Une Instrapute mexicaine se fait discipliner en direct sur TikTok

La Rédaction
Démocratie Participative
16 mai 2025

 

Quel héros.

C’est tout simplement épique.

Valeria Marquez, une influenceuse mexicaine de 23 ans sur TikTok, a été abattue le 13 mai 2025, alors qu’elle diffusait en direct depuis son salon de Zapopan, au Mexique.

Comme cette crapule de Musk censure les vidéos en permanence, voici la copie :

Le Mexique se porte un peu mieux.

Cette succube ne pourra plus se payer un niveau de vie en escroquant des incels sur Instagram.

BFMTV :

Une jeune influenceuse mexicaine qui comptait plus de 95.000 abonnés sur Tiktok a été tuée par balles ce mardi 13 mai dans l’État de Jalisco, dans l’ouest du Mexique, a annoncé le parquet. Selon le média mexicain 24-horas, la jeune femme était en train de se filmer en direct sur le réseau social lorsqu’un homme lui a tiré dessus.

« D’après les premiers éléments de l’enquête, elle se trouvait dans son établissement lorsqu’un homme est entré et, apparemment, a tiré plusieurs fois sur elle avec une arme à feu, la tuant« , a précisé le parquet dans un communiqué.

Des agents de la police municipale se sont rendus sur les lieux après avoir reçu un appel sur une ligne d’urgence et ont confirmé la mort de la jeune femme, a ajouté le parquet. Des membres de sa famille se sont également rendus sur place pour identifier son corps. L’auteur des faits serait toujours recherché par les autorités.

Valeria Marquez, âgée de 23 ans, publiait des vidéos sur la beauté et le lifestyle (style de vie, Ndlr). Certaines de ses publications ont été vues près de 800.000 fois. « La victime était active et influente sur les réseaux sociaux », a déclaré le parquet de l’État.

Le Mexique n’est pas exactement un pays calme.

Étaler l’argent qu’on détourne quand on est une pute sans maquereau officiel est une activité dangereuse.

Létale même.

Ce métier n’est pas vraiment fait pour les auto-entrepreneuses.

Ce genre d’Instaputes attirent les mauvais garçons comme la lumière attire les papillons de nuit.

C’est d’ailleurs ce qui lui plaisait.

C’est aussi à double tranchant.

Rappelons donc les faits : si cette traînée avait un métier décent, elle serait encore en vie.

Évidemment, du côté de la presse, les garces de rédaction s’empressent de présenter cette traînée comme une vierge innocente opprimée par le patriarcat.

Parce que se pavaner dans son salon de beauté personnel à 22 ans, avec un cochon rose fuchsia sur les jambes, est la marque de l’oppression ultime.

On ne s’offre pas un tel niveau de vie sans avoir soutiré de l’argent à bon nombre d’hommes. L’un d’entre eux, probablement ghosté par cette catin, a décidé de prendre les choses en mains après avoir été essoré et humilié.

Et comme nous sommes au Mexique, le sang indigène a tendance à bouillir très vite dans les veines de la gente masculine locale.

Cette opération de police s’est donc conclue avec succès.

Espérons que d’autres suivront, car le nombre de ces garces ne cesse de croître.