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La Rédaction
Démocratie Participative
04 mars 2025
Les micro plastiques devront attendre
Goyim !
L’Amérique a une nouvelle politique de santé : soigner les antisémites !
L’antisémitisme – comme le racisme – est une maladie spirituelle et morale qui rend les sociétés malades et tue les gens avec une létalité comparable aux pestes les plus mortelles de l’histoire. Ces dernières années, la censure et les faux récits de la culture « cancel woke » ont transformé nos grandes universités en serres pour cette pestilence mortelle et virulente. Rendre l’Amérique saine signifie construire des communautés de confiance et de respect mutuel, fondées sur la liberté d’expression et le débat ouvert.
J’ai du mal à comprendre ce que veut dire Kennedy en évoquant la « guérir » des non-juifs qui souffriraient « d’antisémitisme » grâce à l’abolition de la censure « woke » – la dernière mise-à-jour du marxisme.
La lutte contre l’antisémitisme implique de lutter contre la vérité, donc de censurer les non-juifs.
C’est d’ailleurs pour cela que Trump menace des pires représailles les universités qui laissent les gens parler de ce que font les juifs.
BREAKING !
Le groupe de travail pour combattre l’antisémitisme, créé par le décret du président Trump, examine les 5 milliards de dollars de subventions fédérales et les 51,4 millions de dollars de contrats de l’Université Columbia pour son incapacité à protéger les étudiants juifs. Des ordres d’arrêt de travail sont envisagés. Aucune mesure n’a encore été prise.
🚨 BREAKING!
The Task Force to Combat Antisemitism, created by President Trump’s executive order, is reviewing Columbia University’s $5B in federal grants and $51.4M in contracts over its failure to protect Jewish students. Stop Work Orders are being considered. No actions yet. pic.twitter.com/qgUUqxarfn
— Yehuda Teitelbaum (@chalavyishmael) March 4, 2025
L’Allemagne a pris note.
Le responsable de la lutte contre l’antisémitisme Felix Klein souhaite que les universités soient davantage surveillées par les services de protection de la Constitution. Klein a exprimé son soutien au projet de Trump d’expulser la population civile de Gaza : « Je ne pense pas qu’il soit mal de penser radicalement et pour une fois de manière totalement nouvelle ».
Cette politique de censure est étendue au monde entier.
La nouvelle ambassadrice de Trump à l’ONU vient justement de le dire à l’adresse de l’ONU : toute critique de la suprématie juive mondiale entraînera les plus sévères représailles contre les nations qui veulent s’exprimer à ce sujet.
Alice Stefanik, ambassadrice des États-Unis auprès des Nations unies :
Mon message à tous les antisémites présents à l’ONU : j’arrive. Vous feriez mieux de vous attacher et de partir.
Sous Trump, l’époque du financement de la terreur, de l’antisémitisme et des actions anti-israéliennes à l’ONU est révolue.
US Ambassador to the UN Alice Stefanik:
My message to all antisemites at the UN—I’m coming. You’d better buckle up and leave.
Under Trump, the days of funding terror, antisemitism, and anti-Israel actions at the UN are over. pic.twitter.com/ssoabyeyKP
— Clash Report (@clashreport) March 3, 2025
La psychiatrisation des gens qui critiquent des juifs est une des plus vieilles ficelles des juifs eux-mêmes pour faire taire leurs opposants.
En Union Soviétique, les juifs jetaient leurs opposants dans des hôpitaux psychiatriques, décrétant que toute critique du marxisme était par définition la preuve d’un trouble mental puisque le fils de rabbin Karl Marx ne pouvait pas avoir tort.
Le marxisme, affirmaient-ils, n’était pas une idée, mais une science exacte, au même titre que les mathématiques.
Ce fut le cas de Vladimir Boukovski, opposant interné pendant 12 ans dans les asiles du système marxiste russe.
C’est lui qui révéla la psychiatrisation des personnes cherchant à libérer la Russie du virus judéo-marxiste.
Kennedy n’a pas d’autres arguments face aux faits, écrasants, dénonçant depuis des millénaires le rôle destructeur des juifs. Et c’est encore plus vrai dans l’Amérique de Donald Trump où, précisément, ils interdisent aux Américains de questionner le rôle des juifs.
Pourquoi ?
Peut-être parce que Kennedy est un fier disciple du Rebbe loubavitch, le leader des juifs orthodoxes qui considèrent que les non-juifs ont une âme de démon.
Nous en avions parlé ici : Trump va prêter allégeance aux juifs fanatiques de New York
Je m’attends à ce que Kennedy fasse une entorse à ses conseils habituels et qu’il propose rapidement un vaccin révolutionnaire pour guérir les goyim de leur antisémitisme.
Il est temps que les gens réalisent la nature du régime qui se forme aux USA, un régime dystopique où les oligarques juifs règnent en maîtres absolus sur une Amérique à minorité blanche, placée sous la botte technologique et financière de la Silicon Valley, et qui va réserver à ce pays le sort de la Russie après la chute du bolchevisme.
Contre la censure
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