Paris : une OQTF du Soudan tente de buter 3 flics

La Rédaction
Démocratie Participative
05 février 2025

 

Avec Bruno Retailleau, la situation a enfin radicalement changé.

Le Figaro :

Trois policiers de la Brigade des réseaux ferrés (BRF), qui se trouvaient postés rue de la Cité, à Paris, ont été blessés mardi par un homme qui s’est dirigé en courant vers eux, et qui a essayé de s’emparer d’une de leurs armes de service, a appris Le Figaro auprès du parquet de Paris. D’après les informations du Figaro, l’individu faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

Les faits se sont déroulés peu avant 13H00 devant l’entrée de la Préfecture de Police côté Notre-Dame de Paris. Les trois agents de la brigade des réseaux ferrés franciliens (BRF) étaient «en mission» devant la PP quand ils ont été attaqués «par un individu qui s’est précipité sur (l’un d’entre eux) pour essayer de lui prendre son arme», a expliqué le préfet de police Laurent Nuñez. Un des policiers a reçu «un coup de poing au visage», puis l’agresseur a été «immédiatement interpellé» par les fonctionnaires, aidés par «des effectifs qui se trouvaient en sécurisation de la préfecture de police», a poursuivi le préfet de police.

Il a précisé qu’au total trois policiers avaient été légèrement blessés: celui qui a reçu un coup au visage ainsi que deux jeunes gardiens de la paix dont une femme blessée au doigt et un autre à la main, sans doute avec un morceau de verre, comme le «disent» les policiers, a relaté Laurent Nuñez. Le parquet de Paris a précisé à l’AFP que l’homme était «porteur d’un morceau de miroir brisé», mais qu’il n’était «pas établi qu’il s’en serait servi».

Le parquet national antiterroriste (Pnat), sollicité par l’AFP, a indiqué être «en évaluation de la procédure». Le préfet de police Laurent Nuñez a salué le «courage et la détermination» des policiers, estimant que cette affaire «montrait à quel point le métier de policier est dangereux» et «difficile».

Concernant le profil de l’agresseur, qui a assuré être d’origine soudanaise, selon une source policière, le préfet de police a relevé que les premiers éléments d’identification laissaient «penser qu’il avait fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique». Mais, a-t-il ajouté, «je reste toujours prudent là-dessus». Comme on lui demandait si cet homme était connu pour des faits similaires, Laurent Nuñez a répondu: «Ce n’est pas impossible». «La vraie clarification, j’insiste, a-t-il dit, c’est la justice qui la fera dans le cadre de l’enquête». Sitôt interpellé, l’agresseur a été conduit au commissariat du centre, selon le parquet de Paris, où il devait être examiné par un psychiatre.

Ce déséquilibrisme soudanais est le résultat du racisme et de l’islamophobie des gwers.

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