Chasseley : un groupe de marabouts saccage le cimetière des violeurs sénégalais légitimement exécutés par l’armée allemande

La Rédaction
Démocratie Participative
30 janvier 2025

Ça hurle, mais sans dire qui est responsable.

Et pour cause : ce sont les nègres eux-mêmes !

Le Progrès :

Des dégradations ont été découvertes mardi 28 janvier dans la Nécropole nationale du Tata sénégalais, située à Chasselay, au nord de Lyon.

De grands tags inspirés du vaudou ont été peints sur le mur d’enceinte, des tombes ont également été taguées et le drapeau a été volé. Ces faits semblent avoir été commis entre le samedi 25 janvier et mardi.

« La profanation du Tata sénégalais de Chasselay est une insulte à notre mémoire et à ceux qui sont tombés pour notre liberté », a réagi ce mercredi sur X la ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens combattants, Patricia Miralles, précisant que l’Office national des combattants et victime de guerre a déposé plainte.

Les femmes et l’armée, c’est seulement pour les bordels de campagne.

Si ces nègres sont morts pour quelque chose, c’est pour la négrification de la France.

Le Tata sénégalais est un cimetière militaire créé pour rendre hommage aux soldats du 25ᵉ régiment de tirailleurs sénégalais, morts au combat ou massacrés par l’armée allemande en juin 1940 dans le secteur de Chasselay.

À l’issue d’un rude combat, les soldats blancs ont été faits prisonniers, alors que les tirailleurs sénégalais ont été exterminés par la 10ᵉ Panzerdivision, au nom de l’idéologie nazie.

Évidemment pas.

La 10e Panzer Division était une unité de l’armée régulière qui n’était pas politisée. Les Allemands ont capturé des tas de soldats coloniaux au même moment sans incidents notables.

L’Allemagne nationale-socialiste était raciste, donc ordonnée, et appliquait en France les lois de la guerre.

Les Allemands ne menaient de représailles que lorsque des nègres s’étaient aventurés à laisser libre cours à leurs penchants naturels : le vol, le meurtre et le viol.

Et justement, aussitôt l’armée française entrée en désintégration en juin 1940, des bandes de noirs ou de maghrébins se sont retrouvées à divaguer dans les campagnes françaises. Croyez bien qu’à ce moment-là, vous auriez infiniment préféré tomber sur des soldats allemands que sur une bande de ces cannibales venus « défendre la liberté ».

Dans un cas précis, le 17 juin 1940 à Saint-Georges-sur-Eure, une bande de ces nègres assassina des villageois français, non sans avoir violé les Blanches de la localité qui furent massacrées après usage. Arrivés sur place, les Allemands découvrirent avec sidération le résultat de cet accès de sauvagerie dont ils identifièrent rapidement les auteurs : des cafres du 26e régiment de tirailleurs sénégalais.

Mettez leur du Lacoste, donnez-leur une sacoche et croyez-moi, vous ne sauriez pas les distinguer de nos bouègres actuels

Les Allemands, scrupuleux de la hiérarchie comme d’ordinaire, en informèrent Jean Moulin, préfet du secteur et homosexuel notoire, pour qu’il en informe le gouvernement français selon le protocole. Dérangé de nature et porté à l’exhibitionnisme, Moulin s’agita grandement devant les officiers allemands venus l’informer, se donna en spectacle, refusa enfin de transmettre le compte-rendu des faits à son ministre, à ce qu’il semble pour tenter de couvrir l’innommable, et se mit vivement à aboyer contre les « Boches », jurant qu’il préférait se suicider que d’admettre que des « soldats français » – les nègres suspectés de ces crimes atroces ! – soient l’objet d’une quelconque enquête.

Les Allemands présents n’en revinrent pas. De tous les combats qu’ils venaient de traverser, c’est d’un bureaucrate homosexuel qu’ils reçurent le choc le plus robuste. Ils amenèrent Moulin sur le lieu des exactions pour lui faire voir les corps des victimes françaises horriblement mutilés comme il est de coutume chez les nègres d’Afrique, dont ceux de femmes et de leurs enfants. Moulin, loin de se reprendre, s’hystérise, analement fiévreux. Les Allemands le flanquèrent quelques heures dans une maison du village en présence d’une femme violée et assassinée par ces nègres en uniforme français dans le but le faire méditer sur sa conception du « patriotisme ». Moulin n’en sortit que plus fou et grandiloquent, pestant et glapissant.

Homosexuel et antiraciste, Jean Moulin serait aujourd’hui un député LFI

Les officiers allemands décidèrent de le faire arrêter, puis de le mettre détention toute une nuit en compagnie d’un des égorgeurs sénégalais capturés dans le secteur. L’idée des Allemands, évidente, était de travailler la conscience de Moulin en le mettant face à l’une de ces bêtes sauvages, tueur et violeur de Françaises innocentes, afin qu’il reprît contact avec la réalité et revienne de ses abjections. Après tout, pensèrent-ils, le préfet avait peut-être nerveusement défailli sur le coup du chaos ambiant. Ce fut encore pire. Porté au sommet d’un délire mystique au contact nocturne du nègre, Moulin, se tranche la gorge – mal – et finit à l’hosto, non sans que les Allemands, achevés d’écoeurement, ne refusent de prêter leur concours à un être si répugnant et pitoyable.

Le scandale fût si affreux que l’affaire remonta malgré tout au gouvernement, lequel, effaré, dut se résoudre à foutre discrètement Moulin au placard. Mettre au compte du patriotisme la couverture de meurtres et de viols de Français innocents par des bandes nègres, sous le nez des Allemands sidérés par un tel vice, était si infâmant qu’on ne pouvait plus trouver quelque poste que ce soit pour un homme convaincu d’un tel degré d’ignominie, ni dans la préfectorale ou ailleurs que ce fut, par fonction au contact quotidien des officiers supérieurs de la Wehrmacht. On savait à raison que sa vile réputation l’aurait précédé partout, ruinant les efforts de Vichy pour porter secours aux millions de civils français laissés pour compte par le régime républicain et ses juifs. C’est à partir de là que Moulin, l’antiraciste fou et placardisé, décida d’aller conspirer du côté de chez De Gaulle où il sévira aux côtés de la juive Antoinette Sachs (entre autres). Moulin, précurseur de LFI, avait toutes les qualités pour échouer au Panthéon.

Pour en revenir à ces nègres de Chasseley, il n’y a que des rumeurs, forcément érigées en vérité par le régime gaullo-communiste. On parle de « clichés » photographiques qui n’apportent rien de particulier, mais que la presse juive décrète « preuves » irréfutables. On y voit les Allemands faire prisonniers quelques uns de ces nègres, comme un peu partout sur le front à cette date.

Ces quelques nègres ont fait de bien vilaines choses, étouffées comme Moulin tenta d’étouffer le carnage de Saint-Georges-sur-Eure, pour que les Allemands ordonnent leur exécution sur place et sans s’en cacher.

Le fait qu’ils aient méthodiquement épargné leurs officiers blancs (français) atteste que l’opération était disciplinaire (et non du racisme, comme le disent les médias juifs).

Il faut en retirer un constat terrible : en 1940 déjà les Allemands faisaient plus grand cas de la dignité raciale des Français que les autorités françaises elles-mêmes. Calomniée pour cette même raison jusqu’à aujourd’hui par une France démocratique, enjuivée et négrifiée à mort, l’armée du Troisième Reich reste dans cette affaire d’une netteté morale immaculée.

Entretemps donc, on a réécrit l’histoire. Les Allemands – les Blancs par extension – sont devenus les salauds, et les violeurs nègres, assassins de civils français, des « libérateurs ». Et pour libérer, ils libèrent : faites un tour dans votre ville, vous y verrez bien moins de boches que de nègres.

Ces vérités sont si dures et impitoyables, que les Français n’ont pas l’estomac pour les digérer. Ils préfèrent s’intoxiquer de mensonges répandus par les gaullistes, les communistes et bien sûr, leurs maîtres, les juifs.

Et le régime antiblanc convulse, quand bien même ces tags sont le fait d’allez savoir quelle bande de marabouts très en colère contre leurs congénères qui ont été sous uniforme français.

N’oublions pas que nos chers nègres d’Afrique ne goûtent pas du tout la France ni les Français ces derniers temps et que la colonisation est un thème brûlant pour de nombreux Français de papiers dont De Gaulle nous a fait cadeau.

L’amour, ici, est à sens unique.

Je conclurai bien sûr en rendant un hommage appuyé aux soldats de la 10e Panzer Division pour avoir pris les mesures nécessaires à la protection des populations civiles françaises livrées à la barbarie négroïde sur ordre des juifs de la Troisième république.

Notons, sur une note plus positive, qu’elle existe toujours. 

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