La Rédaction
Démocratie Participative
13 mars 2025
Dans un pays devenu aussi racialement hétérogène que la France, l’affirmation tribale blanche suscite automatiquement la haine des créatures sans-race tout comme celle des dégénérés qui savent d’instinct ce qu’elle implique : leur vassalisation.
Ce tweet expose les deux domaines d’application de la domination naturelle des meilleurs éléments biologiques : raciale et sociale.
J’ai le sang bleu. J’en suis extrêmement fière.
Je descends d’aristocrates Français, Autrichiens, Espagnols…Je ne mélangerai mes gènes qu’avec un autre Européen car c’est l’héritage le plus précieux que je possède et le sens de ma vie est de m’en montrer digne tous les jours. https://t.co/2FOxuYSmYA
— Thaïs d’Escufon (@ThaisEscufon) March 12, 2025
Je prends toujours plaisir à voir couiner d’appréhension les éléments inférieurs.
Les métèques, bien entendu.
On lui dit qu’Europe était une princesse phénicienne de Tyr (au sud du Liban actuel) et que ses descendants s’appellent aujourd’hui Ali et Mahmoud?
— Claude El Khal (@claudeelkhal) March 12, 2025
La « princesse phénicienne » Europe est une invention littéraire de la Grèce tardive qui n’a rien à voir avec l’Europe originelle, une déesse fille d’Océan et de Téthys.
Mais bougnoule El Khal ne peut pas le savoir, il croit que son trou à merde libanais est l’acmé de la civilisation.
Dans toute société racialement balkanisée, l’inégalité raciale devient le paradigme central, celui qui distingue l’ami et l’ennemi et, par suite, l’ordre culturel, politique et social.
Aujourd’hui en France, tout, sans exception, tourne autour de cette question, de la guerre ouverte ou larvée entre les Blancs et les autres.
Aux dernières nouvelles, ton sang est rouge comme tout le monde, à moins d’être une extraterrestre, tes propos sont le résultat d’un lessivage du cerveau en profondeur, aussi illuminée qu’un membre d’une secte, celle des ravagés
— Fabrice Blin (@Punisherrock93) March 12, 2025
Observez que le sang des lapins aussi est rouge, tout comme celui des poissons.
Ces sophismes éculés visent à nier la réalité de la lutte des races pour mieux se mettre la tête dans le sable et conjurer la guerre raciale — un voeu pieu.
Dans le lot des rageux, il y a les gauchistes, évidemment, mais aussi la christaillerie proche-orientale et ses valeurs lascives de femelles.
La noblesse aujourd’hui ne réside pas dans les frasques chevaleresque de ses ancêtres mais bien plutôt dans les valeurs de Charité et de don de soi au service du plus faible et du plus fragile.
— Élise Dupont
(@lisaHernan77768) March 12, 2025
Quel dérangement mental.
Tu fais une erreur. En tant que chrétienne tu es d’abord enfant de Dieu . C’est ça le plus grand héritage. L’autre héritage vient en second.
— Eric | Photographe Bordeaux (@EricS945060) March 12, 2025
Il est bon d’affirmer sa supériorité sans complexe.
Elle est légère à l’homme supérieur et écrasante pour l’homme inférieur qui ploie et se récrie vainement sous ses propres déficiences héréditaires.
Moitié d’Arménien détecté :
Tu est tout ce qui a permis au Nazisme d’exister et de survivre et de possiblement renaitre dans ce pays.
C’est pas une fiértée
de plus le sang des « aristocrates » n’est « spécial » que pour les eugénistes religieux qui pensent qu’un sang « noble/divin » existe
c’est grave
— FlynnWinch | Skull King
Streamer (@AlmanaxWinch) March 13, 2025
Oui, le national-socialisme applique au champ de la biologie humaine ce que le fascisme applique au champ social : l’élitisme méritocratique.
Au passage, relevons l’absence de conscience d’eux-mêmes des bougnoules.
Tu es le fruit des consanguins en gros
— عماد الدين زناف (@IZenaf) March 12, 2025
Taux de consanguinité dans le monde :
Cet échange très divertissant permet d’enterrer le stato-nationalisme devenu non seulement obsolète en Europe, mais un véritable boulet équivalent au monarchisme politique du 19e et début du 20e siècle.
Contrairement à la norme nationaliste en vigueur, je ne crois pas que l’on puisse simplement remonter le temps, revenir en arrière pour changer de route. Ça, c’est la vision réactionnaire du monde, d’opposition bornée, sans imagination, défensive, constamment vouée à l’échec depuis que cette mentalité existe et qui ne peut, au mieux, que timidement retarder la roue de l’histoire.
Contrairement aux objets historiques que sont les états, le sang est une force dynamique qui imprime sa marque sur l’histoire humaine, dans le bon comme dans le mauvais sens.
Le fétichisme national est tout à la fois récent et déjà vieilli. Contrairement aux adeptes du roman national, lui-même une innovation du 19e siècle, je ne crois pas davantage au mythe du caractère immuable d’une nation, nations qui, d’ailleurs, n’ont pris conscience d’elles-mêmes que récemment à l’échelle de l’histoire, et qui se sont aussi rapidement ennuyées d’elles-mêmes sitôt que s’est présentée aux individus la possibilité de s’avachir dans la démocratie de marché.
Le politique est performatif et l’essentiel de ce que nous connaissons est bel et bien le résultat d’une construction sociale, d’une volonté, un choix arbitraire dicté par une élite qui domestique les masses par la séduction et la répression et la commande.
La démocratie est une fiction.
Si des réalités naturelles demeurent indépassables, contrairement aux théories néo-marxistes ou libérales radicales, on peut cependant faire avaler à peu près tout au troupeau. Qu’on en juge par la normalisation des travestis.
Le processus historique français, au sens national, tel qu’il a débuté politiquement en 1789, est irréversiblement condamné à dégénérer racialement sous le poids de son idée centrale, celle qui structure les cervelles françaises depuis deux siècles : l’égalité.
Je n’agrée pas vos propos. Je suis métisse, pleinement Français, et profondément attaché à la France. Dire que ma mère a trahi ses ancêtres est une injure. L’amour transcende vos relents identitaires.
— Yohann
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(@yohann__fr) March 12, 2025
Le Français de sang, reconfiguré par la Révolution, puis le marxisme, l’exotisme colonial, la démocratie chrétienne, et enfin le consumérisme, aime les races de boue, tout spécialement les nègres qu’il considère comme ses frères. De quoi découle la négrification progressive, que rien n’arrête, impulsée par un État français qui ne sera pas extirpé de lui-même, mais qui au contraire accélère.
Le fatras souverainiste de gauche ou de droite qui, en France, ne peut se traduire en pratique que par un hyper-étatisme créole sous l’effet des conditions objectives qui s’imposent à ses acteurs, n’est qu’un frêle et tardif repli de boutiquiers et de vioques dépourvus d’une grande idée, et surtout d’une conception du sang, et qu’on ne saurait décemment comparer à la jeune révolution sans insulter l’audace, quoique criminelle, qui la caractérisait.
Toute idée semble devoir finir ridiculisée par ceux qui s’en revendiquent une fois la bataille terminée. L’idée nationale, au sang corrompu par le mélange racial que Mélenchon glorifie déjà, agonise.
Il faut une autre idée, un autre projet, quelque chose qui soit à la mesure du siècle, voire du millénaire, et surtout de la race européenne entière, une idée titanesque. Le meilleur critère pour juger de la pertinence d’une telle idée est l’influence qu’elle exerce sur l’Europe et, à la suite, sur l’ensemble du monde organisé par la main de l’homme blanc.
Cette idée, c’est l’idée raciale qui unit l’homme blanc de Limoges, Dresde ou Saint-Pétersbourg et qui l’écarte du même mouvement du métisse antillais, du Turc et du cul noir du Caucase qui croupissent dans ces mêmes villes.
J’entends justement les souverainistes café-au-lait dégueuler en abondance sur « l’EUROFASCISME ». Voilà un nom frappant ! Un beau nom qui mériterait d’être une réalité plutôt que l’épithète résumant la somme des névroses dont leurs corps fatigués sont perclus.
Un état européen pour la race européenne, la Grande Europe organisée en une puissance « sûre d’elle-même et dominatrice », en empire raciste.
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