La Rédaction
Démocratie Participative
28 mars 2025
En votant pour Marine Le Pen, tout va rentrer dans l’ordre.
L’adolescente aurait tenté de s’interposer alors que le suspect s’en prenait à sa mère. Amandine François, 38 ans, et Nina, sa fille de 13 ans, ont succombé à de multiples coups de couteau, lundi, à Limeyrat, une commune située à une vingtaine de kilomètres à l’est de Périgueux (Dordogne). Le suspect, l’ex-compagnon de la mère de famille, qui a tenté de mettre fin à ses jours après les faits, a été mis en examen pour meurtre par conjoint et meurtre sur mineur de 15 ans, indique le parquet de Périgueux, confirmant une information de Sud Ouest.
Lundi matin, les gendarmes reçoivent l’appel au secours de Rachid I.. À leur arrivée dans un HLM du petit village de Limeyrat, les militaires découvrent que l’homme a tenté de mettre fin à ses jours. Ils découvrent aussi une scène d’horreur. Amandine et sa fille ont été tuées. Les autopsies menées le lendemain « établissaient que leur décès résultait d’une défaillance cardio circulatoire et cardiorespiratoire » et « confirmaient la présence de nombreuses blessures compatibles avec l’usage d’une arme blanche », détaille Jacques-Edouard Andrault, procureur de la République de Périgueux.
Soupçonné du double crime, mais blessé, Rachid I. est transféré à l’hôpital et placé en garde à vue, « son état de santé étant compatible avec une mesure de garde à vue en milieu hospitalier ». Si lors de ses auditions l’homme « faisait le plus souvent usage de son droit au silence », il reconnaît tout de même avoir « porté des coups de couteau aux deux victimes » dans la nuit de dimanche à lundi. Selon nos informations de source proche de l’enquête, Rachid I. aurait déclaré aux enquêteurs avoir entendu des voix qui lui auraient dit de s’en prendre à son ex. L’adolescente se serait interposée et c’est pour cette raison qu’elle aurait été tuée. Le suspect est mis en examen et placé en détention provisoire en milieu hospitalier en raison de son état de santé.
Selon le procureur de la République de Périgueux, Rachid I. était connu pour des faits de violence et avait déjà été condamné. En juin 2023, il avait été condamné par le tribunal correctionnel à six mois d’emprisonnement dont trois mois avec sursis probatoire pour des violences commises sur sa mère l’été précédent. « La partie ferme de son emprisonnement avait été exécutée en 2024 sous la forme d’une détention à domicile sous surveillance électronique », détaille le magistrat. Mais l’homme n’a « jamais été mis en cause à la suite d’une plainte pour des faits de violences par conjoint », ajoute-t-il.
Pour comprendre les circonstances exactes de ce double meurtre, les investigations se poursuivent sur l’autorité d’un juge d’instruction de Périgueux. Sur Facebook, le père de la jeune Nina réclame que Rachid I., « paye et pourrisse en prison ». Il tempête : « Un massacre pareil ne devrait jamais exister !!! »
Faible.
Personnellement, je me mettrais en quête de la liste de tous les membres de la famille élargie de l’intéressé.
En attendant, c’est le choc dans le secteur de Limeyrat où une marche blanche est organisée dimanche matin. Se joindront à cet hommage les membres du club de l’union sportive bassillacois (USBB) où Nina jouait au basket, ainsi que le collège de Thenon où l’adolescente était scolarisée. La compagne du papa de la collégienne appelle ainsi sur Facebook à participer à cette marche blanche « afin de l’aider au mieux dans son départ et apaiser cette belle âme qui veillera sur toi ». « Cette marche sera silencieuse, aucune prise de parole publique n’aura lieu, aucune manifestation d’opinion ne sera tolérée et seuls les messages d’empathie et de soutien à l’égard des victimes et de leurs familles seront acceptés », prévient la mairie dans un communiqué. Les obsèques de Nina doivent avoir lieu mardi.
J’espère tout de même que les ballons blancs seront autorités ?
Sur les réseaux sociaux, le père de l’adolescente appelle à « propager des photos de (sa) fille partout pour son souvenir ». Des connaissances décrivent la jeune basketteuse comme sage et discrète. Une internaute se souvient ainsi de « sa douceur et de son sourire amusé », tandis qu’un père de famille raconte avoir « eu le plaisir de l’accueillir plusieurs fois à la maison » et avoir rencontré « un rayon de soleil avec plein de vie et de joie »
Le député Génération.s de Dordogne a exprimé lundi sa « profonde tristesse » et « une grande colère » après l’annonce de la découverte des corps d’Amandine et sa fille : « Une nouvelle tragédie insupportable qui s’ajoute à une longue liste. Ces drames ne sont pas des faits divers. Ils sont les conséquences d’un système qui ne protège pas suffisamment les femmes et les enfants victimes de violences. Nous devons agir plus fort, plus vite, avec plus de moyens. »
Ha !
Parlons de ce système.
Génération.s est le groupuscule de Benoît Hamon.
Ai-je besoin de le présenter ?
Sacré Benoit ! https://t.co/9fTRA7MctI pic.twitter.com/PB6kY8egKt
— David Dobsky (@dobsky33) July 3, 2024
Le type bosse à plein temps dans l’importation de bougnoules.
C’est son job.
Accord des 27 sur la répartition des migrants : « Le fait qu’il y ait une solidarité c’est bien mais le fait qu’on puisse s’y soustraire en payant une amende » [de 20 000 euros par migrant non accueilli], non, réagit Benoît Hamon. pic.twitter.com/zWUq4pqRMv
— franceinfo (@franceinfo) June 12, 2023
J’ai regardé qui était le député en question.
Il s’agit de Sébastien Peytavie, député NFP, heureux participant de la prochaine Aktion T4.
Ce fils de pute a même une boucle d’oreille de fiotte.
Ces types iront jusqu’à faire leur promotion sur les cadavres de vos gosses.
Ça ne leur fera pas peur, vous en avez la preuve sous les yeux.
On ne règle pas un tel problème avec des élections.
On règle un tel problème avec une Aktion T4, mais cette fois beaucoup plus ambitieuse.
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