La Rédaction
Démocratie Participative
06 mai 2025
La France est laïque, mais la république est juive.
Le journal de la famille Bloch (« Dassault ») s’enthousiasme pour la dernière proposition du non moins juif Gabriel Attal.
Dans un contexte de recrudescence des actes antisémites en France, l’initiative est surtout symbolique. Le chef des députés Renaissance Gabriel Attal a déposé vendredi dernier une proposition de loi à l’Assemblée nationale pour élever le capitaine Alfred Dreyfus (1859-1935) à titre posthume au grade de général de brigade, a appris Le Figaro confirmant une information du magazine Challenges .
Et pourquoi pas maréchal ?
L’affaire autour de cet officier juif de l’armée française, accusé à tort et condamné, sur fond d’antisémitisme, pour des faits d’espionnage au profit de l’Allemagne en 1894, a cristallisé les tensions dans l’Hexagone entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe. Un scandale politico-judiciaire d’une rare ampleur qui avait polarisé à l’époque la société en deux camps : les «dreyfusards» et les «antidreyfusards».
Si l’intéressé avait été réhabilité douze ans plus tard au terme d’une campagne médiatique menée tambour battant par ses partisans, en premier lieu l’écrivain Émile Zola, la machination judiciaire dont il a été la victime l’avait rétrogradé militairement. Dreyfus a beau avoir été réintégré dans l’armée française après avoir été innocenté, il n’a jamais retrouvé son grade initial auquel son ancienneté donnait pourtant droit. Il fut finalement élevé à celui de lieutenant-colonel en 1919 après son engagement lors de la Première guerre mondiale.
Quid alors de la démarche de Gabriel Attal visant à laver l’affront fait à Dreyfus un siècle après ? Elle répond directement à une tribune signée, il y a deux semaines, dans Le Figaro par l’ancien ministre socialiste Pierre Moscovici, l’avocat Frédéric Salat-Baroux et le président de la Maison Zola-Musée Dreyfus, Louis Gautier. Mi-avril, les trois personnalités appelaient «à ce qu’un ou plusieurs groupes parlementaires, et pourquoi pas la représentation nationale tout entière, s’emparent maintenant de ce combat».
Il n’y a pas un seul Français qui soit signataire de cette « tribune ».
Si on ne présente plus le juif de Roumanie Moscovici, son comparse, Salat-Baroux, est également membre de la tribu.
C’est un yid de Tunisie.
Avisez le faciès effrayant de cet invité régulier de CNews.
Notez qu’il saute la fille Chirac, Claude.
Cette opération est une de ces petites marques de vengeance talmudique dont ces parasites haineux ont le secret.
Dans l’exposé des motifs du texte que nous avons pu consulter, Gabriel Attal estime que les «cinq années de déportation et d’humiliation» de Dreyfus sur l’île du Diable (Guyane) «ont irrémédiablement freiné sa carrière militaire». «Il est incontestable que sans cette injustice», cette «faute d’État», (il) aurait accédé naturellement aux plus hauts grades», constate le patron du parti présidentiel Renaissance, exhortant la France, à travers l’article unique de sa proposition de loi, à «honorer l’idéal républicain». En «reconnaissant ses erreurs et affrontant lucidement ses égarements». Et Gabriel Attal d’ajouter : «Promouvoir Alfred Dreyfus au rang de général de brigade constituerait un acte de réparation, une reconnaissance de ses mérites et un hommage rendu à son engagement républicain.»
En 2025, « républicain » et « juif » sont synonymes.
Une fois qu’on le comprend, toute cette logorrhée devient enfin compréhensible pour un Français.
Hasard ou non, l’initiative de l’ex-premier ministre rejoint celle des sénateurs socialistes. «La Nation française, éprise de justice et qui n’oublie pas, élève à titre posthume Alfred Dreyfus au grade de général de brigade», dit le texte de la Chambre haute déposé mardi 29 avril par Patrick Kanner, patron du groupe PS au Palais du Luxembourg. «Ce n’est pas un sujet politique», a assuré l’élu du Nord auprès de la radio locale ICI, qui n’hésite pas à inscrire sa proposition de loi dans le contexte actuel. «L’antisémitisme grandissant dans notre pays aujourd’hui, ce climat assez nauséabond que l’on voit ici ou là, avec parfois des actes insupportables, on peut aussi le combattre par des actes symboliques», a-t-il considéré.
Chers lecteurs, vous serez certainement surpris d’apprendre que Patrick Kanner est lui-même très républicain.
Ce nez et ces oreilles devraient valoir condamnation à la déportation en Guyane à perpétuité.
Le baratin « républicain » dont ces juifs usent et abusent ne sert qu’à dissimuler aux masses françaises l’effrayante main mise tribale qu’ils exercent sur l’État, les médias, les partis, évidemment toute la sphère culturelle, et bien entendu les finances et la justice.
C’est ce que les juifs ont de si particulièrement odieux : ils dissimulent leur parasitisme éhonté, leur insolente haine raciale pour l’indigène sous une vague invocation de grands sentiments altruistes.
Citons le grand Édouard Drumont qui écrivait dans Testament d’un antisémite (1899) :
Lorsque j’écrivais La France juive, il y a plus de dix ans, je sonnais l’alarme contre l’invasion juive, contre cette race qui, sous des dehors de civilité, travaille sans relâche à la destruction des nations qui l’accueillent. L’Affaire Dreyfus est la preuve éclatante de tout ce que j’annonçais. Ce capitaine juif, élevé dans nos écoles militaires, n’a pas hésité à vendre les secrets de la France à l’ennemi. Et quand la justice l’a frappé, toute la juiverie s’est levée comme un seul homme pour le défendre, non par amour de la vérité, mais parce que Dreyfus représente leur cause. Voyez l’audace de ces gens : ils ont transformé un traître en martyr, un criminel en victime, et ils osent défier l’armée, la justice, le peuple français tout entier ! Derrière Dreyfus, il y a les Rothschild, les banquiers de Francfort, les journaux de Londres et de New York, tous unis pour faire plier la France. Cette affaire n’est pas un simple procès ; c’est une guerre, une guerre entre la France éternelle, celle de Jeanne d’Arc et de Saint Louis, et la France juive, celle des banquiers, des agitateurs, des destructeurs. Si nous laissons les dreyfusards l’emporter, nous perdrons notre pays, notre foi, notre avenir. Il est encore temps de résister, de chasser ces envahisseurs qui se cachent derrière le masque de l’humanitarisme.
Rien n’a changé, car le juif, désespérément fidèle à lui-même, ne varie pas quant à son caractère perfide.
Pour en venir à Dreyfus, ce juif est aussi coupable qu’on peut l’être. Ce n’est pas la moindre des raisons pour lesquelles les juifs continuent de mener la charge, 130 ans après l’affaire.