La Rédaction
Démocratie Participative
05 février 2025
🚨 Immigration en France : les chiffres 2024 viennent d’être publiés aujourd’hui à 12h30.
De nouveaux records ont été battus.
👉 Voici une synthèse en 8⃣ infographies pour tout savoir ⬇️ pic.twitter.com/BoOdgtfbNK
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
1⃣ Le nombre de titres de séjour accordés atteint un nouveau record historique.
🔴 Le précieux sésame a été remis à 337 000 immigrés en 2024, sans compter :
– les renouvellements
– les étrangers européens (EEE)
– les étrangers mineurs ⬇️ pic.twitter.com/zpqOX5c92v— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
2⃣ Le motif économique ne représente que 17% des titres de séjours accordés en 2024 ⬇️ pic.twitter.com/AC9H6eLdDo
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
Le stock de titres de séjour continue donc d’augmenter, malgré la hausse des naturalisations.
👉 Le nombre d’acquisition de la nationalité par décret a en effet augmenté de +22% en 2024.
Il reste en deçà du record de 2021 ⬇️
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
4⃣ En parallèle, les demandes d’asile reculent : 131 000 premières demandes enregistrées en 2024, contre un record à 145 000 l’année d’avant.
👉 Cela reste un niveau historiquement haut ⬇️ pic.twitter.com/OyLykVoRGg
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
5⃣ En revanche, la proportion de demandeurs d’asile dont le dossier est accepté augmente nettement.
👉 D’environ 40% il y a seulement 3 ans, elle est désormais de 50% ⬇️ pic.twitter.com/tccldIY9tr
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
6⃣ Les nationalités du Maghreb et d’Afrique subsaharienne restent majoritaires parmi les octrois de titres de séjour.
🇺🇦 Concernant les demandes d’asile, les Ukrainiens occuppent désormais la 1re place ⬇️ pic.twitter.com/Wf6WbkiLc5
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
7⃣ Ce chiffre ne fera pas la une des médias, mais sachez-le : 400 000 immigrés clandestins ont été régularisés depuis 2012.
👉 En 2024, les régularisations reculent de quelques milliers, pour s’établir à 31 000 personnes.
L’équivalent de la population d’Agen, Dreux ou Lens ⬇️ pic.twitter.com/o2bIzBvX9f
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
8⃣ Enfin, comme vous entendrez beaucoup reparler des 337 000 titres de séjour accordés en 2024, n’oubliez pas qu’il ne s’agit que d’une partie de l’immigration légale.
🚫 Ce nombre n’inclut pas :
– les entrées irrégulières
– les étrangers européens (de l’EEE)
– les mineurs ⬇️ pic.twitter.com/6yuHGh088v— Marc Vanguard (@marc_vanguard) February 4, 2025
À ces 337,000 migrants légaux arrivés en 2024 il faut ajouter les demandeurs d’asile en attente d’un titre de séjour (157,000 en 2024) et enfin les migrants clandestins qui ne se manifestent pas par définition.
Ce sont donc au moins 500,000 colons extra-européens qui sont arrivés en France pour la seule année 2024.
Les femmes blanches
Nous devons également nous intéresser à la natalité.
Les femmes blanches refusent catégoriquement de faire des enfants et avortent à grande échelle pour pouvoir s’éclater en boîte de nuit.
Rappelons que ces putes tatouées ont tué 243,000 enfants en 2024, le chiffre le plus élevé d’Europe. Un triste record qui confirme que les Françaises sont les pires traînées de cette planète – et de très loin.
C’est si vrai que ces putes ont niqué Trump en insérant l’avortement dans la constitution française avec le secours de l’affreuse Marine Le Pen.
Sur les 663,000 naissances de l’année 2024 en France, au moins 40% sont d’origine extra-européenne, soit 264,000.
Il y a aussi le résultat global de la première guerre mondiale (la perte de l’élite de la race française), de la nourriture industrielle, de l’absence d’entretien physique, de la tertiarisation de l’économie sur fond d’absence de sélection génétique par les maladies infantiles (un des legs de la vaccination).
La Bretagne est le premier laboratoire de ce paradigme.
La dysgénisme est un plébiscite quotidien en faveur de la démocratie.
En somme, en 2024, le stock d’allogènes a augmenté de 764,000 unités en France.
Dans le même temps, seuls 400,000 nouveaux Français de sang ont été ajoutés.
Il faut encore retrancher du stock des indigènes disponibles ceux qui sont morts lors de l’année (une grande majorité des 664,000 décès enregistrés en 2024) et ceux qui partent à l’étranger, effrayés par les impôts et les conséquences de l’invasion afro-mahométane.
En résumé, en 2024 :
- 69 millions d’habitants dont 50 millions de Blancs
- 764,000 allogènes supplémentaires
- 300,000 indigènes de moins (vieillissement, dénatalité, émigration)
Notre prévision demeure inchangée : en l’état, la France sera à majorité non-blanche lors de la décennie 2050-2060.
Il ne faudra toutefois pas attendre jusque-là pour que des villes, départements et régions entières ne deviennent à majorité non-blanche, à l’instar de Marseille, la Seine-Saint-Denis et, d’ici peu, la Provence ou l’IDF.
Un tel bilan est proprement apocalyptique et nos lecteurs le savent : nous ne prenons jamais de gants. Il ne s’agit pas de noircir le tableau, mais de regarder les faits et les dynamiques telles qu’elles sont.
Aucun État ne peut demeurer politiquement unifié avec une population racialement hétérogène dont les valeurs ethno-culturelles et religieuses sont antagonistes. Le fait que 60% des allogènes qui s’établissent en France soient musulmans condamne automatiquement la France actuelle à la partition territoriale et politique.
Ce qui maintient un semblant de stabilité politique actuellement est la domination démographique blanche, maintenue à court terme grâce au stock des boomers, ainsi que l’accès à l’endettement qui permet à l’État de payer le tribut exigé par l’envahisseur sous diverses formes de subsides.
Une fois le stock des boomers épuisés (2030-2040) et l’État en défaut partiel ou total, la fragmentation ethnique, sociale, territoriale, politique et économique connaîtra une rapide accélération avec un affaissement général de l’État central. Dans un pays aussi centralisé que l’État français, toute défaillance du centre exporte instantanément la défaillance à l’ensemble des territoires dépourvus de culture de l’initiative, de moyens et de flexibilité opérationnelle.
C’est au fil de cette désagrégation progressive parcourue de chocs que des forces sociales exploiteront le vide laissé pour s’imposer par la violence. Plus que sur un paradigme religieux à strictement parler, les afro-musulmans s’organiseront sur une base criminelle pour le contrôle de l’économie légale et illégale de leur zone.
Les Blancs ne comprennent pas ce paradigme car ils ont été domestiqués pour céder à l’État démocratique (« l’État de droit ») le monopole politique suprême qu’est l’usage de la violence organisée. C’est encore plus vrai en France où la monarchie de droit divin a divinisé l’État, capital historique capturé par le jacobinisme qui a accouché de sa version systématisée. Le Français, sans l’État, est une non-entité, embarrassée d’elle-même, suppliant qu’un despote de substitution remplace l’ancien.
Les Français de sang du 21e siècle sont désarmés, pacifistes et légalistes, tout comme l’étaient les populations romanisées de Gaule lorsque les légions romaines ont fini par céder face au flot des envahisseurs barbares. À l’exception de quelques officiers qui en étaient issus, ces populations n’avaient aucune culture militaire et ont rapidement été conquises de ce fait.
L’État actuel dispose du personnel et de l’arsenal nécessaires à la destruction des bandes allogènes et à la fermeture des frontières, mais le problème n’est pas technique, il est métaphysique. C’est la définition de l’ennemi qui le pousse à l’inaction face aux allogènes. L’ennemi, pour lui, est le Blanc, consubstantiellement identifié au « raciste » – le péché suprême au terme de la mystique démocratique tardive. Le dogmatisme cosmopolite, l’individualisme culturel, la domination des intérêts ploutocratiques de court terme, les lois en vigueur, l’industrie des loisirs ainsi que l’embrigadement rendu possible par la scolarisation et les médias de masse permettent à un appareil répressif sophistiqué au service de la classe dominante de maintenir les indigènes en état de soumission. Ceux-ci, privés d’élite, subissent en maugréant.
Cet État n’est pas en guerre contre les allogènes, mais contre les Blancs, et il dispose encore des moyens de cette guerre. Il s’opposera jusqu’au bout aux autochtones avec l’aide de ses supplétifs immigrés. Aucune élection dans le cadre de cet État ne changera un système édifié pour domestiquer, désarmer, exploiter les Blancs. Cependant, cet État arrive aux limites de ses ressources, son équilibre interne est menacé, pris à revers qu’il est par les supplétifs allogènes qu’il a recrutés pour tenir en respect les autochtones.
Anticiper la défaillance inévitable de l’État démocratique et penser ce qui doit idéalement lui succéder est l’oeuvre des révolutionnaires.
C’est la partie la plus difficile pour des masses blanches domestiquées, privées de culture révolutionnaire par éducation, et qui confondent jacquerie sans lendemain et renversement brutal d’un ordre injuste.
Un raciste blanc gagne davantage à étudier les grands révolutionnaires marxistes que les phraseurs impuissants de la droite bourgeoise. Non pas que la réalisation du communisme soit l’horizon du racisme, mais que le marxisme intègre dans sa conception fondamentale la violence organisée comme instrument essentiel de l’histoire, en étudie l’application, et qu’il fait de la guerre à tout ce qui lui est opposé son rapport au monde. Tout raciste, c’est-à-dire tout révolutionnaire de race blanche au service de sa race, doit concevoir le monde sous l’angle de la guerre permanente à l’ennemi et faire une pensée solide dans son fondement et souple dans sa pratique.
Pour ce travail d’éducation politique, nous citerons régulièrement des révolutionnaires marxistes, la meilleure école révolutionnaire à ce jour, afin d’éveiller le sens pratique des révolutionnaires blancs qui veulent dépasser la phase démocratique actuelle sur tous les plans, que ce soit au niveau de l’État, de la société, mais aussi au sein des cercles racistes ou apparentés qui, bien trop souvent, importent l’erreur démocratique.
Dans le domaine de la théorie, détruire les racines de l’ultra-démocratie. Tout d’abord, il faut souligner que le danger de l’ultra-démocratie réside dans le fait qu’elle endommage ou même détruit complètement l’organisation du Parti et qu’elle affaiblit ou même sape complètement la capacité de combat du Parti, rendant le Parti incapable de remplir ses tâches de combat et causant ainsi la défaite de la révolution. Ensuite, il convient de souligner que la source de l’ultra-démocratie réside dans l’aversion individualiste de la petite bourgeoisie pour la discipline. Lorsque cette caractéristique est introduite dans le Parti, elle se développe en idées ultra-démocratiques sur le plan politique et organisationnel. Ces idées sont totalement incompatibles avec les tâches de combat du prolétariat.
Mao Tsé Toung, « Sur la correction des idées erronées au sein du parti » (Décembre 1929)
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