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La Rédaction
Démocratie Participative
12 mars 2025
Ce fût long, très long, mais c’est enfin officiel : Jordan Bardella et Marion Auque dit « Maréchal » (ex-Le Pen) vont pouvoir éteindre des lumières à Tel Aviv !
Une première pour un dirigeant du Front devenu Rassemblement national. Et une première pour un membre de la famille Le Pen. Il n’en fallait pas plus pour que Jordan Bardella et Marion Maréchal y voient chacun un événement «historique». Selon les informations du Figaro, les deux eurodéputés ont été invités par le gouvernement israélien à participer à la Conférence internationale de la lutte contre l’antisémitisme, qui doit se tenir à Jérusalem à la fin du mois, les 26 et 27 mars prochains. Histoire dans l’histoire, les deux figures nationalistes ont été conviées séparément par les autorités de l’État hébreu, sans qu’elles ne soient au courant de l’invitation de l’autre.
Notez que les juifs sont clairs : Bardella et Auque sont invités pour se voir notifier comment servir les juifs — « lutter contre l’antisémitisme ».
Il n’y a bien entendu aucune réciprocité — « lutter contre la haine antiblanche ».
Et pour cause, les juifs ont théorisé la haine des Blancs, ainsi que leur remplacement par l’immigration du tiers-monde.
«La lutte contre le terrorisme islamiste est un enjeu de civilisation qui dépasse les frontières de l’Europe. Le RN a vocation à discuter et travailler avec toutes les nations qui combattent le terrorisme», fait valoir l’entourage de Jordan Bardella. Selon l’un de ses proches, le président du RN interviendra sur la montée de l’antisémitisme en France depuis le 7-Octobre, et il rencontrera par ailleurs sur place «des membres de la communauté française et des officiels».
Des (((membres de la communauté française))).
Le degré d’avilissement est spectaculaire.
Quant à Marion Maréchal, elle a reçu une lettre du cabinet du premier ministre Israélien, Benjamin Netanyahou, et du ministère de la Diaspora, Amichai Chikli. «Cette conférence majeure réunira des dirigeants politiques, des organisations internationales, des envoyés spéciaux et des personnalités éminentes du monde entier pour discuter et répondre à la menace mondiale de l’antisémitisme moderne», peut-on lire dans ce courrier. Des «visites spéciales» sont d’ailleurs prévues «aux frontières sud et nord d’Israël afin de mieux comprendre le paysage géopolitique».
J’ai une idée du « paysage géopolitique » au sud.
Quant au nord, il y aura pas peut-être une visite d’une de ces églises libanaises bombardées par les juifs ?
Le christianisme n’est pas mon sujet, mais c’est indiscutablement celui de Marion Auque. Trop heureuse d’être recrutée par Netanyahu en personne, je doute qu’elle s’écarte du script que lui remettront les rabbins.
D’ailleurs, j’ai une idée de l’identité de celui qui a obtenu cette promotion.
L’éminent membre de la (((communauté française))) Meyer Habib.
Petite-fille de Jean-Marie Le Pen pour l’une, et lointain successeur à la tête du parti pour l’autre, Marion Maréchal et Jordan Bardella ont longtemps pâti, dans leur rapport à la communauté juive, du procès en antisémitisme qui a poursuivi le «Menhir», plusieurs fois condamné par la justice. Une défiance que les lepénistes tentent de déjouer depuis plusieurs années, en se présentant comme «le meilleur bouclier» des Français juifs, face à la menace islamiste notamment. Et désormais face à La France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon, accusée d’entretenir une forme nouvelle d’antisémitisme, par un antisionisme décomplexé et un activisme propalestinien.
On peut dire que Jean-Marie Le Pen est mort une seconde fois.
« Vous savez que je suis un ami de l’Iran »
Sa mémoire est livrée aux juifs en échange de 30 deniers par sa petite-fille dont il disait qu’elle était une prostituée.
Hélas, Jean-Marie Le Pen paie le prix, même dans la tombe, d’avoir livré le FN à une femme, en l’espèce son horrible fille. Les femmes ne doivent rien faire en politique et s’il fallait une preuve de cette loi éternelle, ce cas d’espèce suffit.
Tout cela fait désormais le terreau des juifs qui font du RN leur principale organisation politique en France de par sa taille. Le Français de souche se retrouve donc pris électoralement en étau par la pince sémitique : l’islamisme avec LFI, le fanatisme juif avec le RN.
La direction politique du RN se trouve donc désormais à Tel Aviv, sous la direction des juifs ultra-radicaux qui jurent de plonger les nations du monde dans une guerre apocalyptique pour prix de la reconstruction de leur « troisième temple », la casbah après laquelle soupire toute la pouillerie hébraïque du globe.
Si Marine Le Pen montre peu d’enthousiasme pour la guerre en Ukraine, quoique consentant tout de même à signer pour la forme, il n’en ira pas de même pour l’Iran.
Après des années dans l’ombre de Jean-Marie Le Pen, cette épave rêve d’être enfin du bon côté de l’ordre social et d’y jouer les importantes.
Quelle médiocrité et quelle déchéance.
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