Je n’aime pas Macron, et lui aussi s’est agité avec ces nègres d’Afrique pendant de longues années avant d’être évincé sous la pression des Russes. Mais au moins a-t-il acté cette éviction pour tenter une réorientation continentale durable de la politique extérieure française dont l’Ukraine est le prétexte de circonstance. Bon an, mal an, il tente de parler aux Blancs de la moitié orientale de l’Europe.

Marine Le Pen, et avec tout le lourd bastringue cocardier qu’elle traîne à sa suite, éprouve une répulsion instinctive pour le Nord. Germains, Slaves, Baltes, peu importe : même méfiance angoissée pour tout ce qui n’a pas un ancêtre bistre dans son arbre généalogique, un peu de sang croupi venu du Grand Sud dans les veines. Si l’Ukraine ne l’inspire pas, ce n’est pas par pacifisme, mais parce qu’on y trouve pas de Noirs à cocotiers.

Nous en venons aux fondamentaux : la France étouffe en Europe car l’air y est trop blanc, inclination de sa composition raciale. C’est un malaise physiologique, que rien ne peut contrôler. Cette aventure ukrainienne inopinée contrarie une société si africanisée, dans ses moeurs, sa musique, ses pulsions, ses maternités, que tout chez les peuples blancs d’Europe la pousse à s’en détourner de dégoût et d’incompréhension.

Marine Le Pen incarne parfaitement la tripe sourde de la France populacière, les reins écrasés par plus de 150 ans de contact avec l’Afrique. Cette France pavillonnaire où trône au dessus de la télé une babiole africaine achetée sur un marché à des Sénégalais rigolards.

L’Europe, même par son semblant d’union actuelle, place cette France-là sur une désagréable ligne de crête qui brûle la raie des métisseurs honteux, qui la pousse à choisir définitivement entre la race blanche et ses élans ignobles pour la négraille, à s’avouer au reste de l’Europe pour ce qu’elle est devenue : une pute à nègre. Aveux difficiles, toujours un peu honteux, comme une cagole qui doit annoncer à son père la naissance prochaine d’un cafrillon conçu après une soirée en boîte de nuit.

L’électeur RN est certainement un peu lassé des bicots, car ils se refusent à devenir des Français — horizon mental indépassable –, mais pas des nègres, ces joyeux enfants dont leur mère adoptive, la France, nourrit encore tant d’espoir pour elle. Racistes, les électeurs RN ? Pour 5%, tout au plus. Le RN, c’est la clientèle de LIDL qui gueule pour 5% de réduction sur le rôti de veau.

Il est facile de se défier des ennemis qui arrivent vers soi bannières déployées. Mélenchon, dans ses outrances, n’est pas un danger. En revanche, la mère Le Pen et sa bande de pédés ennègrés réservent en sourdine de très lourdes politiques raciales, affreuses et accablantes, que le couillon ne devine pas, ni même ne peut appréhender, hypnotisé qu’il sera toujours par un simple tricolore. Politiques qui sont déjà plébiscitées par la viande communarde travaillée par l’alcool du « populisme » de gauche, ce caniveau bien dégueulasse dont l’énergie première repose sur la haine de l’homme blanc.

Nous sommes au carrefour, choisissez avec prudence.

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