Paranoïa souverainiste : les boomers attaquent avec virulence des Blancs qui ont fait un Tshirt

La Rédaction
Démocratie Participative
16 avril 2025

 

La secte homo-souverainiste est une menace pernicieuse qui représente une lourde charge mentale pour l’homme blanc.

Ces membres du lobby mahorais, à raison, comprennent que le mot « Europe » signifie « Blancs ».

Et les Blancs les mettent très mal à l’aise.

C’est l’axe identitaire classique qui existe depuis au moins 25 ans, ça n’a rien de particulièrement nouveau. Quand je dis 25 ans, c’est par gentillesse et me bornant à la tendance identitaire.

Cela fait des siècles que des intellectuels parlent de l’Europe en reprenant l’imagerie de la Grèce antique.

Ces ahuris seraient foutus de dire que Victor Hugo était plus ou moins un agent de Von der Leyen.

Un jour viendra où vous France, vous Russie, vous Italie, vous Angleterre, vous Allemagne, vous toutes, nations du continent, sans perdre vos qualités distinctes et votre glorieuse individualité, vous vous fondrez étroitement dans une unité supérieure, et vous constituerez la fraternité européenne. 

Victoir Hugo, 12 août 1849, Paris

Bien que je l’ai déjà dit ces derniers temps, je le répète : ce « souverainisme » obsessionnel n’est qu’une forme actuelle du nihilisme, contre-énergie de destruction pure qui ne veut rien, mais souhaite anéantir tout, et surtout ceux qui veulent quelque chose.

Ces gens n’ont pas de raison d’être, hormis celle de s’opposer.

Ils seraient bien infoutus d’aimer leur voisin de palier.

Ce sont trop souvent des métèques terrorisés par l’unité blanche que le mot Europe sous-entend.

 

Les partisans de fiottes telles qu’Asselineau ou Philippot, ainsi que tous les boomers qui squattent nos vies sans raison par 10 médias de droite interposés, voient les choses très différemment des Blancs submergés.

Ils adorent leurs « compatriotes antillais », ou leur épicier tunisien « plus français que les Français », mais haïssent les Blancs fiers de leur race qui refusent de baisser les yeux.

Leur « anti-européisme » n’est qu’une forme actualisée de l’antiracisme qu’ils soutiennent depuis qu’ils sont nés. Ils  viendront frapper chez vous à 3h00 du matin s’ils ont cru entendre le mot UE prononcer dans votre jardin, vous accusant de soutenir les « Nazis ».

Il faut que je fasse une collection de leurs mèmes, ils valent ceux de Marine Le Pen en Jeanne d’Arc.

Ces gens sont des paranoïaques qui végètent entre quatre murs.

Le terme « UE » dans leur jargon désigne en vérité l’Allemagne (fantasmagorique) dirigée par le boche imaginaire, botté et casqué, horresco referens, et c’est là qu’il faut encore traduire : fasciste, raciste, blanc.

Dissolvez l’UE ce soir et demain matin ils auront déjà une conspiration raciste anglaise à dénoncer, explication fondamentale de l’histoire humaine depuis 35 siècles.

La Strasbourgeoise en 2025.

Est-ce que ce type, qui n’a d’évidence jamais touché une femme, a déjà vu une rue de la très française Strasbourg depuis que les Nazis en ont été boutés (lors de la première moitié du siècle dernier tout de même) ?

C’est clinique.

Nous avons face à nous des aliénés.

Les états-nations sont morts comme les monarchies sont mortes et ils ne reviendront pas à la vie.

Et quand bien même ressusciteraient-ils que nous n’aurions pas avancé d’un mètre.

La nouvelle ligne de front est raciale : les Blancs contre les autres.

Tous ceux qui brandissent l’état-nation comme l’alpha et l’omega de notre époque, généralement pour changer de sujet quand on parle des babouins, doivent obligatoirement parapher la francitude de Fatoumata, sauf à invalider 1789 et la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.

Donc à être raciste.

Être raciste, pour ces tarés, c’est « être allemand » et nous repartons pour un tour.

Et vous, aimez-vous les viandes pas du tout mystère juives ?

Faites un geste et achetez ce tshirt.

Repousser la secte homo-souverainiste est bon pour notre équilibre mental à tous.

Qu’ils aillent compter en franc CFA à Nanterre ou Mantes-la-Jolie et laisse les jeunes Blancs vivre leur vie.

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